Suite à la dissolution des structures en charge de l’emploi des jeunes, notamment le Fonds national de promotion pour la jeunesse (Fnpj), l’Agence nationale de l’emploi des jeunes(Anej), l’Agence pour l’emploi des jeunes de la banlieue(Ajeb) et l’Agence nationale d’appui aux marchands ambulants (Anama), 227 jeunes agents de ces structures alertent le chef de l’État sur la perte de leur emploi. Ces derniers ont rappelé à Macky Sall, la « responsabilité sociale de l’Etat dans cette situation ».
Ce qui les poussent à exiger, « En réparation du préjudice psychique et économique, le paiement intégral de six mois de salaire brut, en plus des arriérés de salaire, le respect intégral des droits des travailleurs déflatés (payables au plus tard fin mai 2014), la régularisation des arriérés des cotisations des agents déflatés auprès des institutions sociales et la mise en place d’un cadre de négociation entre l’Etat et le collectif ».
(Texte : Libération)
3 Commentaires
Bacheliersnonorientés
En Mars, 2014 (14:25 PM)Gouy
En Mars, 2014 (16:55 PM)Deug
En Mars, 2014 (18:04 PM)le PDS avait fait pareil en renvoyant les militants PS pour mettre les leurs.
APR FAIT LA MEME CHOSE, demain ses propres militants se verront appliquer cette aberration des politiques qui crée des emplois sans encrage économique et/ou sociale.
Comme il n'y en a pas d'étude sérieuses, on ne se base que sur des déclarations.
IL DOIT AVOIR PÔLE EMPLOI COMME EN FRANCE POUR MESURER L4EMPLOI ET LE CHÔMAGE!!!
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