La société de gardiennage Sen-sécurité a décidé de poursuivre la Senelec pour rupture abusive de contrat. La compagnie d’électricité a décidé de confier ses principales centrales, jusqu’ici surveillées par des agents de Sen-Sécurité, à la Gendarmerie nationale. Une décision qui viole le contrat liant la compagnie à la société de gardiennage, selon Massar Diop, directeur de Sen-Sécurité, qui faisait face à la presse jeudi. Le colonel à la retraite évoque l’article 4 du contrat qui le lie à la Senelec. Il stipulerait qu’il ne peut y avoir résiliation que « s’il y a mauvaise exécution des prestations ou manquement grave aux obligations contractuelles ». « Ce qui n’est pas le cas parce que 96 vigiles de l’entreprise de gardiennage Sen-Sécurité, tous des anciens militaires et gendarmes auxiliaires, n’ont jamais été débordés par un événement ou toute autre manifestation. Lors des manifestations des 23 et 27 juin derniers, les sites de Hann, Bel-Air et Cap des Biches, sécurisés par la Sen-Sécurité, n’ont pas été saccagés », explique Massar Diop dans les colonnes du journal Le Quotidien. « Nous sommes les premières victimes du plan Takkal du ministre d’Etat Karim Wade. C’est un plan inavoué de l’Etat », s’insurgent de leur côté, les délégués du personnel de l’entreprise.
6 Commentaires
W.w.w.
En Juillet, 2011 (12:28 PM)C'EST DU WAX WAXEET.
Plan Takkal
En Juillet, 2011 (12:28 PM)Jo
En Juillet, 2011 (14:14 PM)Le sabotage n'était pas l'oeuvre des Tanor et consorts, mais d'un pouvoiriste qui se croit être doté d'une mission présidentielle. Suivez mon regard. JE NE CITE PERSONNE.
Jo
En Juillet, 2011 (14:17 PM)MERCI POUR CETTE BONNE INITIATIVE.
Séllal
En Juillet, 2011 (16:51 PM)Gardien 2011
En Juillet, 2011 (19:16 PM)Participer à la Discussion