Le ministre de la Justice, le professeur Ismaila Madior Fall, a promis mardi la fermeté et des sanctions sévères contre les auteurs d’enlèvements d’enfants, après la mort de deux enfants kidnappés ce week-end à Touba (Centre) et à Mbao, dans la banlieue dakaroise.
"Les textes sont là, très répressifs, face à ce phénomène. Notre justice est également très ferme sur ces questions. Car, à chaque fois qu'on a été confronté à des rapts d'enfants, à des cas de maltraitance d'enfants, la justice a été sévère et ferme. Donc sur cette question, il n'y a pas d'ambigüité. L'option de l'Etat du Sénégal est de protéger ses enfants", a dit le ministre de la Justice, face à la presse.
Au Sénégal, la recrudescence du kidnapping d'enfants a installé la psychose chez les populations. Par exemple, à Touba, un homme a été arrêté lundi avec six enfants qu’il avait séquestrés.
A Thiès, un individu a également interpellé, alors qu’il tentait d’enlever une fille. A Mbao, la gendarmerie a mis la main sur un présumé kidnappeur.
12 Commentaires
Anonyme
En Février, 2018 (18:02 PM)Pourquoi pas un référendum sur ce sujet
Anonyme
En Février, 2018 (18:02 PM)Pourquoi pas un référendum sur ce sujet
Anonyme
En Février, 2018 (18:30 PM)Les premiers responsables sont les parents (et je ne parle pas des orphelins). Au Sénégal, on rencontre tous les jours des gens qui tirent le diable par la queue et qui se font des enfants comme ils veulent avec l’attente que les autres vont s’en occuper. On voit des gens qui n’ont pas de quoi manger et qui se retrouvent avec plusieurs femmes, et plusieurs enfants qu’ils ne peuvent pas éduquer, nourrir, habiller, ou protéger. Et personne ne dit rien. La place d’un enfant c’est près de ses parents.
La plupart de nos pères n’ont aucune relation avec leurs enfants ; ils sont tellement irresponsables et demain, lorsque l’enfant réussit, ce sont ces mêmes parents qui exigent de lui une prise en charge totale de leurs besoins. Si on ne peut pas s’occuper de ses enfants, il faudra s’abstenir d’en faire.
La société sénégalaise est malade et il faudra un leader ferme et courageux, qui ne croit pas aux imbécilités comme le fétichisme, le Masla, le “ Ndogal” et qui ne soucie pas de second mandat, pour la soigner. Aucun développement n’est possible sans la protection des femmes et des enfants.
Anonyme
En Février, 2018 (21:02 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (00:24 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (00:24 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (00:24 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (00:38 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (00:38 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:17 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (16:28 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (16:31 PM)Participer à la Discussion