« Certains d’entre eux sont exploités par des sociétés de gardiennage, d’autres se retrouvent parfois dans le grand banditisme », écrit ce mercredi le quotidien Le Populaire qui consacre un dossier à ces soldats « enrôlés dans l’armée, formés pour tuer, puis libérés ».
« Âgés entre 18 et 24 ans, ils ont choisi de s’enrôler dans l’armée pour défendre les couleurs de leur pays », renseignent nos confrères qui évoquent les difficultés de réinsertion sociale auxquelles sont confrontés les jeunes soldats libérés, un retour difficile à la vie civile. Si certains d’entre eux arrivent à se recycler dans le gardiennage, d’autres s’essaient au grand banditisme. « Cela m’a beaucoup blessé de quitter l’armée», soutient l’un d’eux, dans les colonnes du journal. « Je ne m’attendais pas à être libérée, j’ai même pleuré quand on m’a annoncé la nouvelle», renchérit une jeune femme, qui a effectué deux ans de formation militaire. Aujourd’hui, elle souhaite faire un concours pour servir dans la gendarmerie ou la douane, bien qu’elle ne soit pas titulaire du Bfem. Toutefois, note le journal, « beaucoup d’anciens militaires sont devenus de grands bandits à cause de l’oisiveté, faute de travail ».
6 Commentaires
Un Ancien Militaire
En Février, 2013 (16:52 PM)Mauvaise Blague
En Février, 2013 (20:48 PM)Diop
En Février, 2013 (21:54 PM)Fghgv
En Février, 2013 (09:38 AM)Verite
En Février, 2013 (11:17 AM)Anonyme
En Janvier, 2017 (17:31 PM)Participer à la Discussion