Le président de la République Macky Sall a présidé, hier, à Tivaouane la cérémonie officielle du symposium du Maouloud 2015. Sur le thème : «Face aux radicalismes : Quelles réponses de l’école de Maodo», Macky Sall a invité les autorités religieuses à s’impliquer dans la lutte contre le terrorisme.
« Il ne faut pas avoir peur de se prononcer, peur de sa vie. Je ne peux m’empêcher de me prononcer sur cette question. Je ne peux pas avoir peur de ma vie au point de me taire sur la question. Les extrémismes doivent être combattus ouvertement », a déclaré le président de la République. S’exprimant, hier, au cours de la cérémonie officielle du symposium du Maouloud 2015 sur le thème «Face aux radicalismes : Quelles réponses de l’école de Maodo », le chef de l’Etat soutient que «beaucoup de personnes me reprochent de parler trop du terrorisme. Or, ce n’est pas en gardant le silence qu’on est épargné par ce phénomène.
La menace terroriste est réelle et on ne peut pas ne pas en parler. C’est pourquoi j’invite les autorités religieuses et oulémas à s’impliquer dans la lutte contre l’extrémisme religieux».
Il est d’avis qu’il est urgent de trouver une réponse à ce phénomène. Pour cela, les autorités religieuses doivent davantage éduquer les jeunes à travers les conférences pour sensibiliser les populations. «Par la parole et l’acte, vous avez la grâce de pouvoir toucher le cœur et l’esprit des croyants en offrant comme exemple la sublime réponse de l’école de Seydi Hadji Malick Sy. »
Pour lui, « la nature a horreur du vide. Si nous laissons le champ libre aux manipulateurs de conscience, ils le rempliront à notre dépens et à ceux de nos enfants». S’adressant toujours aux religieux, il dira qu’il «faut que ceux qui savent parlent et ne pas se dire que s’ils parlaient cela inciterait les terroristes à venir au Sénégal. Ils ne doivent pas avoir peur de la mort, car nul ne peut y échapper. Ils sont partout. Ceux qui savent ont le devoir impérieux de parler et ceux qui ne savent pas, le devoir d’écouter et d’apprendre parce qu’il n’y a pas de honte à apprendre», a-t-il ajouté.
Cependant, invitera-t-il les populations à avoir le réflexe de dénoncer toute personne suspecte car, ajoute le chef de l’Etat, le Sénégal a un héritage précieux à défendre et à transmettre à la postérité. «Le Sénégal reste un phare qui éclaire à l’apport successif de ces guides spirituels dont Cheikh Hadji Malick Sy. Les confréries constituent des écoles de référence pour notre pays. Nous devons nous attacher aux enseignements délivrés par nos précieux guides sur le fondement de nos valeurs culturelles négro-africaines. Nous sommes des musulmans, mais d’abord des Africains», a-t-il dit.
« Il ne faut pas avoir peur de se prononcer, peur de sa vie. Je ne peux m’empêcher de me prononcer sur cette question. Je ne peux pas avoir peur de ma vie au point de me taire sur la question. Les extrémismes doivent être combattus ouvertement », a déclaré le président de la République. S’exprimant, hier, au cours de la cérémonie officielle du symposium du Maouloud 2015 sur le thème «Face aux radicalismes : Quelles réponses de l’école de Maodo », le chef de l’Etat soutient que «beaucoup de personnes me reprochent de parler trop du terrorisme. Or, ce n’est pas en gardant le silence qu’on est épargné par ce phénomène.
La menace terroriste est réelle et on ne peut pas ne pas en parler. C’est pourquoi j’invite les autorités religieuses et oulémas à s’impliquer dans la lutte contre l’extrémisme religieux».
Il est d’avis qu’il est urgent de trouver une réponse à ce phénomène. Pour cela, les autorités religieuses doivent davantage éduquer les jeunes à travers les conférences pour sensibiliser les populations. «Par la parole et l’acte, vous avez la grâce de pouvoir toucher le cœur et l’esprit des croyants en offrant comme exemple la sublime réponse de l’école de Seydi Hadji Malick Sy. »
Pour lui, « la nature a horreur du vide. Si nous laissons le champ libre aux manipulateurs de conscience, ils le rempliront à notre dépens et à ceux de nos enfants». S’adressant toujours aux religieux, il dira qu’il «faut que ceux qui savent parlent et ne pas se dire que s’ils parlaient cela inciterait les terroristes à venir au Sénégal. Ils ne doivent pas avoir peur de la mort, car nul ne peut y échapper. Ils sont partout. Ceux qui savent ont le devoir impérieux de parler et ceux qui ne savent pas, le devoir d’écouter et d’apprendre parce qu’il n’y a pas de honte à apprendre», a-t-il ajouté.
Cependant, invitera-t-il les populations à avoir le réflexe de dénoncer toute personne suspecte car, ajoute le chef de l’Etat, le Sénégal a un héritage précieux à défendre et à transmettre à la postérité. «Le Sénégal reste un phare qui éclaire à l’apport successif de ces guides spirituels dont Cheikh Hadji Malick Sy. Les confréries constituent des écoles de référence pour notre pays. Nous devons nous attacher aux enseignements délivrés par nos précieux guides sur le fondement de nos valeurs culturelles négro-africaines. Nous sommes des musulmans, mais d’abord des Africains», a-t-il dit.
9 Commentaires
Familledevoleurs
En Décembre, 2015 (18:02 PM)Anonyme
En Décembre, 2015 (19:25 PM)Affaire Diack
En Décembre, 2015 (22:10 PM)Yoodé Idy mingui gnew, yoodé Idy minguy gnew
Anonyme
En Décembre, 2015 (22:35 PM)La voie pour combattre le terrorisme ce n'est de chercher à les tuer car tu les verra pas.
La solution est de les convertir en pacifique avec des débats philosophiques et de former la population, les imams, les prédicateurs dans ce sens(la culture de l'amour et de la paix).
Pour ces questions stratégiques l'état doit engagé des gens capables de mesurer et de donner des conclusions réfléchies à savoir les psychologues et mathématiciens
Anonyme
En Décembre, 2015 (22:35 PM)tu faits les yeux doux au confrerie en disant lii lanou kham - les tarikha-
mais tu oublie que ces chef religieux n ont pas tous une existance plus de 3siecle
l islame est rentre au senegal bien avant ces hommes que tu cite mr le president
alors ceux qui vivaiet avant ces hommes etait quoi?
aujourdhui une grande partie de la societe senegalaise est sounite sans tarikha ni cheikh mais suit les enseignement du messager paix et salut sur lui
et tu les traite des extremistes comme tes maitres
je te rappelle que dans l histoire du senegal ce sont ces confrerie qui ont fait des massacre qui ont casse les vehicules des braves travaiilleurs qui ont appelle au jihad parceque leurs chef ont ete menace ou arrete
arret de creer la zizanie entre les senegalais
occupez vous a nous faire sortir de la pauvrete
Anonyme Sow
En Décembre, 2015 (22:38 PM)«Des migrants nous ont rapporté plusieurs cas de violation de leur domicile ou de leur lieu de travail ainsi que des violences verbales et parfois même physiques (…) nous demandons aux autorités concernées de faire preuve de professionnalisme dans le contrôle de titre de séjour», a déclaré Mbow Amadou, secrétaire général de l'AMDH, lors de la 4e édition de «Migrant’scène», au lendemain de la Journée internationale des migrants.
Mbow a ajouté que les migrants demandent au gouvernement mauritanien de revoir à la baisse le prix de la carte de séjour qui s’élève à 30.000 Ouguiyas/12 mois. «Certains migrants en famille nombreuse ont des difficultés de débourser 30 mille UM pour chaque membre (...) Il faut payer encore 30.000 UM pour obtenir le duplicata en cas de perte de sa carte de séjour», a-t-il expliqué.
le secrétaire général de l'AMDH a également dit: "Exceptée la santé, l’obtention de la carte de séjour ne donne pas accès à tous les droits des migrants"
Mbow Amadou a en revanche conseillé aux migrants de « se procurer de la carte de séjour et d’être en règle vis-à-vis de l’administration mauritanienne».malheureusement 60% sont sénégalais
Anonyme
En Décembre, 2015 (22:41 PM)Anonyme
En Décembre, 2015 (07:29 AM)Anonyme
En Décembre, 2015 (10:12 AM)Participer à la Discussion