Le ministre de l’Agriculture et de l’Équipement rural, Papa Abdoulaye Seck, l’Afrique peut nourrir l’Afrique grâce à son agriculture. « Il n’y a pas de fatalité, nous devons entreprendre en vue de tirer les succès », a-t-il plaidé non sans fixer « une panoplie de préalables » dans ce sens. Ils sont au nombre de douze.
La maîtrise de l’eau est, à son avis, le premier pari à gagner. Viennent ensuite, l’augmentation de la productivité, la mise à la disposition du monde rural des facteurs de production de qualité, réformer le foncier, l’amélioration de l’accès aux marchés, le soutien (formation, information) aux exploitations familiales, les innovations technologiques, l’émergence d’un système privé en synergie avec les exploitations familiales, la promotion de l’emploi des jeunes, des femmes et des personnes vivant avec un handicap, la lutte contre les pertes post-récoltes et la transformation des produits, la restauration et l’amélioration de la fertilité des sols et, enfin, l’assainissement de l’environnement de la production et de la commercialisation des produits.
Ce dernier point « passe par une massification des investissements publics ». Qui se traduit au Sénégal, selon le ministre de l’Agriculture, par l’augmentation « de façon continue » du budget de son département.
6 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2016 (11:41 AM)Dans ce pays, on parle des choses sans jamais rien faire de concret.
Pauvre Sénégal !
Le Citoyen Sénégalais
En Novembre, 2016 (13:47 PM)Je te comprends Bababa, tu es d'un niveau trop bas pour pouvoir comprendre ce que dit Dr Papa Abdoulaye Seck..
Anonyme
En Novembre, 2016 (14:17 PM)Anonyme
En Novembre, 2016 (18:07 PM)Un Senegalais En Allemagne
En Novembre, 2016 (18:45 PM)Africain
En Novembre, 2016 (08:33 AM)Participer à la Discussion