Rassemblées dans la salle réunion de centre départemental d'Assistance et de Formation pour la Femme de la commune, les femmes leaders de Mbacké et de Touba ont transformé leur journée mondiale en moments intenses de doléances étalées suivant trois axes. En effet, sous la supervision du préfet Makane Mbengue venu lancer le démarrage des travaux, elles ont déploré leur mise à l’écart perpétuel par rapport à l’octroi des financements.
« Nous ne recevons jamais de financements de la part des autorités. Nous sommes les femmes les plus pauvres du Sénégal. Nous nous enlisons dans cette pauvreté depuis plusieurs décennies et pourtant nous ne manquons jamais de crier notre désarroi. Mais c’est comme si nos doléances ne sont jamais prises au sérieux » lance Sokhna Fatma Diop, porte-parole des femmes et représentante de l’association de défense des femmes et filles victimes de violences.
Interpellée sur ce volet, la dame révèle que Mbacké et Touba sont les zones où les femmes souffrent le plus le martyr». « Elles sont violées, elles sont battues. C’est ici que le 8 mars devrait le plus être senti » martèle Fatma Diop. Des séances de travail ont par la suite succédé au point de presse avec notamment la présence des groupements de promotion féminine et de l’Onu-femmes qui est une organisation des Nations-Unies consacré à l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
7 Commentaires
Deug
En Mars, 2014 (15:57 PM)@osez
En Mars, 2014 (16:34 PM)Yow
En Mars, 2014 (20:17 PM)En Tout Cas !!
En Mars, 2014 (21:15 PM)Tabrou
En Mars, 2014 (21:56 PM)Deug
En Mars, 2014 (22:12 PM)@osez
En Mars, 2014 (22:17 PM)Participer à la Discussion