«La Sar se porte comme toutes les raffineries en Afrique. Elles sont toutes dans des difficultés qui sont liées à la taille de la structure, à l’environnement», a déclaré Oumar Diop, directeur général de la Sar. Une situation favorisée, selon lui, par le fait que les structures à l’image de celle qu’il dirige sont «toujours concurrencées par les grandes raffineries. A cela s’ajoute le fait que le marché de raffinerie se rétrécie de plus en plus en Afrique».
Joël Dervain, secrétaire exécutif de l’Ara s’est réjouit de cette rencontre qui permet aux acteurs du secteur du raffinage d’échanger des expériences. «Cette rencontre prévue les 16, 17 et 18 février, sera, selon lui, une occasion pour ses collègues et collaborateurs de partager des expériences acquises des suites de l’utilisation des machines tournantes que sont, entre autres, les pompes, les compresseurs, les pistons.
Des outils essentiels qui, selon M. Dervain permettent après production et traitement de propulser les produits dans d’autres stations.
Il faut noter qu’auparavant, M. Diop a confié que l’échange d’expériences entre acteurs permet aux uns et aux autres de pouvoir acquérir assez de savoirs. Des connaissances, qui leur éviteraient, dans certaines occasions de se passer de spécialistes dont les sociétés étaient obligées de faire venir de l’étranger pour des dépannages.
1 Commentaires
Matar Diakhaté
En Février, 2015 (14:01 PM)Participer à la Discussion