Le président de la République s'est rendu ce dimanche à Tivaouane pour présenter ses condoléances à Tivaouane après le décès de Sokhna Fatsy Mansour, soeur de l'actuel Khalife, et épouse du défunt Khalife, Serigne Mansour Sy Borom Daaradji.
Le Khalife, Serigne Mbaye Sy Mansour, a vivement remercié le chef de l'État avant de rappeler que les relations qui le lient à Macky Sall datent de longtemps. C'est avant que Macky Sall ne soit le chef de l'État et avant qu'il ne devienne Khalife général des tidianes.
Il n'a pas manqué de prier pour lui pour la réussite de sa mission, mais aussi pour un Sénégal de paix et de prospérité.
Le khalife n'a, toutefois, pas manqué de prodiguer des conseils au chef de l'État.
"Il y a beaucoup de bavardages dans le pays, mais que cela ne vous dérange pas. C'est dans l'ordre normal des choses. Vous êtes sur la bonne voie, continuez ainsi et laissez le reste entre les mains de Dieu. L'essentiel, c'est d'avoir de bons rapports avec tout le monde, d'éviter de se faire des ennemis, mais de rester ferme sur les principes", conseille le khalife, s'adressant à Macky Sall.
56 Commentaires
Alndaw Thiam
En Octobre, 2017 (15:34 PM)Dire à un président de la République de ne pas accorder d'importance à ce qui se dit, c'est l'un des pires conseils qui puisse sortir de la bouche d'un être-humain !
L'on comprend maintenant pourquoi le président n'exprime ni remords ni contrition face à ses manquements, ce genre de "Khalifs Zénéral" lui explique que grosso-modo tant que lui président arrose les confréries et leurs rentiers, tout va bien, c'est le principal ! La populace, l'opposition, les enseignants, les commentateurs de l'actualité, ca c'est du menu fretin !
Aaaaaaaaaa les tarikhas et certains de leurs rentiers !!! Toujours dans le sens du vent
Anonyme
En Octobre, 2017 (15:38 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (15:41 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (15:56 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (16:03 PM)Aycca Rék
En Octobre, 2017 (16:07 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (16:08 PM)sunugaal:
SCANDALE EMERGENT
une nouvelle Station ESSENCE est en Construction au Rond-point de la Brioche Dorée de Niarri Tally, malgré le Décret interdisant la construction de nouvelles Stations à Dakar et les 3 points de Presse et la pétition des Populations Riveraines des Quartiers de BOPP, Cité-Port, Ouagou Niayes, Niarri Tally, Grand-Dakar, Zone A, Les écoles Saint-Pierres, CEM Adama Ndiaye, Imam Abdou Ndiaye 1 2 et 3; TOUS Unis et Solidaires disent NON.
La Pétition de plus de 1000 Signatures fut déposée auprès du Sous-Préfet de Grand-Dakar avec 18 ampliations dont le Ministère de l’Environnement, la Primature et la Présidence…
Les gendarmes de la DSCOS l’avait Stoppée 2 mois durant et depuis lors ça continue en bloquant tout le passage des Piétons et des Véhicules avec la complicité du Maire de Grand-dakar et du Sous-Préfet.
De GRACE Respectons les intérêts Collectifs et Luttons Contre cette délinquance Administrative menée par des Agents Véreux et Corrompus. :
sunugaal:
Anonyme
En Octobre, 2017 (16:10 PM)Nitou Deug
En Octobre, 2017 (16:12 PM)Je demande ou va le senegal
kou eumbeu sankhal eumbeu sa kersa
Anonymeb W
En Octobre, 2017 (16:30 PM)Anonymeb W
En Octobre, 2017 (16:31 PM)Thipiri
En Octobre, 2017 (17:06 PM)Anonyman
En Octobre, 2017 (17:34 PM)Donc pas la peine de le dire
Je serai très content que tu parles a Macky de sortir tous les contrats miniers pour que le peuple approuve ,et de sortir khalifa sall en attendant son jugement, de ramener Karim puisque il est gracié
Anonyme
En Octobre, 2017 (17:44 PM)Les bavardages nous font moins de mal que les voleurs pourritures de politiciens dont ton illustre hote qui a déclaré publiquement qu'il a reçu 8 miliards de l'argent publique grace à la générosité du l'ex monarque Abdoulaye Wade et il n'a pas eu honte de le dire
Serigne Mbaye prends ce que tu prends comme les autres serignes voitures de luxe des milliards des dons de toutes sortes et laisse nous en paix c'est pas toi qui va dire la vérité à Macky Sall
J'espère qu'une révolution mettra fin à toutes ces conneries
Anonyme
En Octobre, 2017 (17:59 PM)Akila
En Octobre, 2017 (18:20 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (18:33 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (18:35 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (18:35 PM)Lu
En Octobre, 2017 (18:41 PM)Laser du lundi : Chat échaudé craint l’eau froide. Et chat brûlé ? (Par Babacar Justin Ndiaye)
Par quel bout, prendre le vif débat sur la Constitution grosse ou non d’un troisième mandat ? Par le biais du réel (l’expérience) comme par le truchement du Droit, on peut débattre au moyen d’arguments pertinents et percutants, pluriels et contradictoires, ambivalents et équivoques. Pour cause d’évidence que voici : la Constitution n’est pas faite pour les végétaux et les minéraux ; mais pour les hommes qui sont des magmas de vertu, de vice, de droiture, de roublardise, de turpitude, de sérieux, de grandeur, de petitesse, de probité et de perversions etc. En un mot, les hommes sont des boules de valeurs et de contre-valeurs. D’où l’impérieuse nécessité de parfaire – par la vigilance et par la réflexion ininterrompues – la bouée de sauvetage nationale, républicaine et démocratique que représente la Constitution.
Au Sénégal, la Constitution n’est pas strictement une Loi fondamentale. Elle est, aussi, un Salut fondamental. En effet, c’est au moyen de la Constitution que le Président Léopold Sédar Senghor, en pyjama – sans arme ni garde du corps – a convaincu et stoppé un groupe d’officiers des Forces armées, venus l’interroger sur les dessous juridiques et constitutionnels de la crise au sommet de l’Etat, entre le Président du Conseil, Mamadou Dia, et lui, le Président de la République. Cette nuit-là, une lecture appliquée de la Constitution a empêché le Sénégal d’être le berceau du premier coup d’Etat militaire de l’Afrique indépendante. Nous sommes en décembre 1962, c’est-à-dire, quelques jours avant le coup d’Etat sanglant, de janvier 1963, perpétré par le Sergent Gnassingbé Eyadema, contre le régime et la personne du Président Sylvanus Olympio, au Togo.
Comme on le voit, la Constitution a besoin de mille soins et mérite une profusion de réflexions. D’où l’inquiétude née des propos chargés d’agacement, d’énervement et de réprobation du Président Macky Sall, à l’endroit de : « Ces intellectuels (Professeur Babacar Guèye et Cie) qui se livrent à de grandes réflexions, qui nous fatiguent et, surtout, qui ne nous laissent pas travailler ». Visiblement, le chef de l’Etat a une grande, une ouverte et une profonde aversion pour les réflexions à foison et à rebrousse-poil. Une conception et une posture incompatibles avec la bonne et suprême gouvernance. Homme politique et académicien, Alain Peyrefitte écrit : « Pour bien gouverner, il faut être féru d’histoire et friand de prospective ». Pythagore renchérit : « Les deux mots les plus brefs et les plus anciens, oui et non, sont ceux qui exigent le plus de réflexion ». Tel un fil d’Ariane, la réflexion est toujours présente et partout précieuse. Moralité : une réflexion anticipatrice sur la Constitution ne saurait être rangée dans le rayon des stupidités qui exténuent les gouvernants ou entravent, par exemple, les travaux du TER.
Dans cet ordre d’idées, les intellectuels sont – sous les cieux démocratiques – acceptés comme des veilleurs de nuit qui sonnent le tocsin lorsque le danger se présente devant ou dans une cité endormie. A ce titre, ils ne fatiguent pas les vrais hommes d’Etat et ne brisent pas leurs élans. De 1960 à 1980, de brillants intellectuels disséminés dans les instances dirigeantes du PAI, du PRA et du RND, une tête pensante comme le marabout Cheikh Tidiane Sy (fondateur du PSA) et un universitaire de l’envergure d’Abdoulaye Wade ont, dans des débats intenses, taillé en pièces l’idéologie de Senghor puis tiré à boulets sur les successives réformes constitutionnelles et, surtout, dénoncé la limitation légale mais arbitraire des Partis politiques, à trois. Les fameux trois courants autorisés.
Toute cette frénésie intellectuelle et féconde – parfaitement inhérente à la démocratie – n’a ni perturbé ni empêché le Président Senghor et son gouvernement, de bâtir des institutions et de créer des Ecoles nationales très décisives dans l’édification de la jeune nation. De son côté, le Président Abdou Diouf ne s’est jamais plaint (en termes courroucés) du choc des idées et des batailles politiques très âpres qui ont culminé avec l’adoption du Code électoral très consensuel du début des années 90. La preuve est ainsi établie qu’en matière de démocratie, la tension est préférable à l’atonie. La torpeur fait le lit du despotisme réellement rampant et prétendument éclairé.
Dans tout ce tumulte, le Professeur Babacar Guèye débusque-t-il un lièvre dodu, bien camouflé dans le buisson clair-obscur des phrases pondues par les rédacteurs de la Constitution ? En tout cas, le débat s’est vite clivé entre deux ou trois écoles. D’un côté, les garde-chiourmes qui refoulent toute idée de modification bénigne, de correction superflue et de disposition transitoire. De l’autre, des constitutionnalistes-entomologistes qui ont méticuleusement traqué et souligné au crayon rouge, des ambiguïtés volontaires ou involontaires qui pourraient, demain, prendre un relief insoupçonné. Enfin, il y a, bien sûr, la troisième école, celle des politiciens doués, roués et démagogues qui pensent et disent, en bons comédiens, que tout ceci est prématuré. Selon eux, 2024, c’est aussi loin que le Jugement dernier. Quelle hypocrisie stratégique ! Est-il jamais trop tôt pour tuer les microbes ou éliminer les bactéries qui rendent malade ?
Des points de vue réfléchis et/ou subtils sont également développés. Deux, d’entre eux, ont accroché mon attention. Notre compatriote Alioune Ndao Fall, un responsable APR-Diaspora, a dit, sans fioritures, que la candidature de Macky Sall sera recevable, en 2024, mais ne sera pas souhaitable. C’est le scénario de la porte entrebâillée : ni ouverte ni fermée. Donc passante pour celui qui veut passer. Le deuxième point de vue est servi par le Professeur Mounirou Sy, un juriste politiquement aligné mais académiquement avisé. Dans une contribution de bonne facture publiée par les médias, il assène un fragment de son opinion : « L’évidence proscrit la précision qui génère la redondance ». Hum… ! Premièrement, une vérité grammaticale peut être un mensonge constitutionnel. Secondement, une redondance et une tautologie qui mettent un pays à l’abri des secousses, sont préférables à une expression austère mais fatale à la paix sociale. Après tout, la Constitution est écrite dans une langue étrangère très peu lue et comprise dans bien des chaumières. Même en France, la rédaction d’une Constitution est laborieuse. Après la lecture d’une des moutures de la Constitution de la Vème République, le Général De Gaulle, très insatisfait, a grommelé : « Debré, (il s’agit de Michel Debré) je vous rappelle que les virgules sont les petites sœurs de la parenthèse ». Moralité : Constitution égale casse-tête. Ici et ailleurs.
« La politique, c’est le réel avant d’être l’idéal », répétait inlassablement le Président Houphouët Boigny. Ce n’est pas le texte de la Constitution (un tas de mots et une quantité d’abstractions) qui inquiète. Ce sont plutôt le réel africain et le vécu sénégalais qui traumatisent. Au Burundi, le Président Pierre Nkurunziza a refusé de comptabiliser son premier mandat octroyé et légitimé par les Accords d’Arusha qu’il avait bien lus et parfaitement signés, le 28 août 2000. On connait la suite. Le syndrome Nkurunziza a fait tache d’huile au Burkina (Compaoré a été stoppé net par un bain de sang) et dans les deux Congo où les verrous constitutionnels ont été transformés en vélos constitutionnels promptement enfourchés. Très près de nous, le Professeur Alpha Condé (emblématique contempteur de la tyrannie de Sékou Touré et victime martyrisée de la dictature militaire du Général Lansana Conté) s’est glissé – sans états d’âme et nonobstant une Constitution claire – dans la peau de Samory Touré. Pour justifier l’injustifiable Alpha Condé affirme que la limitation des mandats est « un truc des Blancs » fâcheusement imposé aux Africains. Relisez : « un truc des Blancs » ! C’est pourquoi l’opposition togolaise, très déçue, a récusé la médiation du Président en exercice de l’UA, le Guinéen Alpha Condé.
Chez nous, le glorieux Abdoulaye Wade a stoïquement payé un lourd tribut à l’approfondissement performant de la démocratie. Un combat dont il est un historique fer de lance. Autant d’aura, de charisme et de prestige qui n’ont pas tué en lui, des réflexes dignes de Lat-Dior. Son Parti Démocratique Sénégalais s’est mué en Parti Dynastique Sénégalais : toujours PDS. Au crépuscule de son second mandat (juin 2012) il a multiplié les micmacs d’ordre constitutionnel et institutionnel : un poste de Vice-Président (mystérieusement non pourvu), une séduisante Loi sur la parité, et un projet de loi relatif au quart bloquant. Bref, des manœuvres successorales aux antipodes de l’orthodoxie démocratique, de la part de celui qui fut le talentueux et intraitable procureur de l’article 35 qui permit à Abdou Diouf de terminer le dernier mandat de Senghor.
Tombeur d’Abdoulaye Wade, le Président Macky Sall a déchiré, avec la docte bénédiction du Conseil constitutionnel, sa promesse solennelle, publique et internationale de réduire son septennat. Dans l’hebdomadaire JA (organe de diffusion planétaire) il avait, fermement, écarté toute éventualité de propulser par décret, son frère, Aliou Sall. Revirement spectaculaire : Aliou Sall est catapulté par décret, à la tête de la CDC. D’après le journal l’AS du 12 septembre dernier, c’est un éminent membre de la famille omarienne qui a décidé le Président, à signer le décret. Et que dire du méli-mélo électoral soigneusement organisé, le 30 juillet, par l’ex-ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo ? Devant cette profusion d’entorses faites aux règles constitutionnelles et aux principes de bonne gouvernance, il est logique que les républicains soient en alerte constitutionnellement…rouge. En effet, chat échaudé craint l’eau froide. Et chat brûlé ? La confiance est à l’image de la virginité d’une femme. Une fois acquise, une fois perdue et jamais retrouvée. Le boulanger qui vous roule, deux ou trois fois, dans la farine, est mal placé pour inviter, à nouveau. Même s’il mentionne sur les cartes d’invitation : « Boulangerie du Dialogue ». D’où les précautions normales et les réflexions valablement prématurées, autour de la Constitution.
Pour conclure – de façon féconde et utile – ce débat sur la Constitution, il faut l’installer au carrefour du Droit, de l’Ethique et du Consensus. Les majuscules ne sont pas fortuites ; elles suggèrent l’élévation vers les hauteurs et toutes les hauteurs. Il urge donc de mixer les trois références (Droit, Ethique et Consensus) pour verrouiller efficacement les Constitutions. A ce propos, les faits têtus ont démontré que le verrou juridique est en banco ; alors que le verrou éthique est en béton. Malheureusement, il n’existe pas de double décimètre pour mesurer la sincérité des acteurs de la vie politique du pays, encore moins de Lacan sénégalais pour les coucher sur un divan, afin de les psychanalyser. Restent donc les vigoureux et pédagogiques débats. Ces échanges houleux et lumineux posent des balises et fixent des sémaphores pour le navire Sénégal ou Sunugal. Faute de quoi, les bonds qualitatifs de notre démocratie seront toujours précédés et/ou escortés par des 23 juin, c’est-à-dire des insurrections à répétition. Attention aux récifs ! Que Dieu garde le Sénégal, des émeutes et des révoltes qui imposent le respect scrupuleux de la Constitution.
Anonyme
En Octobre, 2017 (20:24 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (20:24 PM)C'est pas parce qu'il compte sur le gouvernement qu'il doit faire des eloges aveugles dal.
Anonyme
En Octobre, 2017 (20:44 PM)Lorsque nous manquons de vigilance (Et c'est malheureusement le cas), on se laisse entrainer dans le piège bien tendu par la Presse pour tirer à boulets rouges sur les gens. Vigilance
C Pa Lui D L Dire
En Octobre, 2017 (20:56 PM)et le bas peuple continuera à souffrir
Anonyme
En Octobre, 2017 (20:58 PM)Nous qui subissons les affres de cette gouvernance renégate ne dormons plus car nous savons que nos enfants n'ont pas d'avenir, ils auront moins de chance que nous.
Anonyme
En Octobre, 2017 (20:59 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (21:10 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (21:10 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (21:36 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (21:39 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (21:52 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (22:09 PM)Pensées pieuses et gratitude à Thierno Ahmdou Raby, le Kalife des kalifes.
Anonyme
En Octobre, 2017 (22:14 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (22:25 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (23:06 PM)IL se laisse manipuler.. Un mara doit se tenir loin du monde politique....
Anonyme
En Octobre, 2017 (23:37 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (23:43 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (00:19 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (00:32 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (00:38 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (01:09 AM)Kassa
En Octobre, 2017 (01:27 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (01:53 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (02:12 AM)Thieuy les marabouts Sénégalais, de vrais opportunistes qui ne croient qu’en l’argent, rien d’autre.
Anonyme
En Octobre, 2017 (05:28 AM)Ex Goor
En Octobre, 2017 (05:50 AM)Si vraiment on veut faire une analyse juste, on doit se reférer à la constitution. Si on veut juger qui a fait des promesses qu'il ne peut pas réaliser, on peut dire qu'il a menti au peuple.
Foulbés!
En Octobre, 2017 (05:56 AM)que depuis la montée au ciel de Thierno "Dabakh", Peul de Souche purement pure, il n'y a plus eu d'autres Peuls à Tivaone (souwa-wone) à la Tête de la Tidjanya.
Avec l'arrivée de Thierno Mbaye Mansour, un autre Peul reprend le flambeau fabriqué par Thierno Malick SY, Peul pure Souche de Souïma, Podor, Fouta Toro, Royaume du Tekhrour, Nord-Est du Sénégal éternellement archi-pluriel en tout de TOUT en TOUT.
Malgré son Intelligence, ses Compétences-Expériences manifestes, son Humilité, sa pure FOIE en DIEU, Son Amour sincère du Prophète, sa Maitrise des sains-saints Textes & Contextes & PLUS,
Thierno Mbaye Mansour aura d'infinis obstacles sur son sain-saint CHEMIN érigés par certains-es-certainement-certains-es.
IL sera surtout confronté à des torrrents de combines-complots-pactes diaboliques-mensonges-trahisons-traitrises,
dès lors qu'IL tient à remettre les pendules à l'heure, et à replacer l'Islam de Dieu dans la prioritaire priorité des "êtres" qui s'exhibent comme musulmans.
NOUS PRIONS POUR LUI! NOUS L'ENCOURAGEONS ET SOUTENONS AU NOM DE DIEU, CONFORMEMENT AUX PRINCIPES FONDAMENTAUX DE L'ISLAM DE DIEU.
Il y a trop de bavardages, exhibitions, cris, mensonges-falsifications-triches-usurpations-combines-complos-pactes diaboliques-méchancetés-haines-racismes déguisés dans le funeste axe de tous les maux-affluents, zone de certains-es-certainement-certains-es!
À la place des cris-bavardages-exhibitions, les dignes-nobles peuples sénégalais optent tout naturellement pour les saines-saintes-légales-licites actions-démarches
pour apporter leurs contributioins contributives au développement économique, social, culturel, spirituel, partout dans le pays, en faveur de tous les peuples, dans le respect strict des éternelles diversités-différences qui les caractérisent, car une étant une riche richesse intarissable.
Si le Sénégal, après plus de 57 ans d'indépendance est encore membre à part entière des pays enchâssés dans les misèrables misères,
où les corruptions-prédations-trafics-magouilles-mafias-crimes-assassinats-tribalismes-ethnocentrismes-confrérismes-régionalismes-haines-racismes sont solidement présents,
c'est qu'il y a bien une déraisonnable raison à la base de tout ça:
certains-es-certainement-certains-es, leurs culture-nature-éducation-langue-us-coutume-modes-manières-façons
éternellement exempts de valeurs universellement universelles comme les dignité-bon sens-sens de l'honneur-bonne moralité-civisme-humilité-ouverture au monde civilisé.
Seydi SY, yo Allah wallou!
FOULBES!!!
Kumar
En Octobre, 2017 (06:30 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (07:09 AM)combien a reçoit un marabout hors camera pour chanter maky?
Paff
En Octobre, 2017 (07:28 AM)Sidiki Diouf
En Octobre, 2017 (08:53 AM)Okacha
En Octobre, 2017 (09:05 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (11:44 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (13:54 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (18:21 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (23:39 PM)Participer à la Discussion