Ils ont tenu un sit-in hier sur leur lieu de travail à Thiès, pour réclamer deux mois d’arriérés de salaire. Les cheminots, membres du Syndicat unique des travailleurs du rail (Sutrail) ne décolèrent pas après leur directeur général Thiery Martenety et son beau-frère Abass Jaber, qu’ils accusent de vouloir saboter l’entreprise, avant le délai de 90 jours qui leur a été notifié.
Mambaye Tounkara et Cie haussent le ton. Ils veulent accélérer le départ de leur directeur général, Thiery Martenety et l’ont fait savoir hier face à la presse. «Il n’y a plus d’eau dans la société ferroviaire.
Mambaye Tounkara et Cie haussent le ton. Ils veulent accélérer le départ de leur directeur général, Thiery Martenety et l’ont fait savoir hier face à la presse. «Il n’y a plus d’eau dans la société ferroviaire.
Au lieu de 13, l’usine ne fonctionne qu’avec 3 locomotives. Il n’y a plus de sécurité, encore moins de pièces, et la responsabilité de l’entreprise nous incombe», fulmine leur secrétaire général, Mambaye Tounkara, dans le quotidien L’Observateur.
En effet, suite à une assemblée générale tenue samedi, les syndicalistes ont décidé d’observer des arrêts de travail sectionnés de 0 h 16 h à compter de ce lundi (hier), jusqu’au paiement de salaires.
«Nous n’allons pas libérer les trains, tant que nos salaires ne sont pas effectifs. Tous les jours, nous allons observer un sit-in devant la direction générale à Thiès ainsi qu’à Dakar et à Tambacounda, pour exiger le départ de Thiery Martenety. Nous en avons assez, il faut que les Etats prennent leurs responsabilités», ont-ils protesté.
En effet, suite à une assemblée générale tenue samedi, les syndicalistes ont décidé d’observer des arrêts de travail sectionnés de 0 h 16 h à compter de ce lundi (hier), jusqu’au paiement de salaires.
«Nous n’allons pas libérer les trains, tant que nos salaires ne sont pas effectifs. Tous les jours, nous allons observer un sit-in devant la direction générale à Thiès ainsi qu’à Dakar et à Tambacounda, pour exiger le départ de Thiery Martenety. Nous en avons assez, il faut que les Etats prennent leurs responsabilités», ont-ils protesté.
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