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STIGMATISEES PAR LA SOCIETE, RISEE DE LA BELLE FAMILLE… : L’enfer des femmes infertiles

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STIGMATISEES PAR LA SOCIETE, RISEE DE LA BELLE FAMILLE… : L’enfer des femmes infertiles

Dans une société comme la nôtre, être dans l’incapacité d’enfanter se résume souvent à une vie de honte, d’humiliation… Ce n’est pas un sujet dont on parle librement. C’est souvent un secret bien gardé dans la famille. Le sentiment de culpabilité et la perte du statut social sont difficiles à supporter et conduisent à un isolement qui fragilise la vie du couple. Incursion dans l’intimité des couples frappés d’infertilité ! 

 

Cela fait bientôt quatre années. Quatre longues années qu’ils se sont dit oui «pour le meilleur et pour le pire». Les deux premières ont été attendrissantes, joyeuses, palpitantes. Bref, ces deux années ont été vécues avec beaucoup de bonheur par les deux tourtereaux. Mais les deux suivantes ont été froides, tristes, émotives… Une situation causée, selon l’épouse, N. F. S, par l’absence d’un rejeton. Un enfant tant attendu mais qui tarde à venir. Seulement, la responsabilité de cette situation d’infertilité n’est pas partagée. N. F. S qui a accepté de nous confier sa douleur ne fait pas dans la langue de bois. «J’ai été  stigmatisée,  pointée du doigt comme étant l’unique responsable de ce dysfonctionnement», narre-t-elle avec amertume.

 

Comme le font de nombreux jeunes couples sénégalais, après son mariage, c’est dans la famille élargie de ses gendres que N. F. S a vécu avec son époux. Une grande famille où se côtoient cousins, cousines, oncles, tantes, frères et sœurs du mari… Sans compter les gendres qui sont au nombre de trois. C’est dans cette famille de près d’une bonne douzaine de personnes que N. F. S a vécu et continue de vivre son «amour» avec son époux. Et elle continue de vivre le martyre. «J’ai vécu les pires humiliations de ma vie dans cette famille. Ce sont des quolibets et des invectives qu’on me jette à longueur de journée par la faute de l’absence d’un enfant», se désole N. F. S.  Pis, narre notre interlocutrice, «je suis ballottée d’un charlatan à un autre par la mère de mon époux, à la recherche d’une formule miraculeuse qui me ferait enfanter». Des marabouts, elle en a déjà rencontré une bonne dizaine. Et à chaque marabout, sa portion magique, soit à ingurgiter soit à boire ou pour faire un bain. «C’est moi qui suis pointée du doigt, c’est moi qui prends le traitement et les prières des charlatans, des marabouts et non mon époux», se désole-t-elle. Quid de la Procréation médicalement assistée ? Etant analphabète, N. F. S avoue ne rien connaître de ce traitement. Toutefois, malgré ce dysfonctionnement qui sape le fonctionnement de son couple, son époux, enseignant dans le cycle élémentaire, la comprend et la soutient contre les attaques «incompréhensibles». Pour une femme, vivre sans pouvoir avoir un enfant est plus que compliqué dans une situation où les hommes sont souvent épargnés dans ce genre de situation. C’est, en fait, la femme qui porte le blâme et la honte d’un couple infertile même si la cause est parfois masculine.

 

Selon la néphrologue, Dr Rokhaya Thiam Bâ, «la pathologie peut provenir soit de l’homme soit de la femme». «La confusion entre virilité et fertilité fait que l’annonce d’une infertilité masculine est très perturbante pour l’homme  avec une remise en cause du sens de sa vie et une dévalorisation de lui-même. Le plus souvent, l’homme ne s’y attend pas, tous les regards étant toujours tournés vers la femme», fait remarquer la spécialiste de la procréation médicalement assistée.Contrairement au couple cité plus haut, Monsieur et Mme Dieng sont des personnes instruites. Ils disposent chacun d’un emploi. L’époux est cadre dans une importante direction de l’Etat. L’épouse, elle, est assistante de direction dans une prestigieuse boîte de la place. Loin de la famille, ils ont aménagé dans un appartement à Liberté 6 Extension.  Voilà plus de 6 ans qu’ils ont échangé les anneaux. Ils sont certes heureux, mais ce bonheur est perturbé par l’absence d’un enfant tant désiré.

 

Parce que, jusqu’à présent, ils ne parviennent pas à enfanter malgré les traitements subis chez les gynécos et le traitement des guérisseurs ou charlatans consultés. Instruits et cadres de surcroît, M. et Mme Dieng se comprennent car ils savent que le problème peut être du côté de la femme comme de l’homme. Conséquence : ils vont ensemble aux consultations. M. Dieng qui a accepté volontiers de se prêter à nos questions trouve les mots justes pour dédramatiser la situation. «En bon croyant», il met sa situation sur le compte du destin et de la volonté divine. Interpellé sur le traitement que propose la procréation médicalement assistée, notre interlocuteur dit n’avoir jamais eu connaissance de l’existence de ce traitement au Sénégal. «J’ai entendu en parler à la télévision. Et c’est pratiqué dans des pays développés comme la France ou les Etats-Unis, mais je ne savais pas que ce traitement existe au Sénégal.» Son couple étant bien organisé avec des décisions et des orientations qui se prennent toujours à deux, M. Dieng a promis de discuter de la Pma avec son épouse.

 

OBSTACLE FINANCIER A LA PMA : Quand un enfant «coûte» deux millions de francs

 

Selon la gynécologue et spécialiste en néphrologie, Dr Rokhaya Thiam Bâ, «on considère qu’un couple est infertile quand il n’obtient pas une grossesse après un an de rapports sexuels normaux, réguliers et non protégés». «La fertilité du couple dépend de l’aptitude de chacun des deux partenaires à procréer», souligne-t-elle. Cette situation exposée par la spécialiste en néphrologie touche de nombreux jeunes couples sénégalais. Des couples qui veulent pourtant procréer. Mais, à cause d’un dysfonctionnement, ils ne peuvent le faire. Bonne nouvelle : la pathologie peut être traitée maintenant au Sénégal, notamment dans certaines structures privées de santé. Seulement, ce sont les moyens financiers qui, le plus souvent, posent problème. Les patients sont obligés de débourser pas moins de 2 millions de francs Cfa pour espérer enfin avoir un enfant.

 

«Dans un couple infertile, explique Dr Rokhaya Thiam Bâ, la cause peut concerner la femme dans le tiers des cas, l’homme dans l’autre tiers des cas. Et dans le dernier tiers la cause est mixte. C’est pourquoi la prise en charge d’un couple infertile doit concerner les 2 partenaires.». Pour la néphrologue Dr Bâ, par ailleurs chargée de la communication du Groupe interafricain d’étude, de recherche et d’application sur la fertilité (Gieraf), «la lourdeur financière est une barrière à la diffusion de ces techniques». «Elle (La Pma, Ndlr)  n’est pas à la portée de tous les couples qui en ont besoin et même dans les cas où les moyens existent, le problème se pose quand il faut répéter les tentatives», souligne Rokhaya Thiam Bâ. D’où ce plaidoyer : «Il faut développer l’Amp (Aide médicale à la procréation) en Afrique pour permettre aux couples qui en ont les moyens d’éviter de devoir se rendre à l’étranger pour le faire ; ce qui signifie moins de stress en restant avec leur famille, en conservant leur emploi et en réduisant les frais.»

 

L’Etat promet une subvention

 

Les couples exposés au douloureux problème d’infertilité peuvent d’ores et déjà espérer voir le bout du tunnel. Durant le Congrès du Gieraf tenu récemment à Dakar, l’Etat du Sénégal, par la voix de son ministère de la Santé et de l’Action sociale, a annoncé une subvention sur le traitement de ce mal qui empoisonne la vie de nombreuses femmes.  Le ministère de la Santé et de l’Action sociale est, d’ailleurs, en train de réfléchir à la mise en place d’un cadre juridique et d'un plateau technique, mais aussi à d'autres mesures de nature à favoriser au Sénégal la procréation médicalement assistée. Le secrétaire général du ministère de la Santé qui en a fait l’annonce souligne que «les pouvoirs publics ne doivent pas être indifférents aux drames quotidiens que vivent les personnes frappées d'infertilité». «La procréation médicalement assistée est d’actualité et le ministère est en train d’y réfléchir», a indiqué M. Mbaye lors de l’ouverture du congrès du Groupe interafricain d’étude, de recherche et d’application sur la fertilité (Gieraf) qui s’est tenu du 13 au 16 février dernier à Dakar. Non sans souligner que «les compétences techniques et scientifiques de cette forme de procréation existent au Sénégal. Mais, il faut prendre des mesures d’accompagnement capables de faciliter l’accès, du point de vue technique et financier».  «La réflexion continue dans ce sens», a assuré M. Mbaye.

 

PMA ET ETHIQUE : Pour que les enfants naissent dans les règles de l’art

 

Ethique, éthique et éthique. Les professionnels de la santé ne cessent d’insister sur la nécessité de respecter les valeurs morales dans le cadre de la Procréation médicalement assistée (Pma). C’est que les personnes visées par la Pma sont tellement dans le désarroi qu’elles peuvent être des cibles faciles pour des marchands d’illusions peu scrupuleux. «L’infertilité est douloureusement vécue au sein du couple et dans la société», laisse entendre le secrétaire général du ministère de la Santé et de l’Action sociale, M. Mbaye. Qui souligne que «l’infertilité est source de chagrin, de frustrations, de culpabilisation, de stigmatisations, de violences conjugales et d'ostracisme». Pour la femme en particulier, explique M. Mbaye, «l’infertilité l’expose très souvent à l’opprobre. Elle fragilise l’équilibre de sa vie conjugale».  D’où le déploiement des nouvelles techniques pour lutter contre l’infertilité. Au Sénégal, cela s’est traduit par l’arrivée de la Procréation médicalement assistée (Pma). Mais, l’introduction de cette nouvelle technique appelle à une certaine éthique.

 

C’est pour cela qu’Ernestine Gwet-Bell, la présidente du Groupe interafricain d’étude, de recherche et d’application sur la fertilité (Gieraf) qui s’exprimait lors de l’ouverture d’un congrès tenu au mois de février à Dakar, a signalé que la Procréation médicalement assistée a ses limites et fait appel à une éthique. «Il ne faut pas que n’importe qui se mette à faire de la procréation médicalement assistée, parce qu’il faut une formation et des règles éthiques», avait-elle indiqué. Avant de préciser : «Le Gieraf a élaboré un guide des bonnes pratiques qui a été remis aux Etats. Nous pensons que ce guide permettra de voir comment pratiquer cette forme de procréation dans les règles de l'art et le respect de son éthique.»

 

OUSTAZ ASSANE DIOUF, CHEF DU DESK RELIGIEUX DE WALF TV : «Une lame à double tranchant»

 

«Avoir des enfants contribue à perpétuer la famille et à la renforcer au sein de la communauté.» C’est en tout ce que croit Dr Rokhaya Thiam Bâ, spécialiste en néphrologie. Elle parle, d’ailleurs, d’«un enjeu considérable qui doit pousser les soignants à accorder une attention particulière à l’Aide médicale à la procréation (Amp)». «D’autant que, croit-elle savoir, la religion ne l’interdit pas quand les gamètes sont du couple.» Mais qu’en pense vraiment la religion ? Pour Oustaz Assane Diouf, chef du desk religieux de la chaîne de télévision privée Walf Tv, le problème devrait être abordé à deux niveaux. Il explique : «S’il s’agit d’un couple uni selon la charia et la sunnah du prophète Mahomet (Psl), l’Islam dit que ces couples, qui ne peuvent procréer, peuvent bénéficier de cette opportunité pour espérer avoir des enfants. Pour ce qui est maintenant de l’implantation du sperme d’une autre personne autre que celui de l’époux légitime et légal, l’islam ne saurait approuver le procédé.» Et Assane Diouf d’ajouter : «L’islam accorde beaucoup d’intérêt à la conservation de la progéniture.»

 

Toutefois, note le réalisateur de l’émission «Diiné ak Jamono» sur Walf Tv, «si c’est le mari qui est malade, le divorce peut être prononcé pour permettre à la femme de chercher un autre homme». Et d’avertir : «La procréation médicalement assistée est une lame à double tranchant. S’il y a des difficultés dans le déroulement normal des choses pour l’époux comme pour l’épouse ou s’il y a des complications à procréer, ce mode de procréation peut se faire en se basant sur les gamètes du couple. Cette technique ne doit pas se réaliser si la voie naturelle est encore possible.» «Parce que, en ce moment, souligne-t-il, ce ne sera plus une opportunité, elle est alors prohibée par la religion musulmane.»

 

Magib GAYE



23 Commentaires

  1. Auteur

    Fama

    En Mars, 2013 (05:01 AM)
    Bilahy li kouko doundoul rek meuno comprendre nimou metiwe mais yalna lene yalla diapale Ba keep koumou daleu rek mou degn
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  2. Auteur

    J En Sais Quelque Chose

    En Mars, 2013 (05:35 AM)
    Une soeur de mon pere avais la Quarantaine, mariee, comblee, une chose lui manquait : Un enfant. Elle a subiT toute sorte d humiliation, mais dara. Dites vous qu ils sont "allez " dans tous les pays du monde, pour voir des gynecologues renomes, a chaque fois, c est les memes reponses " Soyez patients, du courage. Une fois, elle a accompagnee son Mari, qui effectuer un travail dans une ONG dans un village en Guinee Conackry. Et dans ce village, il y avais un vieux a qui mon oncle s etait confier. Le vieux rentra ds la brousse, et recolte des plantes, bref, Il leur donna une poudre, et les a ordonner a la prendre pendant deux jours, ma tante et mon n arretez pas de rires parceque, ils avaient tt essayer et rien a marcher. le dernier jr ou ils quitter le village, le vieux les a SUPPLIER de prendre de la poudre et l amener avec eux, parcequ ils en aurons besoin, mais ils ont refuser, Le vieux a souris et leur a dit, quand vs aurez votre fille, dites lui que son mari vas lui envoyer sa depenser CHAQUER JR, ILS ONT TOUS ECLATER DE RIRE. Ils se st separer. Quatre mois apres, mon oncle et ma tante ont decouvert qu ils attendaient Un Bebe, une fille qui a 18 ans aujourdhui, qui fais ses etudes a paris. Neuf mois apres sa naissance, mon onlce a conduit et s est retourner ds ce meme village pr voir le vieux. On lui que ce vieux etait juste de passage, et qu il avait quitter leur village et ils ne savent ou il est partit . Ma tante et son Mari ont tt essayer, mais dara, donc, ils se contentent de leur fille unique, mais se fachent a chaque fois quand ils pensent qu ils aurait du ecouter ce vieillard. La morale de l histoire est : NE VOUS DECOURAGER JAMAIS, FAITES DES DOUAS, ESSAYER LES PLANTES, BREF TOUT ET CA VAS ALLER. QUE DIEU ASSIST A TOUS CEUX QUI CHERCHENT DES ENFANTS, AMINE.
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    Scorpionje

    En Mars, 2013 (05:55 AM)
    Moi je cherche une Femme steril

    Omis defekt Moin de Problem

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    Ama

    En Mars, 2013 (06:59 AM)
    EN VRAI CROYANT ON DEVRAIT SAVOIR QUE LE FAIT DE METTRE AU MONDE UN ENFANT RELEVE DE LA VOLONTE DIVINE .CERTES LA MEDECINE FAIT DES PROGRES DANS CE DOMAINE .DOME FOUKO SUNU BOROM TOUDOUL DOU FA AM JAMAIS .
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    6583374kébé

    En Mars, 2013 (08:47 AM)
    Man bay lahad mbegeul gu may dougel ci djigén bama takgo niak dom dougo dindi dééédéd  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
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    Auteur

    Loloulaguiss

    En Mars, 2013 (08:52 AM)
    Journée internationale des femmes ne doit meme pas etre chanter surtout si on voit que ces femmes ont perdu leur fertilité ,leur valeur ,etc tromperies riment bien avec femmes ,donc Mané delou len si yallah ,bayilen di togne yallah ,dieugualou len ,trokhloulen ,nagniou diangua ay kamil ,you bareh ,gniann yallah mou yemalefi moussibas yi ,ballah yi ,ak lepp louy lorr domou adama yi si senegal ,yallah moussal gniou si louy fat bakanou domou adama yi si senegal ak loka weur ,yallah nagniou yallah def gniouy topp dinéh al kuran té moytou sobé si baré yi ,nagniou wakilou ,trokhlou ,dieugualou bou baréh si yallah ,nagniou delou watt si sounou borom bi ,nagniou bayi leup lou yallah téreh ,nagniou toppp sounah ,dinéh ak di ballou hakkh ,sounou deukandos ,sounou morom yi ,in challah gniou diangua ay kamill you barés ,organiser ko si quartier bou nekk ,in challah moussibas bou ndara gnieuw yallah dina gniou ssi art bou bakh ,aminnnne ,té nagniou ssi guaw ,def ko si bir senegal yeup : regions yi ,villages ,capital ak fepp ;yallah dina gniou nangoul in challah ,mann lolou laguiss teyy ,nakh youfiy khew legui si moussibas yi baréna legui !!!!!!!!!!!
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    Fdf

    En Mars, 2013 (09:11 AM)
    AMIN BARAKALLAH OUFIKOUM

    LI SOUGNOU BOROM YA ALLAH SOUBAHANAHOU WA TALLA MAYE MO SEDELOU
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    La Noirde

    En Mars, 2013 (09:33 AM)
    C DOMMAGE K JE NE VIE PAS AU SENEGAL, JE N´ACCEPTERAI JAMAIS JAMAIS JAMAIS K MA BELLE FAMMILE ME FAIT LA PEINE. JAMAIS JAMAIS: BONNE CHANCE MA CHERIE: C TRISTE :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet: 
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    6583374kébé

    En Mars, 2013 (10:17 AM)
    Fi senegal kholyi ñotilin yéneyi bon akh yi bari bonsi lép motakh douñu takgok niona   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
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    Auteur

    Fdf

    En Mars, 2013 (10:31 AM)
    CHER KEBE C EST BIEN DE PARLER WOLOFF ET DE L ECRIRE MAIS J AI DU MAL A TE COMPRENDRE..... SAY WAKH LO AM LA...... D HOMMAGE QUE JE N ARRIVE PAS A SAISIR TES MOTS
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    Kemite31

    En Mars, 2013 (10:48 AM)
    JE CHERCHE UNE SÉNÉGALAISE serieuse , sympas avec ou sans papier je m'en fous DE TOULOUSE [email protected]
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    Femmestérille

    En Mars, 2013 (11:34 AM)
    J'ai vécu cette situition. Après 1O ans de mariage, bien quéatant mariée sous l'option de monogamie avec communauté de bien, mon mari a épousé une deuxième femme qui en quelques temps a eu des enfsnt. Du coup je ne comptais plus rien pour ma belle famille qui estimait même une perte le fait que mon mari continue de me garder et de me nourrir. Toute ma vie a basculé puisque même ma coopéouse illégale se moque de moi publiquement. Que faire ? Je me confie à mon Dieu qui me rendra justice.
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    Gfdjjg

    En Mars, 2013 (12:01 PM)
    Ca j les veccu ct vrema dificil en plys les wudjou pethiorgo dilla daboter dila manke respect affer bu metti sama ndjeuker di sama ennemi waxx nane dumma amal dom sama djieukeur n adeem takkeu kenene cama toucher j n loublierai jamais sama xarit tamitt mm choz danouko waxx djiguene bu ammul dom si neggu seuyeum rek danoukoy fasser mais taay Alhamdulilah nioune niare yeup yalla maynanou sans rien fere domdal yalla mokoy mayer
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    Auteur

    Volai414

    En Mars, 2013 (12:19 PM)
    ETRANGE NATION QUE LES SENEGALAIS !

    Près de quarante ans après, les paroles de la chanson d’Ablaye M’boup restent d’actualité : « gni mana n’gong amou m’bam ». Il y a à peine quelques jours, nous avons vécu un douloureux évènement qui en dit pourtant long. De nombreux sénégalais font une flopée de garnements dont ils ne savent point s’occuper et en font de vulgaires et malheureux talibés livrés aux vices d’adultes enturbannés qui ne méritent guère le qualificatif d’humain. En même temps, nous continuons de pointer du doigt les femmes qui ont du mal à enfanter. Nous leur faisons payer un sort qu’elles n’ont point choisi.

    Qu’est ce qui est vraiment important : faire des enfants ou rendre heureux des enfants ?

    Les hommes sont ceux qui en souffrent peut-être le moins mais ceux qui devraient le plus réagir.

    Quel homme digne de ce nom accepte que ces proches reprochent à sa femme de ne pas être capable de donner de rejeton ? Les lâches.

    Que je sache, d’autres sociétés sont également concernées par l’infertilité mais ont des réactions beaucoup plus intelligentes (comme toujours) que les nôtres. Si les autres trouvent des solutions et pas nous cela veut tout simplement dire que nous sommes nuls à en chier.

    Si mon couple devait se trouver confronté à une telle situation, je ne laisserais personne, ni père ni mère, faire souffrir celle qui m’accompagne. Je discuterais avec elle de ce qui peut être raisonnablement fait si mon désir de descendant est fort. Des solutions, il y en a plein mais les sénégalais sont trop hypocrites pour les affronter.

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    Volai414

    En Mars, 2013 (12:21 PM)
    ETRANGE NATION QUE LES SENEGALAIS !

    Si mon couple devait se trouver confronté à une telle situation, je ne laisserais personne, ni père ni mère, faire souffrir celle qui m’accompagne. Je discuterais avec elle de ce qui peut être raisonnablement fait si mon désir de descendant est fort. Des solutions, il y en a plein mais les sénégalais sont trop hypocrites pour les affronter.

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    Auteur

    Rimka

    En Mars, 2013 (12:24 PM)
      <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   :tala-sylla:  :sn: 
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    Haine

    En Mars, 2013 (12:48 PM)
    en tt cas cas sohnasi mougnal lépee louniou meunti arrivé si adouna c dieu ki la voulu et on yp eu rien sincérement,c dieu qui donnes té lépe loumou def rek dafa fék mou gueune si gnoune , il faut avoir la foie en dieu di diap di diouli tu verra incha allah que yalay boure,mougnal mougnal gueuneul leu yokou mougn tout ira bien pour toi si tu as la foie en dieu, cette vie est si dure on nous réserves tout le temps des choses et des surprises nit gni dinouy bété rek mais malgres tout ce que la vie peut nous réservé on doit rester égale à nous méme c tt ,adouna dou daraa té lofi guiss dafay diekh ,,,mougneul
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    Auteur

    Tristesad

    En Mars, 2013 (13:09 PM)
    Je vis la même chose. Mon mari qui a déjà des enfants à attrapé plusieurs maladies sexuellement transmissibles qui ont détruit ses spermatozoïdes, il savait qu'il ne pouvait pas avoir un enfant naturellement et me l'a caché pendant très longtemps et donc j'ai perdu beaucoup de temps. A chaque fois il me faisait croire que j'ai un rap, ce qui est impossible car je n'ai aucun signe qui le prouve...pas de reves érotique...rien. Mon medecin m'a dit que mes analyses sont plus que bonnes et a obligé mon mari à faire des analyses. Résultat "azoospermie très prononcée " et donc impossible de faire un enfant sans aide médicale à la procréation. Le ciel me tombait dessus car mon plus grand reve était d'avoir des enfants. Malgré ça, je ne l'ai accusé de rien, nous avons regardé les possibilités avec un hôpital privé très cher car l'attente était très longue dans les autres hôpitaux. J'ai dépense plus de 4 millions de CFA sans son aide (car il ne travaille pas) supporté les piqûres d'hormones, les prises de sang...c'etait très contraignant et difficile physiquement et moralement. Pendant ce temps mon mari me trompait avec une autre femme...je viens tout juste de l'apprendre. Pourtant il m'avait juré sur le saint coran qu'il s'est rangé et que son passé et derrière lui. Donc l' intervention n'a pas réussi car il m'a abandonné le jour ou j'avais le plus besoin de son soutien pour aller dormir je ne sais ou.. Aujourd'hui il raconte partout que je ne peux pas avoir d'enfant, que je suis stérile, que j'ai des rap, que je suis chiante...Et dieu sait que c'est lui le problème. Sa propre famille raconte des conneries sur mon compte et pourtant ils savent comment est leur fils, et quelle vie de débauche il a mène. Mane khamouma dara a part metro boulot dodo. Mon témoignage est anonyme et n'est pas fait pour yakh deer mais juste pour confirmer comment les femmes souffrent car c'est toujours elles qui sont montrées du doigt. Sama philosophie moye Lou diote yombeu ak wolou yalla mais metina lol.
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    Auteur

    Old Fashion

    En Mars, 2013 (13:12 PM)
    jamais je n accepterai que la belle famille me fasse des miseres car je ne peu enfanter c est nimporte koi a la fin on dirait k lon fait des enfants juste pour faire plaisir a la belle famille leur montrer kon en est capable ou pr rivaliser avec les belles soeurs et autres mais pourkoi se preoccupe ten trop de ce k pense les autres mais vivon notre vie kom on lenten la societe senegalaise est trop feodale on tient trop sur des details alors k les autres avancent . Un enfant je le veux car mon mari et moi en avon decide un point c tt et ns ferons tt notre possible pr leduker tres convenablement kil ne mank d rien mais c kon voit de nos jours a dkr ou au senegal c est un concours ds les foyers et resultat des courses on ne sokupe pas de ces enfants ki trainen ds la rue ou st ds les daaras maltraites je ne comprend vraimen pas la mentalite hypocrite de cette societe . Je dis non a ces tradition anti islam a ces ada ki ne sorten pas du coran et je dis wi a la liberte dexpression des femmes soyons maitres de nos decisions et assumons les et surtt ne laissons personne ns mettre des batons ds les roues car yen a marre kan meme pkoi souffrir car dautres personnes (belles familles) ns metten en mal . mais pr la plupart elles nont pas de sources de revenues dc dependen du mari c pkoi elles ne peuvent pas fer grd chose ..... dommage
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    Oip

    En Mars, 2013 (13:13 PM)
    on reste celibataire a jamais ce mieux
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    (6583374kébé

    En Mars, 2013 (14:30 PM)
    (Bépou djigén bouY sey bousañon am ndiabot mai yalla moy dogal ta nit migui yotu lou ganoul si mom man nga sey do am dom ngay ñanlou didéf louné guir am dom mai légui nga am dom dou mél nila nékh légui mouy diona si yaw namou bayui lépbou si lokho yalla mangui diéglou si mbindmi ñag diang rék  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
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    Auteur

    @tristesad

    En Mars, 2013 (18:44 PM)
    Ne soit pas triste ma soeur Allah dou sétane gore bouye torokheule djiguene. J'aime bien sa nguem yallah, bounekhe allah di nale defale niane. sa wayeji mome sétane ko rek foumouye moudieu.  :love: 
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    6583374kébé

    En Mars, 2013 (19:58 PM)
    Dom youbary mom diona rék khalé yui légui goor ñi dokhan rék djigén ñi mbaran rék   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
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