Face à l’exacerbation de la violence, notamment avec l’insécurité urbaine à Dakar, l’Institut africain de gestion urbaine (Iagu), avec l’appui technique et financier du Centre de recherche pour le développement international, a lancé le projet de recherche sur «la violence chez les jeunes à Dakar : contexte, facteurs et réponses». L’objectif est de produire des données qui «pourraient éclairer la prise de décision sur les questions relatives à la violence».
«La question de la sécurité et de la violence est un enjeu dans les villes africaines, notamment dans les villes sénégalaises. Nous allons faire des investigations sur la question de la violence chez les jeunes dans la région de Dakar», a indiqué le Dr Oumar Cissé, secrétaire exécutif de l’Institut africain de gestion urbaine.
«Nous espérons, à travers cette étude, produire des données rigoureuses et scientifiquement valides. Des données qui pourraient éclairer la prise de décision sur les questions relatives à la violence. Ces recherches impliquent les communautés, les associations, avec comme objectif de produire des informations fiables et des données probantes qui pourraient éclairer l’intervention aussi bien des décideurs centraux locaux que des organisations communautaires dans la prise en charge, la prévention et la gestion de la question de la violence chez les jeunes», fait-il savoir.
La représentante de l’ambassadeur du Canada au Sénégal a estimé, pour sa part, que ce projet aura des répercussions sur les collectivités de façon plus large. « Cette recherche ouvre les nouvelles voies de la prévention. Il vise un environnement sain et sécurisé pour les jeunes », a-t-elle indiqué. En effet, l’étude a l’objectif de fournir des données probantes aux décideurs publics, aux acteurs sociaux et aux jeunes (filles et garçons) qui permettront l’élaboration de politiques et programmes pour lutter efficacement contre l’exclusion des jeunes et leur engagement dans les situations de violences. Elle vise de façon spécifique la conduite d’un diagnostic critique des facteurs politiques, économiques, sociaux, culturels, institutionnels et l’aménagement qui expliquent le phénomène d’exclusion et d’engagement des jeunes dans la violence.
9 Commentaires
Anonyme
En Mai, 2017 (00:48 AM)Anonyme
En Mai, 2017 (01:18 AM)PRIX : 15.000 F la boîte de 10 sachets
10.000 F la boîte de 6 sachets
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Anonyme
En Mai, 2017 (06:00 AM)Anonyme
En Mai, 2017 (09:19 AM)Signez cette petition svp
As
En Mai, 2017 (09:31 AM)Anonyme
En Mai, 2017 (12:09 PM)A Mediter : Envahissement Des
En Mai, 2017 (12:58 PM)Une autre infraction de même nature serait survenue le 23 mai 2015 près du Caméléon au centre-ville de Victoriaville alors que, selon les policiers, le cavalier aurait refusé de nettoyer la chaussée.
Ce même jour, des policiers auraient constaté des excréments de chevaux à différents endroits sur le boulevard des Bois-Francs Sud, notamment en face du Vidéotron.
Devant tous ces présumés faits, une seule et même réponse de Jean Roy qui nie tout. «À chaque fois que je viens en ville, mon cheval peut déféquer à une dizaine ou une douzaine de reprises. J'ai toujours mes sacs à crottes. Je ramasse toujours au fur et à mesure et je les jette dans les poubelles qu'on retrouve partout. Si je manque de sacs, je vais au dépanneur. Ils sont gentils, ils me les donnent», a-t-il confié.
Anonyme
En Mai, 2017 (13:11 PM)Anonyme
En Mai, 2017 (22:44 PM)Le manque de sensibilisation sur l'importance des Jeunes.
La non responsabilisation des jeunes.
Niiaaak soutoura thi parents yi envers eux et envers les jeunes thi deuk bi!
Que des fléaux. IL est difficile meme de les énumérer.
Le Sénégal peut disposer d'une croissance économique mais le développement économique n'est pas d'actualité pour le sénégal à cause de l'incivisme dans ce pays!
Anyway, Bonne chance
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