Jeudi 28 Mars, 2024 á Dakar
Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Sport

Basket - Primes: Matar Bâ force la main au Directeur de la Haute compétition

Single Post
Basket - Primes: Matar Bâ force la main au Directeur de la Haute compétition
C'est à se demander si au ministère des Sports, les choses se passent normalement. Alors que le Directeur de la Haute Compétition (DHC), déclarait à propos des primes proposées aux Lions du basket que "c'est à prendre ou à laisser", le ministre des Sports a joué sur un tout autre registre dès qu'il a été mis au courant de la grogne des Lions.
 
Après avoir échangé sur la question avec le président du Comité de normalisation du basket sénégalais (Cnbs), actuellement en déplacement aux Etats-Unis pour les besoins d'une renégociation de contrat avec l'équipement des Lions, le ministre Matar Bâ a de suite donné de fermes instructions au Directeur de la Haute Compétition. Ces dernières visant à régler la question des primes avant le départ de l'équipe pour Bamako.
 
"C'est nuitamment que des membres du cabinet ministériel, accompagnés de membres du Cnbs, sont venus rendre visite aux Lions à leur hôtel pour négocier de nouvelles primes", informe une source proche de la Tanière.
 
Ainsi, en lieu et place des 100.000 francs CFA de primes de participation initialement prévus, le ministre a demandé à ce que cette somme soit portée à 500.000 francs FCFA.  Les primes de qualification, elles, demeurent inchangées et restent fixées à 300.000 francs CFA.
 
Actuellement en préparation, les Lions de Cheikh Sarr prendront la direction de Bamako demain jeudi, dans la matinée. L'équipe y affrontera les Aigles du Mali ce samedi, à 17 heures. Il s'agit de la première des deux rencontres de qualification à l'Afrobasket 2015 qui opposent les deux nations.


22 Commentaires

  1. Auteur

    Lhom

    En Février, 2015 (17:12 PM)


    FCFA : Comment la France nous vole





    Sarkozy devrait sûrement regarder les enfants des polygames et des femmes excisés avec un œil beaucoup plus bienveillant. Notre argent depuis la seconde guerre mondiale, permet au trésor français de bien se tenir. Nos pays, anciennes colonies de la France, continuent à travers la BCEAO de déposer 50% de leurs réserves d’argent au trésor français, pour obtenir une garantie de convertibilité inutile. Ces dépôts sont estimés aujourd’hui à plus de 8000 milliards de francs cfa.



    C’est-à-dire que pour un franc cfa battu, la France demande en garanti pour assurer sa convertibilité, presque 10 f cfa. Les africains sont loin d’être inutiles à la France. Ils n’ont pas seulement les élites pour le rappeler souvent aux néo-lépenistes de L’Elysée. Le franc des colonies françaises d’Afrique (CFA) rebaptisé franc de la communauté française d’Afrique reste toujours accroché à l’ancienne Métropole. Les pays de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) ont choisi de déposer leurs réserves de change au trésor public français. Certains pays du Maghreb et la Mauritanie ont choisi de battre leur propre monnaie et de quitter la zone franc pour une organisation libre de leur économie à l’aube des indépendances. L’Afrique noire française est-elle restée dans le schéma qui a guidé la monnaie en 1945. Les économies restent toujours surveillées par la France à travers les accords de coopérations et les convention d’opération.



    Selon le directeur national de la banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) au Burkina, M. Bolo Sanou, la monnaie est le miroir de la société. Elle reflète la santé économique d’un pays. C’est elle la locomotive de l’économie et du développement. On ne peut donc dissocier politique monétaire et politique économique. La BCEAO doit sauvegarder la valeur interne et externe de la monnaie pour garantir la stabilité des prix. Elle a le droit exclusif de l’émission monétaire.



    La définition de la politique de change et de réserves de changes reste toutefois la prérogative du conseil de ministre de l’UMOA. Cette politique tient compte de l’accord de coopération entre la France et les pays de l’UMOA et les conventions de compte d’opérations conclues avec le trésor français. Les termes de ces accords laissent penser que le CFA est une sous monnaie du franc français, puis de l’euro.



    Il existe différents types de régime de change dont le taux de change fixe et le taux de change flexible. Les pays de l’UMOA ont opté pour cette dernière forme. Le directeur national a fait savoir qu’il n’existe pas de régime idéal. Le franc de la communauté française d’Afrique (f cfa) est lié à l’euro pour une parité fixe de 655,957 f cfa. Par contre les taux de change avec les autres devises s’effectuent en fonction du cours des marchés. Mais toutes ces devises doivent être converties au préalable en euro suivant la cotation du jour de cette monnaie sur le marché de change. L’accord de coopération signée entre la France et ses ex colonies en 1973 à Dakar prévoit que la France apporte un appui à l’UMOA pour assurer la libre convertibilité illimitée du f cfa quelles que soient les circonstances. Cela se traduit par la protection contre le risque d’épuisement en devises. La France et ses colonies ont convenu également à la centralisation des réserves de changes des pays de l’UMOA.



    Ces réserves sont utilisées sur le principe de la solidarité. La banque centrale dépose ensuite 50% de ces réserves de change auprès du trésor français sur le compte d’opération, en contrepartie de la convertibilité illimitée garantie par la France. Ce taux de 50% est entré en vigueur en 2005. Il était de 65% dans le premier accord. L’article 2 de cet accord stipulait que la banque centrale versera au compte d’opérations du trésor français les disponibilités qu’elle pourra avoir en dehors de la zone d’émission, soit 65% de ses avoirs extérieurs. Les 35% doivent servir à des charges bien définies. Il s’agit des sommes nécessaires pour la trésorerie courante de la banque centrale, pour obligations contractées par les Etats à l’égard du FMI et des sommes libellées en devises auprès de la banque des Règlements internationaux (BRI) etc Le compte d’opération est un compte ouvert au trésor français au nom de la BCEAO. Selon M. Bolo Sanou, c’est un compte rémunéré qui offre la possibilité d’un découvert illimité. Mais en cas de découvert sur le compte d’opérations le trésor français prélève des intérêts.



    Le fcfa est une monnaie imposée par la France à ses colonies en 1939 et officialisée en 1945. Jadis Franc des Colonies Françaises d’Afrique, l’appellation est passée à Franc des Communautés Financières d’Afrique. La monnaie relève de la souveraineté des Etats, et est surtout le reflet de la politique et des rapports de forces. C’est pourquoi M. Bolo Sanou affirme que la question du mariage f cfa et euro est un sujet éminemment politique. Cet arrimage du franc cfa à l’euro est un prolongement de l’union française qui regroupait la France et ses colonies. Après les indépendances, le colonisateur n’a pas souhaité couper le cordon ombilical avec ses colonies, notamment dans le secteur économique. Les pays de l’UMOA ne sont pas maîtres de leur monnaie, donc de leur économie. L’histoire du franc des colonies d’Afrique montre que cette monnaie est fortement vitale pour l’ancienne métropole.



    Le franc cfa, instrument de domination et de spoliation des colonies



    Le franc, monnaie française a été imposé par la France à toutes ses colonies. En Afrique le colon exigeait dès 1891 que l’impôt de capitation soit payé en franc français. Les monnaies locales et étrangères étaient ainsi bannies. Les populations africaines étaient contraintes d’introduire dans les échanges le franc français.



    Les colonies qui venaient d’adopter la monnaie de la métropole, intégraient du coup la zone franc de l’union française. La zone franc est une zone monétaire unique sans problème de change. On ne pouvait pas encore parler de change puisque c’est une monnaie unique pour la France et ses colonies. Mais la seconde guerre mondiale et ses conséquences sur l’économie de la France va bouleverser l’ordre dans la zone franc. Les transactions avec les colonies sont perturbées par les difficultés du transport maritime avant d’être complètement arrêtées. L’inflation sévit partout et s’en est suivie une perte globale de la compétitivité de la zone franc. La France affaiblie économiquement par la guerre, enregistrait une dépréciation forcée de sa monnaie face à la livre sterling et au dollar américain.



    Une reforme monétaire s’imposait dans la zone franc pour une reprise des exportations. Ce sont les colonies qui vont payer le prix fort. La France décide le 25 décembre 1945 de dévaluer le franc et de créer des devises pour ses colonies avec des parités fixes. Les francs des colonies françaises d’Afrique (CFA) et des colonies françaises du pacifique (CFP) furent ainsi créés.



    La création de cette sous monnaie permet à la France d’importer beaucoup moins cher et de vendre plus cher à ces colonies. Le pouvoir d’achat dans les colonies devenait également très élevé avec la hausse des prix des marchandises importées, et la baisse des prix des produits exportés des colonies.



    Ces colonies qui ont participé à l’effort de guerre devront encore continuer à se saigner pour le relèvement de l’économie française. Les producteurs africains devront exporter plus pour acheter moins. La France reprenait ainsi les échanges commerciaux par une spoliation de ses colonies. Le f cfa est donc une monnaie de spoliation dans ses origines. Il n’y avait rien de surprenant que cette intégration économique forcée des colonies servait plus le peuple français. Le pacte colonial en vigueur était l’expression de cette véritable spoliation aggravée par l’effort de guerre et le f cfa. Ce pacte colonial imposait que les colonies ne pouvaient vendre et acheter qu’avec la métropole. Les prix sont fixés également par la puissance. Elles ne pouvaient pas avoir d’industries, la France se chargeait de la transformation des matières premières.



    La BCEAO , une œuvre de la France



    Le fcfa est resté sous le contrôle exclusif de la métropole, et il a fallu attendre la signature de la loi cadre en 1946 pour que quelques aspirations des colonies soient prises en compte. Il a été créé l’institut d’émission, un établissement public national français avec siège à Paris. C’est lui qui a le privilège exclusif d’émettre des billets de banques pour les pays de l’Afrique occidentale française. La politique monétaire reste toujours le monopole de la France. La réglementation, la législation relative à la monnaie et aux changes reste toujours de la compétence de la France.



    Cet institut d’émission qui joue le rôle de banque centrale servira à financer l’économie française. Il faut donc remonter à la convention de 1955 pour comprendre les liens séculaires entre le trésor public de France et la BCEAO. La banque centrale de l’UMOA est le prolongement de l’institut d’émission. Les opérations de change avec la BCEAO, tout comme l’institut d’émission sont exécutées dans le cadre de la convention de compte d’opérations signée en 1955 entre l’institut d’émission et le trésor public français. Cette convention stipule que l’institut dispose d’un compte courant ou compte d’opérations au trésor public français, l’institut d’émission y verse tous ses avoirs qu’il se constitue hors du territoire d’émission, exception faite des sommes faites pour sa trésorerie courante. Lorsque le solde du compte est débiteur, le trésor prélève des intérêts et si le solde est créditeur, il reste en dépôt au trésor français.



    Cet institut d’émission subit une transformation en 1959 pour devenir banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) sous contrôle français. Les attributs et les fonctions ne changent pas. Pour une fois les africains entrent au conseil d’administration avec huit représentants et huit pour la France. Mais ce n’était que formelle, puisque les décisions dépendaient beaucoup plus de la métropole que des africains. La BCEAO a évolué sous ce statut jusqu’en 1972. Les pays de l’UMOA vont en ce moment demandé des reforme de l’institution. Le général Marc Garango ministre des finance de la Haute Volta fut le président du comité de réflexion de cette reforme.



    Il semble que cette prise de conscience a été impulsée par le retrait de la Mauritanie et des pays du Maghreb de la zone franc. Ces pays ont décidé de battre leur propre monnaie.



    Le président mauritanien expliquait en ces termes les raisons de battre une monnaie. « Nous savons qu’on ne peut être indépendant économiquement si on ne bat pas sa propre monnaie. Si on n’a pas la maîtrise totale de la politique de crédit. Cette monnaie sera garantie par nos moyens nationaux malgré la sécheresse qui nous a accablée pendant trois années consécutives ». Les pays de l’Afrique noire française ont préféré évolué dans le giron français. Le renforcement du soutien de l’Etat français pour garantir la convertibilité du f cfa au niveau international a été même sollicité. Les quelques reformes recommandées n’ont pas été du goût des autorités françaises qui y voyaient des velléités d’autonomie. Les pays de l’UMOA vont néanmoins forcer la main de la France et obtenir une gestion partagée de la banque centrale sous un accord de coopération signée par les deux parties.



    Les pays de l’UMOA vont obtenir l’africanisation de la banque centrale. Cela inclut une autonomie surveillée de gestion, le transfert de siège de la BCEAO sur le continent africain et le remplacement des français par des cadres africains au sein de la banque. Dakar fut choisi pour abriter le siège de la banque. C’est d’ailleurs dans cette ville que furent implantées les premières banques coloniales. L’esprit colonial demeure toutefois dans cette nouvelle gestion et ce partenariat négocié sous des conditions. La France maintient sa présence avec deux représentants dans le conseil d’administration de la banque centrale et participe à toutes les deliberations



    Par Abdoul Razac Napon



    -----------------------------------------



    Les comptes d’opération



    Il y a actuellement environ 8000 milliards de francs CFA venant de la BCEAO et la BEAC stockés au Trésor public, soit plus de 12 milliards d’euros. C’est autant d’argent qui est amputé du budget des États de la zone franc. La France rémunère les banques centrales africaines en intérêts, tout en se servant au passage grâce à des placements privés (des sommes dégagées au profit de la France qui se comptent en centaines de millions d’euros). Pire, la part d’intérêts versée aux banques centrales est comptabilisée dans l’Aide Publique au Développement !



    Lorsque le rapport entre les avoirs extérieurs nets et les engagements à vue de chacune des Banques centrales est demeuré, au cours de trois mois consécutifs inférieur à 20 %, le Conseil d’administration de la Banque centrale concernée se réunit en vue d’adopter les mesures appropriées : relèvement des taux directeurs, réduction des montants de refinancement. Les statuts de la BCEAO précisent que lorsque les disponibilités en compte d’opérations présentent une « évolution qui laissera prévoir leur insuffisance pour faire face aux règlements à exécuter, elle devra alimenter le compte d’opérations par prélèvement sur les disponibilités qu’elle aura pu se constituer en devises étrangères autres que le franc, demander la cession à son profit, contre francs CFA, des devises détenues par les organismes publics ou privés des pays membres (pratique dite du » ratissage "), et invitera les Etats membres à exercer leurs droits de tirage sur le Fonds monétaire international.



    Source : Afrik.com



    L’Evènement

    Top Banner
  2. Auteur

    Cheikhsarrnocoach

    En Février, 2015 (17:25 PM)
    Cheikh Sarr dou coach please. J'ai ete joueur et je suis le basket depuis que je suis ne mais sicnerement Cheikh Sarr dou coach. On a la meilleure equipe d'Afrique je vous assure mais le coach ne merite meme pas de coacher une equipe de lycee.

    Je n'ai rien contre lui car je ne le connait meme pas mais je repette la meme chose depuis que je le connais. Il detruit meme le jeu de certains. Ngir yalla Cheikh bayil sinon dougni dem fenn.
    {comment_ads}
    Auteur

    Titeuuff

    En Février, 2015 (17:31 PM)
    je ne comprend pas,pourquoi donné au foot tout les moyens dont ils ont besoin,et que la feuille de route des basketeurs ne fait meme pas 120 000 000  :down: 
    {comment_ads}
    Auteur

    Ben

    En Février, 2015 (17:37 PM)
    le diercteur de la haute compétition est un homme qui dérange, il faut qu'il retourne à la consultance car sa rigueur ne passera jamais. Les politiciens sont dans le compromis,

    DHC, démissionne c'est mieux pour vous
    {comment_ads}
    Auteur

    Jimm

    En Février, 2015 (18:06 PM)
    dafa sakh rousslou

    Top Banner
    Auteur

    Tsé Toung

    En Février, 2015 (18:12 PM)
    Ce ministre est un vrai roublard , le Directeur de la haute compétition n'ose pas proposer de somme sans que le ministre ne le lui demande. Aprés avoir déplacé tous les voleurs du nawétane en guinée équatoriale ; il cherche à se faire des économies pour lui meme sur le budget de L'Afrobasket . IL n'est pas à la hauteur ,il n'a ni le niveau ;ni la classe encore moins l'élégance . Nous interpelons le président de la république pour qu'il nous débarasse de ce vipére .
    {comment_ads}
    Auteur

    Yeet

    En Février, 2015 (18:43 PM)
    Le ministre le plus nul de la Republique!!!!! A peine bachelier, doungourou de Mareme Faye!!!!

    {comment_ads}
    Auteur

    Mass

    En Février, 2015 (20:10 PM)
    Diokhléne boy yi loumat way wakhnéne DEUG
    {comment_ads}
    Auteur

    Tsé Toung

    En Février, 2015 (20:46 PM)
    c'est une vipére , à peine nommé il réve déja de se faire des milliards sur le dos des sportifs . Sénégal dou déme comment ose t on nommé un parvenu qui n'a fait aucune haute étude sérieuse , il n'a jamais fréquenté aucune université à des fonctions aussi sérieuse de ministre de la république . Les faits donnent raison à Tounkara qui disait que les nomination clientéliste de Macky sall plombent l’émergence du pays .Matar Ba n'a aucune notion de la haute compétition il n'est qu'un valet de ce minable et activiste Amadou kane des navetanes .
    Top Banner
    Auteur

    Cheikh Tamba

    En Février, 2015 (22:18 PM)
    c'est vraiment une honte. Comment peut on aspirer à gagner une coupe alors que les joueurs ne sont pas pris en charge correctement.

    Ce DHC doit dégager. il n'a aucun respect pour nos joueurs.

    {comment_ads}
    Auteur

    Cvw

    En Février, 2015 (22:45 PM)
    Le doc à bon dos comme si c'est lui qui détient l'argent
    {comment_ads}
    Auteur

    Fgd

    En Février, 2015 (23:04 PM)
    C'est ça un directeur bouc un émissaire ft fusible des ministres politiciens

    Mais un directeur ne décide pas des montants des primes.
    {comment_ads}
    Auteur

    Fetiu

    En Février, 2015 (23:11 PM)
    Tout le monde sportif c'est que depuis l'arrivée de matar ba le DHC n'a plus de pouvoir .je ne comprends pourquoi il se met au premier plan pour défendre le ministre de maréme faye
    Top Banner
    Auteur

    Fhc

    En Février, 2015 (23:44 PM)
    DHC quitte le ministère car tu ne fais pas parti des plans du ministre il devait te chasser après la coupe d'Afrique tu es l'ami de son ennemi donc son ennemi
    {comment_ads}
    Auteur

    Kts

    En Février, 2015 (23:51 PM)
    Le DHC FAIT PARTI DES RÉDACTEURS DE YONU youkute. personne ne peut le chasser car quand il défendais maki sall beaucoup de cadres étaient à la generation du concret
    {comment_ads}
    Auteur

    Bbb

    En Février, 2015 (23:55 PM)
    Mais dans ce ministère il n'y a que Jules pour défendre le département
    {comment_ads}
    Auteur

    Agrnt

    En Février, 2015 (23:59 PM)
    Tous les agents du ministère souhaite avoir monsieur Diop comme directeur .il s'occupe bien de ses agents et aide tout les bénévoles
    Top Banner
    Auteur

    Tu Bab

    En Février, 2015 (00:03 AM)
    Bien fait pour le directeur de la compétions il devait démissionner depuis longtemps car il n'a aucun pouvoir depuis l'arrivée de ma tard
    {comment_ads}
    Auteur

    La Vérité

    En Février, 2015 (00:58 AM)
    Stp stp stp arrêtons l'état m'a pas de politique sportive une seule chose les intéresses l'argent pour ce partage .j'ai mal au coeur de voir des primes de 500000 fcfa le basket a fait bcp de plaisir avec des gloires le mali passe au Sénégal pour vivre ils ont trois stades omnisports ou che nous le

    Marius ndiaye ou en 1976 je retrouve le meme le temple du basket sénégalais c'est une honte







    {comment_ads}
    Auteur

    Fallll

    En Février, 2015 (11:20 AM)
    le sport ne marchera pas car comment désavoué un directeur qui connait mieux que toi les réalités du sport, dommage, de plus pourquoi payer des primes de participation pour des phases éliminatoires, et 2 000 000 0 UN ENTRAI9NEUR POUR UN MATCH
    {comment_ads}
    Auteur

    Bayilene Matar

    En Février, 2015 (14:43 PM)
    BAYI LENE MATAR MOU LIGUEYE. IL DOIT BIEN PRENDRE SON COURAGE A DEUX MAINS ET FOUTRE UN BON COUP DE PIED DANS CETTE FOURMILIERE QU'EST DEVENU LE SECTEUR SPORTIF SENEGALAIS POUR OBTENIR LES RESULTATS ATTENDUS PAR LES SENEGALAIS.
    Top Banner
    Auteur

    Juuuste

    En Février, 2015 (21:27 PM)
    Le ministre de maréme faye à créé un dangereux précédent maintenant tous les sportifs vont faire de la surenchère
    {comment_ads}

Participer à la Discussion

  • Nous vous prions d'etre courtois.
  • N'envoyez pas de message ayant un ton agressif ou insultant.
  • N'envoyez pas de message inutile.
  • Pas de messages répétitifs, ou de hors sujéts.
  • Attaques personnelles. Vous pouvez critiquer une idée, mais pas d'attaques personnelles SVP. Ceci inclut tout message à contenu diffamatoire, vulgaire, violent, ne respectant pas la vie privée, sexuel ou en violation avec la loi. Ces messages seront supprimés.
  • Pas de publicité. Ce forum n'est pas un espace publicitaire gratuit.
  • Pas de majuscules. Tout message inscrit entièrement en majuscule sera supprimé.
Auteur: Commentaire : Poster mon commentaire

Repondre á un commentaire...

Auteur Commentaire : Poster ma reponse

ON EN PARLE

Banner 01

Seneweb Radio

  • RFM Radio
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • SUD FM
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • Zik-FM
    Ecoutez le meilleur de la radio

Newsletter Subscribe

Get the Latest Posts & Articles in Your Email