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Me Augustin SENGHOR, Pdt de la FSF : « Nous sommes dans une dynamique de remobilisation »

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Me Augustin SENGHOR, Pdt de la FSF : « Nous sommes dans une dynamique de remobilisation »

Plus d’un mois après les événements de Sénégal-Côte d’Ivoire, le football sénégalais tente encore de soigner ses blessures. Le match Niger-Sénégal devait permettre aux Lions de recoller les morceaux, mais loin d’arranger les choses, ce match amical n’a fait qu’accentuer la polémique autour de la Tanière. De l’affaire Papiss Demba Cissé à la question de l’entraîneur, en passant par le football local, Me Augustin Senghor se confie.  

 
Président, l’actualité est marquée par le match Niger-Sénégal qui a fait couler beaucoup d’encre. D’abord, quelle appréciation faites-vous de la réaction des joueurs eu égard à ce qui s’est passé à Dakar le 13 octobre dernier ?
Je pense que, mis à part les joueurs qui ont fait défection, nous avons eu un groupe très réceptif et surtout très motivé pour les challenges futurs. Cela dit, à cette occasion, nous avons eu une petite réunion sur place avec les joueurs et le staff technique, non seulement pour aborder toutes les questions qui étaient en suspens concernant les relations à l’intérieur du groupe. Comme vous le savez, on a évoqué le cas de Bouna Coundoul et certains membres du groupe. Il fallait creuser l’abcès, ce que nous avons fait. Maintenant, nous pensons que ces incompréhensions au sein du groupe seront dépassées. Ils doivent savoir que l’intégrité du groupe passe par un accord entre eux.     

Dans d’autres circonstances, un match nul contre le Niger n’est pas pour honorer le Sénégal. Mais, au vu de ce qui s’est passé ces derniers mois, n’est-ce pas rien ? 
Oui, ce match nul n’est pas rien. Mais je pense qu’il ne faut pas sous-estimer cette équipe nigérienne qui vient d’enchainer deux qualifications à la Can. Il ne faut pas oublier qu’ils ont éliminé la Guinée qui était dans une phase ascendante. Cela montre que cette équipe du Niger mérite du respect. Il était aussi important, pour nous, de jouer une équipe qui était déjà qualifiée en Can. Cela permet de montrer la valeur de notre équipe nationale, surtout que nous étions amputés de pas mal de joueurs de qualité, et de notre potentiel.      

Pensez-vous réellement que ce match puisse provoquer un sursaut d’orgueil dans la Tanière ?
En ce moment, les joueurs m’ont parus motivés pour relever le défi. En tout cas, pour ceux qui étaient là- bas. Je pense qu’aujourd’hui, les interrogations sont nombreuses par rapport à ce qui doit être fait pour nous remettre sur les rampes de la victoire. Je crois que la clé passe par les mains des joueurs et nulle part ailleurs. Si le potentiel que nous avons est mis en valeur, avec un bon management technique et un environnement propice au plan matériel et organisationnel, il n’y a pas de raison qu’on ne puisse pas terminer premier de notre poule pour la Coupe du monde. Il faut également que les joueurs sachent que le contexte du football d’élite veut qu’il y ait de la concurrence. Il est important qu’ils sachent que c’est à travers leurs performances, aussi en club qu’en équipe nationale, qu’ils sont confirmés.  

Ce match continue toujours de faire parler de lui avec les sanctions contre Papiss Demba Cissé et Pape Kouly Diop. Comptez-vous vous limiter seulement à les empêcher de jouer un seul match pour leur club ? 
En ce qui nous concerne, nous avons bien évalué la situation. Les joueurs ont été convoqués 15 jours avant. Nous avons eu des cas de joueurs qui ont déclaré forfait et qui ont joué dans leurs clubs avant. Papiss, le Dtn l’avait convoqué mais n’a pas eu de nouvelles. Il a donné des explications à posteriori sur le pourquoi de son inaccessibilité, nous l’acceptons. Toujours est-il que pour la dynamique et l’équilibre dans le groupe, on ne pouvait pas se permettre de faire deux poids deux mesures. Nous avons demandé à des joueurs de se présenter, certains sont venus, motivés. Ils n’ont pas rechigné à mouiller le maillot malgré le fait qu’ils étaient fatigués. D’autres sont venus et se sont portés blessés, ce sur quoi nous n’avons aucun moyen de contestation. C’est le cas de Moussa Sow et d’Issiar, qui n’ont pas joué. Donc, à partir de là, nous ne pouvions que saisir la Fifa et leurs clubs sur les manquements que nous avions constatés.

Etait-ce impératif à ce point ?
Après réflexion au sein de la fédération, il était, pour nous, hors de question qu’on revienne sur cela parce que ce sont des questions de principe, d’autant plus que ce ne sont pas n’importe quels joueurs, surtout Papiss qui est capitaine. Je pense qu’il est important pour les techniciens et la fédération qu’on puisse compter, pour l’avenir, sur des joueurs qui ont envie de porter le maillot, pas seulement leurs noms ou sur leurs talents. Il est important que les Sénégalais sentent que les joueurs sont toujours motivés, en n’importe quelle circonstance, à porter le maillot national.  La réunion que nous avons tenue était très importante à plus d’un titre et vous comprendrez que cela fasse désordre que le capitaine ne soit pas là. Mais, pour nous, c’est une page tournée. Papiss a tenu à m’appeler personnellement. Nous avons échangé et je pense que nous nous sommes bien compris.

Pour beaucoup, ce match était inopportun d’autant que le Sénégal ne joue en match officiel que dans cinq mois. Partagez-vous cet avis ?
Je ne le pense pas. Parce que, d’abord, si on ne l’avait pas joué, on nous l’aurait reproché, l’expérience nous le démontre. Déjà on avait tiré à boulets rouges sur la fédération, sur les entraîneurs et sur l’Etat quand on avait raté la date Fifa du 15 août. C’est pourquoi c’est important pour nous de jouer toutes les dates Fifa possibles afin de nous permettre de mieux préparer les compétitions officielles. S’il ne tient qu’à nous, désormais, aucune date Fifa ne sera perdue, sauf avis contraire des techniciens.

Vous avez tantôt parlé et insisté sur les éliminatoires à la Coupe du monde. La Fsf en fait-elle une obsession ? 
Une obsession, c’est trop dire, mais nous en faisons un objectif. Parce que c’est important, après avoir raté la Can, qu’on puisse se projeter sur cette Coupe du monde qui n’est pas une fin en soi mais qui nous permet, quand même, de renouer avec le haut niveau. Aujourd’hui, le Sénégal est l’une des rares équipes africaines à pouvoir tourner autour d’une moyenne d’âge de 23, 24, 25 ans. Ce qui donne une marge de progression énorme. Aller en Coupe du monde permet d’avoir une bonne équipe. Qu’ils restent ensemble pendant un mois de compétition permet de souder les relations et surtout de créer un groupe performant et complice. C’est l’une des raisons qui font que cela devient un objectif intéressant.  

Cela suppose, tout de même, avoir un technicien qui réponde à certaines exigences. Combien de candidatures avez-vous enregistrées jusqu’à maintenant, pour la succession de Joseph Koto ?
Je dirai qu’on ne les compte plus. On tourne autour d’une cinquantaine de candidatures et pas des moindres. Ce sont de grands noms d’entraîneurs. Il y a aussi de moins connus. Mais ce qu’il y a de plus important, c’est que l’équipe du Sénégal séduit tous les techniciens de haut niveau, et c’est bon signe que le projet soit intéressant et que le potentiel existe. Maintenant, il faut faire le bon choix parce qu’il est important de savoir, par rapport au groupe qu’on a et, à l’optique de continuité, qu’on voit quel est le profil qui nous permet de ne pas jeter aux orties tout ce qu’on a eu à réaliser. Le groupe a déjà un vécu, il ne faudrait pas qu’il y ait une cassure. Donc, c’est important de voir quel est le meilleur technicien pour le faire, qu’il soit Sénégalais ou un étranger.

On a écrit dans la presse que l’Etat vous somme de ne pas vous représenter pour un second mandat. Qu’en est-il de cette information ?
Je vous dis tout de suite que ce sont des informations qui ne sont pas fondées. Ce ne sont que des supputations. Cette rencontre s’est tenue dans la discrétion entre l’autorité et moi-même et rien n’a filtré. Il n’y a eu aucune communication, ni de l’autorité ni de moi. Je crois qu’il faut qu’on soit plus rigoureux. S’il y avait eu une position officielle de l’Etat, il ne se gênerait pas pour nous le notifier. C’est une rencontre, en tout cas, qui, à mes yeux, s’est bien passée. Nous n’avons pas essayé de fuir les questions sensibles, au contraire. Nous avons examiné tous les points, au niveau du football local, du fonctionnement de la fédération, des cas de démission et même au niveau international.

Mais, vous ne diriez pas non à un second mandat.
Mais c’est encore prématuré de me prononcer sur cette question. Les questions de l’heure c’est comment faire pour apaiser la situation, revenir à des relations les plus normales avec l’Etat, achever les chantiers qui sont en cours, restaurer une nouvelle dynamique au sein de la Tanière, nous doter d’un entraîneur de qualité, etc.

Ce qui a accéléré la crise, ce sont surtout les événements qui ont émaillé le match Sénégal-Côte d’Ivoire. Avez-vous été surpris par la vague de démissions de membres de la Fsf ?
Je dirai oui, parce que jusqu’au moment où on jouait ce match, il y avait une très bonne cohésion au sein du comité exécutif. D’ailleurs, la plupart de ceux qui ont démissionné étaient au cœur même de l’organisation. Ils avaient tous des responsabilités. Donc, cela a été une surprise. Quand on prend quelqu’un comme le président Ibrahima Traoré, je peux dire qu’un mois avant, lui-même, au nom des ligues, a eu à me décerner un diplôme de satisfaction sans que je ne le demande. Cela veut dire que tout marchait pour le meilleur des mondes. Mais le contexte était tel qu’on pouvait comprendre qu’il y ait des démissions. Face à une telle situation, tout le monde n’a pas la même réaction, la même sensibilité. Mais, même en quittant leurs fonctions, ils restent dans la famille du football.

Et vous, avez-vous une fois pensé jeter l’éponge ?
Le football est très difficile et le contexte pousse parfois à se poser des questions. Mais, personnellement, quand je m’engage dans une entreprise au service de mon pays et de son football, je dois y aller jusqu’au bout. Partir sans rendre compte m’aurait paru comme un échec en soi. Malgré les difficultés, les sacrifices qu’on fait sur sa famille, sur son travail, je n’ai jamais songé à démissionner.

Ce qui s’est passé, notamment le problème avec les arbitres, ne compromet-il pas le démarrage de la saison locale prévue pour la deuxième quinzaine de décembre ?
Ecoutez, des dates repères ont été fixées par rapport à un agenda qui est toujours tributaire des circonstances qui peuvent survenir après leur fixation. Mais, pour le moment, nous sommes dans les dispositions pour démarrer à mi-décembre, avec le tournoi du Parlement et en début d’année, avec les différents championnats. Maintenant, pour ce qui concerne les arbitres, ils ne sont pas en dehors du football. Notre volonté, c’est de continuer à œuvrer avec eux, même si nous avons décidé de mettre en place le département de l’arbitrage.

Pourquoi une direction de l’arbitrage maintenant ?
En ne le faisant pas, nous étions d’abord en porte à faux avec les dispositions de la Fifa qui exige que ce département existe impérativement à partir d’avril 2011. Nous sommes presqu’en 2013. Il fallait le faire. C’est pourquoi nous avons lancé un appel à candidature pour doter ce poste d’un directeur national qui sera forcément un spécialiste dans le domaine. En trois ans, les arbitres sénégalais ont eu à apporter beaucoup de contributions. De la même manière, cela leur a permis de beaucoup progresser au point qu’on voit qu’ils excellent au plan international. Mais il est nécessaire de restructurer ce secteur parce qu’il y a des difficultés. Il ne faut pas se voiler la face. Moi-même, en tant que président de la Fsf, je ne peux même pas vous dire, aujourd’hui, quel est le fichier des arbitres. Je ne sais pas combien d’arbitres nous avons. Avec ce département de l’arbitrage, la Fsf maîtrisera mieux ce secteur dans l’intérêt des arbitres d’abord et celui du football ensuite. C’est pourquoi je leur lance un appel pour qu’on puisse aller de l’avant, avec une organisation plus fiable, parce que s’ils n’arbitrent pas, cela veut dire aussi qu’ils en subiront les conséquences au plan international comme au plan local. Avec les avancées qui sont faites, il ne faut pas qu’une partie du football soit laissée en rade, mais il ne faut pas non plus qu’une partie prenne le football en otage.

Si jamais ils refusent de revenir sur leur décision de boycott ?
 Nous avons l’Association des arbitres qui s’est prononcée. A côté de cela, nous savons qu’il y a des arbitres qui sont des professionnels qui exercent une profession qui est rémunérée. Aujourd’hui, je dois dire que nous avons les émoluments des arbitres parmi les plus importants en Afrique, même si c’est la fédération, au vu des textes de la Fifa, qui devait fixer les montants des honoraires. Nous avons toujours laissé le loisir à la commission des arbitres de fixer les montants que beaucoup de dirigeants de clubs trouvent assez chers. Mais nous pensons que c’était le prix à payer pour avoir un arbitrage de qualité. Ce qu’il faut savoir aujourd’hui, avec le département de l’arbitrage, c’est que nous seront obligés d’ouvrir un nouveau fichier et de demander, à titre individuel, aux arbitres de s’engager comme cela se fait dans certains pays. En Tunisie par exemple, les arbitres s’engagent en début de saison comme le fait n’importe quel club. Nous pensons que nous n’arriverons pas à des extrêmes avec les arbitres. Mais s’il devait advenir une telle situation, nous prendrons nos dispositions en fonction de ce que nous donnent comme possibilités les textes et dispositions de la Fifa. Il y a un règlement de l’organisation dans les associations nationales, nous nous référerons à cela pour pallier d’éventuelles défections. Néanmoins, nous pensons ne pas en arriver là.




18 Commentaires

  1. Auteur

    Caporal Chef Diedhiou

    En Novembre, 2012 (01:37 AM)
    Nous qui? Allez vous en fouiller ailleurs  :down: 
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  2. Auteur

    Caporal Chef Diedhiou

    En Novembre, 2012 (01:50 AM)
    Je disais toujour que les opinions doivent être fondees sur des

    principes scientifiques,logiques et rationnels,et non sur une

    autorite,une tradition ou des dogmes.Sidy Lamine Niasse bien

    qu''etant un juif chasseur de prime s/c de l'islam,est un habitué

    des traditions de corruption et de chantage.Il n'est pas le seul

    a posseder le mantau de JUDA.D'autres soit disant marabouts

    ,chef spirituel ou coutumier en possedent.Ce qui explique que

    leur opinion est fondee sur une autorite,une tradition ou des

    dogmes.La colere de Sidy Lamine Niasse le juif illustre parfai

    tement que les citoyens n'etaient pas egaux devant la loi et

    ses avantages.Un passport diplomatique s'est bien defini par

    son qualificatif.Et celui qui ne travaille pas pour l'etat ne

    devrait le posseder.Point final..Qu'il saigne a mort..

     :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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    Auteur

    Constat D'un Sénégalais

    En Novembre, 2012 (02:20 AM)
    Si des gens comme sidy lamine niass ont possédé des passeports diplomatiques c'est la faute au régime mafieux de Wade vous n’êtes pas au bout de vos surprises peut être même qu'il y a des commandos Attikas du MFDC détenteur de passeport diplomatique. Li tchi kanam raw li beut  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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    Auteur

    Libero

    En Novembre, 2012 (03:12 AM)
    Je ne vois pas le rapport entre cet article et l'affaire Sidy Lamine Niass . Et puis d'ailleurs a quoi sert un passeport diplomatique ? repondez svp.
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    Auteur

    Amateur

    En Novembre, 2012 (03:52 AM)
    Remission mon cher
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    Auteur

    Thiaw Ndoye

    En Novembre, 2012 (06:14 AM)
    Je salue la coherence et la demarche de Mr Senghor et la FSF . Continuez le travail et laissez les mal intentionnes aboyer . Vous etes sur la bonne voie . Vos efforts ne seront pas vains .
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    Auteur

    Sdf

    En Novembre, 2012 (09:56 AM)
    Maitre Augustin,tu sera la deception du peuple,quitte la FSF avant qu'il ne soit trop tard
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    Auteur

    Non Non Augustin

    En Novembre, 2012 (09:57 AM)
    non non non augustin ladiou gnou la lolou yeup abal gnou rek

    gnoun senegalais yi khawma augustin daf gnoul liguey khaw ma noumou démé nonou mais bilay bou fi augustin togaté di na méti trop ndakh coupe d'afrique 2015 sakh dou gnou tia dem

    let and see
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    Auteur

    Siguy

    En Novembre, 2012 (11:19 AM)
    Vous être lire d'attaquer son bilan mais pas sa personne.

    Je donnerais 15/20 à la FSF par rapport aux cahiers de charges.
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    Auteur

    Pa

    En Novembre, 2012 (11:44 AM)
    bayille souno fotball diox kanen lolou lanou soxla cie yaw dou lanen
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    Auteur

    Moussa Balde

    En Novembre, 2012 (12:01 PM)
    Me je vous aime bien , mais attention avec les sénégalais. Si toutefois les lions ne se qualifient pas en coupe du monde, vous aurez de sérieux problèmes qui risquent de dépasser le cadre FSF, car vous serez même menacés à la mairie, dans votre travail et autres. Vous êtes sénégalais et vous n'ignorez pas les méthodes sénégalaises. A bon entendeur salut.
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    Auteur

    Nz

    En Novembre, 2012 (12:49 PM)
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    Auteur

    Youbi

    En Novembre, 2012 (12:55 PM)
    nit dafay am jomm baay.il faut sortir par la grande porte avant que ca noit pas tard.
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    Auteur

    Oui Pour Aliou Cisse

    En Novembre, 2012 (13:45 PM)
    Bravo Augustin Senghor bien dit il fo juste pas kil yait une cassure par rapport a cette equiipe la et Aliou Cisse cest lhom kil nous faut!!! je pense kil a vraiment ttes les qualites pour manager cette equipe du senegal.
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    Auteur

    Malick 4

    En Novembre, 2012 (14:33 PM)
    salamalekum kel est le salaire du president de la federation c'est la ou il faut chercher pourkoi ce con ne demissionne pas senegalais khaliss rek surtout les sereres
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    Auteur

    Djim

    En Novembre, 2012 (15:19 PM)
    Me Senghor est reste coherent c'est le complot du duo Gackou Mamaya Sene qui a échoué. Des lors on veut le trainer dans la boue On ne cessera jamais de dire que Yalla bougoul kouy togne. La verite va bientot eclater
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    Auteur

    Kakatar*1

    En Novembre, 2012 (15:52 PM)
    Bien dit Me Augustin Senghor:

    ..............

    Je crois que la clé passe par les mains des joueurs et nulle part ailleurs. Si le potentiel que nous avons est mis en valeur, avec un bon management technique et un environnement propice au plan matériel et organisationnel, il n’y a pas de raison qu’on ne puisse pas terminer premier de notre poule pour la Coupe du monde. Il faut également que les joueurs sachent que le contexte du football d’élite veut qu’il y ait de la concurrence. Il est important qu’ils sachent que c’est à travers leurs performances, aussi en club qu’en équipe nationale, qu’ils sont confirmés.  

    .....

    Surtout il ne faut pas démissionner. Vous avez été élu pour un mandat. Nous avons des chances DE nous qualifier à la coupe du monde 2014. Alors si c'est chose faite nous pouvons si Les moyens le permettent prendre ERICSSON ou un autre Specialiste comme COACH

     :up: 
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    Auteur

    Jef

    En Novembre, 2012 (18:16 PM)
    Me Augustin est le meilleur president de FSF que le Senegal ait jamais eu.C'est un homme de principe et se compromis, ce qui fait de lui un leader incontestable ; il peut amener le football senegalais tres loin si bien sur on lui laisse le temps de poursuivre son chemin.
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