Il faut reclamer la demission de Mari Teuw Niane avant le debut de toutes negociations avec le gouvernement.Tant que ce ministre sera là, rien ne marchera dans l'enseignement.
La seule solution c'est le départ de ce menteur et incapable Mary Teuw Niane ki mo Bone . Et pourtant ce meme syndicat grâce à la cotisation des membres lui a sauvé la vie en l'évacuant en France quand il avait une grave maladie du cœur de en 2003. Il fallait le laisser mourir !!!!
Franchement le SAES n'est plus celui du temps des Salam, Diene et autres universitaires emerites. Les dirigeants actuels n'hesitent meme plus a utiliser les methodes des politiciens pour esperer tromper en enroler le peuplende leur cote. Nous avons bien ecoute le ministre! Et ce que le charge des revendications lui prete est totalement a l'oppose de ses dires. En effet il y'a bien difference entre investir 300 milliards dans l'enseignement superieur (ce que dit le minitre), et les consacrernaux revendications du SAES (ce que lui prete le charge des rebendications). Par ailleurs, que viennent faire des personnages comme cet ex-ministre (Mr Ndiaye et Mr Bane? Peut etre que je me trompe mais je ne ls connait pas en tant qu'enseignant du superieur. Meme si le dernier est joirnaliste, il demeure marque et la SAES a interet a eviter l'amalgame en se rapprochant de certains personnages.
Non, plus serieusement, il faut que les gens sachent raison garder. Notre systeme educatif est dans une situation de deliquescence telle qu'aujourd'hui, chaque citoyen senegalais devrait poivoir s'oublier, surtout les enseignats, au profit de sa rehabilitation rapide. Sinon, nous serons tous responsables demain du declin de notre pays. Oui declin, car l'enseignement senegalais d'aujoud'hui ne pourra, si sa situation actuelle persiste, produire l'expertise qui devrait prendre la responsabilite du developpement economique et socila de notre pays.
Le mouvement syndical enseignant s'est toujours voulu organiquement apolitique. Certes, ses membres et dirigeants notamment appartenaient bien à des chapelles politiques, mais ils se gardaient bien de faire certaines déclarations pour ne pas faire de l'amalgame entre les deux sphères. Si c'est vrai que M. Ndiaye du SAES a exprimé ses ambitions présidentielles, il jette aux yeux du gouvernement et de l'opinion nationale des doutes sur la caractère non partisan du combat de son syndicat. Les partis politiques ont toujours eu des connexions très fortes dans le monde universitaire, c'est connu, surtout en milieu estudiantin.
Cette réalité d'un syndicat dont le SG pourrait être un potentiel concurrent du Président pourrait avoir comme biais de corrompre les négociations entre parties, mais d'amener des militants APR ou d'obédience BBY à reconsidérer leur engagement syndical.
On n'aura pas vu le SAES sur des positions aussi extrêmes depuis très longtemps. Tous les combats finissent autour d'une table de négociations, dit - on. Le SAES devrait penser à un plan B pour s'aménager une porte de sortie et éviter de participer à faire de l'Université un lieu de perturbations sociopolitiques.
Le SAES n'a aucun intérêt a continuer ce bras de fer avec le Ministre. Tout le monde doit penser a sortir l'institution universitaire dans la situation actuelle au lieu de l'enfoncer davantage. Détruire l'outil de travail n'est pas la vocation d'un syndicat. On a l'impression que le problème est devenu personnel. Un syndicat qui fait dans la radicalisme sans se soucier de l’intérêt des parties prenantes, surtout les étudiants ne peut pas avoir l'aval des sénégalaise. L’université est assez éprouvée par ces mouvements de gréve. Si le gouvernement annonce des mesures, pourquoi ne pas aller a la table de négociations avant de se lancer dans une diatribe anti-gouvernement? Pensez a la place stratégique de l'enseignement supérieur dans le développement d'un pays. Si le SAES ne peut pas aider a développer la recherche ses dirigeants n'ont qu'a au moins nous laisser l'institution en l’état, au lieu de continuer a lui asséner des coups comme s'ils tenaient a l’achever avant de partir. En tout cas, vous en porterez la responsabilité devant l'histoire, que vous le sachiez ou non. C'est trop facile d'accuser le gouvernement et percevoir son salaire sans faire le travail pour lequel on est payé. Comment qualifiez-vous cette attitude?
Triste de voir que ceux qu'on considérait comme des esprits supérieurs au vu de leur parcours sont petits par leur comportement. Et nous ne sommes pas surpris que leurs étudiants soient aussi bornés qu'eux même. M. Ndiaye Et Seydi vous ne pouvez pas utiliser l'université pour assouvir des ambitions personnelles.
Ceux qui veulent pas enseigner n'ont qu'à aller monayer leur savoir ailleurs, c'est simple comme bonjours. Arretez de tenir le pays en otage.
On devrait faire l'audit pédagogique des unversités publiques. Si vous etes surs de vous, demandez à ce que ça soit fait par une institution privée neutre. On serait sidéré de voir la réalité. Des prof qui ne font aucun enseignement durant l'année, ça existe et qui n'ont aucune vergogne de prendre leurs salaire mensuel.
Ce Yancoba Seydi c'est le plus enragé de tous! Un vrai aigri. Même quand il parle il suffoque de colère, le visage plein de rictus (haine ou maladie nerveuse?????? Yallah rek ka xam)
Un conseil : faites de la relaxation ou du yoga pour rester zen!!!!!!!
Ce Yancoba Seydi c'est le plus enragé de tous! Un vrai aigri. Même quand il parle il suffoque de colère, le visage plein de rictus (haine ou maladie nerveuse?????? Yallah rek ka xam)
Un conseil : faites de la relaxation ou du yoga pour rester zen!!!!!!!
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21 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2016 (17:32 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (17:41 PM)Mass
En Avril, 2016 (17:47 PM)l'etat doit respecter ses engagements : l'etat vient de dilapider des milliards pour un referendum bidon qu'on n a pas demandé
macky a des dizaines de conseillers qui ne servent a rien comme youssou n'dour qui prend son salaire et va jouer ses concerts ;
tout cet argent peut servir a payer les enseignants
Anonyme
En Avril, 2016 (18:01 PM)Zeus
En Avril, 2016 (18:04 PM)Non, plus serieusement, il faut que les gens sachent raison garder. Notre systeme educatif est dans une situation de deliquescence telle qu'aujourd'hui, chaque citoyen senegalais devrait poivoir s'oublier, surtout les enseignats, au profit de sa rehabilitation rapide. Sinon, nous serons tous responsables demain du declin de notre pays. Oui declin, car l'enseignement senegalais d'aujoud'hui ne pourra, si sa situation actuelle persiste, produire l'expertise qui devrait prendre la responsabilite du developpement economique et socila de notre pays.
Et le SAES y sera pour beaucoup.
Un ancien du SAES
Moda
En Avril, 2016 (18:16 PM)Le mouvement syndical enseignant s'est toujours voulu organiquement apolitique. Certes, ses membres et dirigeants notamment appartenaient bien à des chapelles politiques, mais ils se gardaient bien de faire certaines déclarations pour ne pas faire de l'amalgame entre les deux sphères. Si c'est vrai que M. Ndiaye du SAES a exprimé ses ambitions présidentielles, il jette aux yeux du gouvernement et de l'opinion nationale des doutes sur la caractère non partisan du combat de son syndicat. Les partis politiques ont toujours eu des connexions très fortes dans le monde universitaire, c'est connu, surtout en milieu estudiantin.
Cette réalité d'un syndicat dont le SG pourrait être un potentiel concurrent du Président pourrait avoir comme biais de corrompre les négociations entre parties, mais d'amener des militants APR ou d'obédience BBY à reconsidérer leur engagement syndical.
On n'aura pas vu le SAES sur des positions aussi extrêmes depuis très longtemps. Tous les combats finissent autour d'une table de négociations, dit - on. Le SAES devrait penser à un plan B pour s'aménager une porte de sortie et éviter de participer à faire de l'Université un lieu de perturbations sociopolitiques.
? ?
Anonyme
En Avril, 2016 (21:26 PM)Retourner à la raison té ragale Allah.
Anonyme
En Avril, 2016 (21:52 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (22:18 PM)Ils passent tout leur temps à faire la grève et sacrifient ainsi l'avenir des jeunes générations.
Et pourtant ils perçoivent des salaires sans travailler.
Bras De Fer
En Avril, 2016 (00:26 AM)Anonyme
En Avril, 2016 (06:00 AM)Anonyme
En Avril, 2016 (09:33 AM)Anonyme
En Avril, 2016 (12:22 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (12:48 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (13:45 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (13:59 PM)Ibou Deug
En Avril, 2016 (14:54 PM)payés à dispenser des cours dans le privé
payés à etre actionnaire dans des instituts privés au sein de l'universités
payés à des missions d'enseignements à l'étranger alors que les enseignements locaux sont délaissés
payés pour un total de moins de 10h par a
payés pour des voyages d'études qui sontdes voyages de tourisme
la liste est longue et on peut continuer de citer les incongrutés de l'enseignement supérieur
C'est la faute à qui? aux autorités faibles qui ferment les yeaux sur tout.
Mbalo
En Avril, 2016 (15:05 PM)Ceux qui veulent pas enseigner n'ont qu'à aller monayer leur savoir ailleurs, c'est simple comme bonjours. Arretez de tenir le pays en otage.
On devrait faire l'audit pédagogique des unversités publiques. Si vous etes surs de vous, demandez à ce que ça soit fait par une institution privée neutre. On serait sidéré de voir la réalité. Des prof qui ne font aucun enseignement durant l'année, ça existe et qui n'ont aucune vergogne de prendre leurs salaire mensuel.
Anonyme
En Avril, 2016 (19:22 PM)Un conseil : faites de la relaxation ou du yoga pour rester zen!!!!!!!
Anonyme
En Avril, 2016 (20:15 PM)Un conseil : faites de la relaxation ou du yoga pour rester zen!!!!!!!
Anonyme Astou
En Avril, 2016 (23:59 PM)L'enseignement est sacré. Ne sacrifer pas nos enfants.
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