On aime trop copier les modèles occidental! Quand est -ce que on aura nos propres methodes et mettre en valeur nos propre valeur? système LMD ect... ne sont pas créer pour nous mais pour les europeens. Thiey africain je sais pas quand est ce que les autres copieront sur nous ??? Et en plus que vient foutre ce video ici? on est dans un site senegalais ou francais?
C'est une question complexe. Pour ma part, je pense qu'il faut tout particulièrement qu'il y ait une plus forte sélection à l'université.
Un diplôme ne peut pas avoir une grande valeur s'il est facile pour un élève moyen de l'obtenir. De même, il ne faut pas saturer certains emplois en formant trop de jeunes qualifiés pour les occuper. Mais on peut affirmer sans hésiter que le diplôme, tel qu'il a été pensé à l'origine (je fais référence au culte de l'excellence), est d'une grande utilité pour s'insérer dans le monde professionnel. En général, ce sont les médiocres et les nullards qui cherchent coûte que coûte à le dévaloriser.
Le diplôme ? Il est plus utile lorsqu'il est combiné avec une expérience professionnelle avérée. Le calvaire des jeunes d'aujourd'hui, souvent hyper-diplômés, c'est de ne savoir rien faire. Qui plus est, le niveau de certains d'entre eux laisse à désirer. A la question de savoir "What can you do?" si chère aux recruteurs Américains, beaucoup de candidats à un job au Sénégal n'ont pour toute réponse que d'exhiber une liste de parchemins, certes de haut niveau, mais souvent inutiles pour le genre de travail qu'on leur demande de faire Peut-être qu'on ne leur a jamais donné la chance de prouver leurs compétences...
Toujours est-il que beaucoup d'entreprises refusent tout simplement de former, à cause du coût élevé de la formation, mais aussi et surtout parce qu'elle ne veulent pas investir à perte. Entre former quelqu'un dont on est pas sûr qu'il va rester dans sa structure et recruter un personnel qualifié, beaucoup d'entreprises choisissent la seconde option.
Toutefois, ceux qui ont une solide expérience professionnelle, sans avoir fait leurs humanités sentiront toujours un manque dans leur vie, un "complexe" diraient certains.
Moi, dans un premier temps, j'ai privilégié l'expérience professionnelle aux études très poussées. J'ai eu ensuite l'occasion de me "rattraper" plus tard, en m'inscrivant dans de bonnes unvisersités. Ce qui m'a permis de progresser rapidement dans mon travail et d'occpuer de hautes resonsabilités dans ma structure.
Les parcours de personnalités comme le professeur Iba Der Thiam (l'universitaire, pas le politicien) et Mme Nafi Ngom Keïta de l'OFNAC, constituent des cas d'école. Deux parcours certes atypiques, mais dignes d'intérêt.
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7 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2015 (00:48 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (01:14 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (01:25 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (02:47 AM)Un diplôme ne peut pas avoir une grande valeur s'il est facile pour un élève moyen de l'obtenir. De même, il ne faut pas saturer certains emplois en formant trop de jeunes qualifiés pour les occuper. Mais on peut affirmer sans hésiter que le diplôme, tel qu'il a été pensé à l'origine (je fais référence au culte de l'excellence), est d'une grande utilité pour s'insérer dans le monde professionnel. En général, ce sont les médiocres et les nullards qui cherchent coûte que coûte à le dévaloriser.
Anonyme
En Octobre, 2015 (08:18 AM)Toujours est-il que beaucoup d'entreprises refusent tout simplement de former, à cause du coût élevé de la formation, mais aussi et surtout parce qu'elle ne veulent pas investir à perte. Entre former quelqu'un dont on est pas sûr qu'il va rester dans sa structure et recruter un personnel qualifié, beaucoup d'entreprises choisissent la seconde option.
Toutefois, ceux qui ont une solide expérience professionnelle, sans avoir fait leurs humanités sentiront toujours un manque dans leur vie, un "complexe" diraient certains.
Moi, dans un premier temps, j'ai privilégié l'expérience professionnelle aux études très poussées. J'ai eu ensuite l'occasion de me "rattraper" plus tard, en m'inscrivant dans de bonnes unvisersités. Ce qui m'a permis de progresser rapidement dans mon travail et d'occpuer de hautes resonsabilités dans ma structure.
Les parcours de personnalités comme le professeur Iba Der Thiam (l'universitaire, pas le politicien) et Mme Nafi Ngom Keïta de l'OFNAC, constituent des cas d'école. Deux parcours certes atypiques, mais dignes d'intérêt.
Anonyme
En Octobre, 2015 (09:45 AM)pour devenir voyant professionnel.
Cette formation ouverte à tous, prépare et accompagne les personnes qui
dans un but professionnel souhaite réaliser des consultations de voyance.
Cette formation propose pendant 10 jours une approche complète du métier
de voyant en étudiant spécifiquement la numérologie ainsi que le
fonctionnement de la capacité de voyance.
Démarrage du stage prévu le 19 octobre 2015
Les places sont limitées renseignements au 33 823 54 72
Anonyme
En Octobre, 2015 (08:43 AM)Participer à la Discussion