Environ 700 personnes ont été arrêtées, pour avoir participé à des manifestations interdites de l’opposition, selon le procureur Oumar Braman Koné.
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Environ 700 personnes ont été arrêtées, pour avoir participé à des manifestations interdites de l’opposition, selon le procureur Oumar Braman Koné.
Vingt-six personnes ont été condamnées jeudi à 36 mois de prison ferme en Côte d'Ivoire, notamment pour "troubles à l'ordre public", accusées d'avoir participé à des manifestations interdites, a appris l'AFP vendredi auprès de deux avocats, dont l'un est membre du principal parti d'opposition.
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"C'est le tour d'une nouvelle génération", a déclaré jeudi à l'AFP le candidat à la présidentielle ivoirienne Jean-Louis Billon, un dissident de la principale formation d'opposition, le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), en marge d'un meeting à Dabou (sud).
Qualifications Coupe du monde : La Côte d’Ivoire valide son billet
Un homme a été tué par balle par des "individus non identifiés", lundi dans le sud de la Côte d'Ivoire, lors d'une manifestation contre un quatrième mandat du chef de l'Etat Alassane Ouattara, à moins de deux semaines de la présidentielle, a annoncé mardi la police.
En Côte d’Ivoire, une manifestation de l’opposition, interdite vendredi dernier pour « maintenir l’ordre public », a été dispersée samedi à coups de gaz lacrymogène à Abidjan. Plus de 200 personnes ont été arrêtées.
Les deux principaux partis d'opposition en Côte d'Ivoire ont appelé dimanche à manifester "tous les jours", pour réclamer notamment un dialogue politique, à moins de deux semaines de l'élection présidentielle de laquelle leurs candidats sont exclus.
Koffi Olomidé, la légende vivante de la rumba congolaise est totalement acquis à la cause du président ivoirien
Le podium qui a abrité la cérémonie de la 10e édition du Prix des musiques urbaines et du coupé-décalé (Primud) à Abidjan (Côte d'Ivoire) a vibré...
Une manifestation des partis de l'opposition ivoirienne, interdite vendredi pour "maintenir l'ordre public", a été dispersée samedi à coup de gaz lacrymogène par les forces de l'ordre à Abidjan, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Visiblement Charles Blé Goudé n’a pas que des admirateurs en Côte d’Ivoire.
Dangote Cement, la filiale de Dangote Group, a ouvert une grande unité de production de ciment à Attingué, une localité située à 30 km d’Abidjan, la capitale économique de la Côte d'Ivoire.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Le procureur avait annoncé la répression fin septembre
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Débuté le mercredi 1e octobre, le tournoi international de padel FIP Silver s’est achevé ce dimanche 5 octobre 2025 à Abidjan. L’affiche des deux finales était à 100% espagnole chez les dames et chez les messieurs. Dans cette hégémonie espagnole bien établie, la paire ivoirienne composée de Sadjo Coulibaly et de Jauresse Kouamé a réussi à se frayer un chemin jusqu’en demi-finale.
L’ancien ministre et cadre de l’Apr, Pape Malick Ndour, a publié ce dimanche un message détaillant son point de vue sur les événements survenus la veille à l’aéroport international Blaise Diagne.