Au Sénégal, les gens ne se marient plus comme avant. Conséquence, beaucoup de divorces sont notés, surtout chez les jeunes couples. Les explications sont diverses. D’aucuns soutiennent que la cause principale est l’argent ; d’autres évoquent un manque de préparation religieuse, sociale et même mystique des jeunes mariés.
Considéré comme une union pour la vie, pour le meilleur et pour le pire, le mariage est même jugé sacré dans plusieurs pays, notamment au Sénégal. Avant, nos aïeuls se mariaient pour la vie, d’où l’expression wolof « seey », qui veut dire se dissoudre, sous-entend que quand la femme rejoignant son domicile conjugal devait y rester jusqu’à la fin de ses jours pour donner naissance à des enfants qui devaient réussir car leur maman était bénie par la belle famille et le père. Maintenant, la donne a changé et généralement les mariages ne durent plus longtemps. Les divorces sont devenus un phénomène de société au Sénégal inquiétant plus d’un Sénégalais.
Selon le rapport du Recensement général de la population, de l’habitat, de l’agriculture et de l’élevage (Rgphae) de 2015 publié par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd), les divorces sont de plus en plus importants au Sénégal. D’après ce rapport, ces divorces sont plus nombreux dans la région de Dakar (2,5%). La capitale est suivie par les régions de Matam et de Saint-Louis avec 1,5% chacune (identique à la moyenne nationale). La région de Sédhiou avec 0,5% enregistre la plus faible proportion de personnes divorcées suivie de Kédougou et de Kaffrine avec 0,7% chacune et Fatick.
1.775 divorces à Dakar en 2015
Les statistiques servant de base de travail au sociologue interpellé Abdoulaye Yerodia Bousso révèlent qu’il y a eu 1.775 divorces prononcés par le tribunal de Dakar en 2015, sans compter les séparations en dehors du tribunal. Cela inquiète et la société sénégalaise tente de s’expliquer.
Trouvé sous la passerelle qui surplombe le chemin du fer au niveau du célèbre arrêt appelé « Tableau ferraille », Ibrahima s’affaire autour de son commerce. Il tient une petite boutique très fréquentée par les mécaniciens, ouvriers et autres agents qui travaillent dans les usines d’à côté pour acheter de la cigarette, autres articles ou simplement pour venir prendre un café. Sur le sujet, il dit son intérêt car considérant que beaucoup de jeunes gens ont vu leur vie basculer dans les « ténèbres avec des lendemains incertains » du fait d’un mariage raté comme ce qu’il a connu. La trentaine, svelte et de teint noir, ce jeune habitant de Dalifort revient sur son divorce qui l’a marqué à jamais.
Mélancolique, Ibrahima, qui s’est marié à l’âge de 26 ans, raconte qu’au début c’était clair et sans ambiguïté que son ex-épouse était son âme sœur et ils filaient tous les deux le parfait amour. Après deux ans d’idylle, les deux jeunes tourtereaux se sont passé les bagues aux doigts. La fille rejoint le domicile d’Ibrahima et ce dernier, malgré un travail sans revenus fixes ni permanents, va se battre tous les jours pour assurer le nécessaire à son épouse.
« J’avais pleines de bonnes intentions pour elle, on s’aimait vraiment au début aussi », se rappelle Ibrahima. Cependant, après cinq ans de mariage, les problèmes commencent à surgir dans le couple.
Confession…
Ibrahima explique que c’est l’argent qui a été à l’origine des difficultés. « La base de notre problème est l’argent car elle m’avait dit qu’elle participait mensuellement à une tontine et chaque mois, dès que je recevais ma paie, je lui remettais 50.000 FCfa. Mais, pendant près de quatre ans, cette tontine était interminable alors qu’elle était censée ne durer que quelques mois. Je lui ai demandé des comptes, mais elle n’a pas voulu me dire où elle mettait l’argent. J’ai refusé de continuer à lui remettre la somme à la fin des mois et on a commencé à avoir des problèmes dans notre couple », confesse Ibrahima dont le témoignage est interrompu de temps à autre par des clients venus acheter divers articles qu’il doit servir avant de poursuivre. De dispute en dispute, la jeune dame finit par quitter le domicile conjugal pour retourner chez ses parents, mais le divorce n’était toujours pas prononcé. Après quelques mois passés dans sa famille, la fille a notifié à son mari qu’elle a des projets et qu’elle voudrait émigrer pour aller à l’étranger afin de travailler et se prendre en charge. Ce qu’Ibrahima n’a pas accepté. « Elle voulait simplement se séparer de moi. Elle m’a demandé donc le divorce devant sa mère en 2016. Je le lui ai accordé tout en restant digne et ayant foi en Dieu. J’ai bien compris que ce sont pour des raisons matérielles qu’elle a voulu partir. Elle m’a escroqué, et rêvait de vivre dans le luxe alors qu’elle ne faisait rien et mes moyens ne le permettaient pas. J’ai tourné la page et je continue la vie tout en rendant grâce à Dieu qui m’a ouvert les yeux », explique Ibrahima, l’air très sage et soutenant retrouver une seconde vie auprès du seigneur. Ce dernier soutient qu’il faut que les filles sachent que dans le mariage tout n’est pas rose et qu’il y a des hauts et des bas. « Souvent les parents sont aussi responsables des divorces des femmes. Elles les font rêver et dès fois même ces parents exigent à leur filles de se marier avec des hommes riches », confie Ibrahima.
Cette fille divorcée, qui n’a pas voulu parler du sujet car laissant entendre qu’au Sénégal, les filles de son genre sont souvent stigmatisées à tort, pense aussi que souvent les hommes sont responsables, car « ils ne prennent pas soin de leur femme comme il le faut et croient qu’elle est leur propriété ». Elle estime que beaucoup de jeunes filles sont en train de vivre des conditions difficiles dans leur ménage mais ont juste peur de divorcer pour ne pas être la risée de leur famille, ce qu’elle n’a pas accepté. Elle dit reprendre sa vie en main. Notre interlocutrice confie aussi qu’elle a vu des filles répudiées par leurs maris qui sont à l’origine des problèmes mais la société condamne toujours les femmes divorcées, « jamais les hommes ». La problématique des belles familles qui mènent la vie dure aux femmes est aussi brandie par la fille qui pense que « mieux vaut être séparée que de vivre l’enfer dans un mariage ».
Des mariages via les réseaux sociaux
Les divorces répétitifs sont expliqués aussi d’une autre manière par l’ancienne génération qui fait la comparaison avec les mariages de leur époque qui, à leur avis, étaient plus sincères et durables.
Assise en face de sa table sur laquelle sont placées plusieurs légumes, la dame Aïssatou Gning, habillée d’un grand boubou bleu, y va de ses explications. Pour cette vendeuse de légumes qui quitte son quartier Yarakh chaque jour pour venir s’adonner à son activité aux Maristes, la raison des divorces répétitifs est souvent due à l’argent mais aussi à la manière dont les jeunes filles choisissent leur mari. « Actuellement, les jeunes filles demandent à leurs époux des choses que ces derniers ne peuvent leur offrir, ce qui ne débouche que sur des disputes. Mais, je désapprouve aussi la manière dont les futurs mariés se font la cour avant de sceller leur union. Une relation amoureuse qui commence par internet ou facebook comme disent les jeunes, ne peut pas durer à mon avis car la base c’est en général le mensonge et la tromperie. Après le mariage, la vérité finit par ressurgir et les problèmes commencent », soutient la quinquagénaire. Pour cette dernière, le problème des jeunes filles est qu’elles ne suivent plus les conseils de leurs parents. Faisant une comparaison entre les deux générations, Aïssatou Gning nous confie que c’est à l’âge de 15 ans que ses parents ont négocié son mariage et sachant que ces derniers sont plus avertis que sa jeune personne, elle a regagné le domicile de son mari sans broncher.
« Rester malgré les difficultés »
Après 35 ans de mariage, elle indique qu’elle n’a jamais quitté le domicile conjugal malgré les difficultés. « Même si je n’avais pas de nourriture chez mon mari, je restais dans la dignité pour l’aider à trouver une solution. Maintenant la première chose que font les filles et certaines mamans aussi est de demander la profession des hommes avant de songer au mariage. Les filles manquent de plus en plus de dignité et ne savent plus ce que l’endurance du mariage veut dire », laisse entendre celle dont la fille aînée est maintenant âgée de 30 ans et qui continue de vivre en harmonie avec son époux.
A quelques jets de pierre de là, au kiosque à journaux d’Amadou Niang, c’est la grande ambiance. Des jeunes gens s’arrêtent de temps à temps pour jeter un coup d’œil sur les unes des journaux soigneusement épinglés sur une corde attachée à deux piquets parallèles par le vendeur Amadou. Rares sont ceux qui achètent, beaucoup se contentant de faire une brève revue de presse des quotidiens. Derrière les journaux, des sièges communément appelés « bancs traversés » sont installés. Beaucoup de doyens du quartier y ont érigé un «grand place » de fortune où tous les sujets sont débattus. Approché, le vieux Bacary Kandé, âgé de 64 ans, regrette que l’union sacrée d’un homme et d’une femme puisse finir pour des futilités comme c’est le cas souvent au Sénégal. Passant également par la comparaison, il indique qu’avant on donnait une femme à un homme au nom du Seigneur pour qu’elle fonde une famille et ces mariages duraient à vie avec une famille bénie. Maintenant, regrette-t-il, c’est l’intérêt qui est mis en avant dans les mariages ; ce qui cause des déceptions et des querelles au bout du compte. Le vendeur de journaux Amadou Niang qui suivait la discussion intervient et explique que malgré les difficultés, il y a des mariages qui durent et qui sont fondés sur l’amour et la vérité. « Vous savez, en matière de mariage, on ne peut jamais être sûr de son choix, car il faut toujours de la chance. Les gens commettent des erreurs en pensant que c’est dans les villages qu’on trouve les meilleures épouses et que les filles de la ville sont souvent opportunistes, mais c’est une méprise car même au village, il y a aussi des filles qui mettent en avant l’argent », laisse entendre le jeune Amadou Niang, qui dit croiser les doigts car ayant trouvé une femme qui l’aime pour ce qu’il est..
(A suivre…)
28 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2017 (17:46 PM)- Deuxiemement faites attention messieurs les juges a ces filles qui divorce, avec un enfant et veule vivre sur le dos de leur ex-maris...l arnaque a la pension almentaire est frequente.....
- Elles abandonnent le domicil conjugual
- mentent au tribunal et demande des sous pour l enfant
- messieurs les juges ils faut desinteresser le divorce, sinon tous les couples au senegal eclateront et la societe va degenerer...
Anonyme
En Septembre, 2017 (18:19 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (18:21 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (18:58 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (19:15 PM)Wakhdeugrek
En Septembre, 2017 (19:37 PM)Le mariage est une union sacré destinée à apporter de l'équilibre émotionnel, religieux et avoir une descendance. Beaucoup pense que c'est facile alors que les personnes doivent être préparé depuis le bas age pour affronter les défis et épreuves qui l'accompagnent:
-Savoir faire le bon choix
-inculquer le sérieux aux jeunes pour éviter de frustrer l'autre (rien de grand ne peut se faire sans la morale)
-discuter avec les jeunes pour qu'ils aient le maximum de bagages intellectuels et spirituels pour affronter les défis.
-servir comme exemple les personnes qui ont vécu sans divorcer.
- Leur expliquer que le mariage n'est pas du business c'est pour le meilleur et le pire
-Éduquer les jeunes sur les bienfaits du mariage
-Mettre des conférences à la télé ou radio sur les valeurs à avoir avant de se marier pour éviter les échecs.
Philein
Anonyme
En Septembre, 2017 (20:00 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (20:00 PM)Guilé De Ndangalma
En Septembre, 2017 (20:06 PM)Selonmoi
En Septembre, 2017 (20:36 PM)Un conseil:
- évitez de faire des mariages à la mairie ou de faire des mariages avec un contrat (communauté des biens, ...). En Europe, ces types de mariages ne se font pratiquement plus (c'est souvent concubinage comme François Hollande).
-n'épousez pas une personne seulement parce que vous l'aimez, épousez la personne parce que vous l'aimez mais aussi et surtout parce qu'elle est solide aux tests de stress (capacité à éviter des prises de tête, résistance aux difficultés[manque d'argent, manque de matériels, ..], volonté de sincérité à tout instant, ...).
l'amour rend aveugle mais le mariage rend la vue!
La vie sur terre n'est pas le paradis alors ne devenez jamais un âne "seuff", sinon le soir vous risquez de faire "hi han, hi han hi han"
le mariage (du point de vu de la loi) c'est la mutualisation alors si l'autre ne fait pas sa part, vous devenez un ...
Thiopati Weurkat
En Septembre, 2017 (21:47 PM)2 SET^LEN YAYAM NDAKH DOU THIAGA WALA MAGAM
3 BAYAM NDAKH DOU MANDI WALA BIRALKAT
4 NDAKH AMOUL FRERE BOUY DROGUER WALA SATH
5 NDAKH AMNA DINE
7 SETLOUL NDAKH AMOUNIOU AY RAB
8 LATHCO NDAKH MOUSSOUL AM FAROU TOUBAB WALA NIAK
9 DAKH DIANG NA ARABE MBA FRANCAIS
10 KHOLAL YAYDJI NDAKH DIOUBONAK AK AY RAKAM WALA MAGAM AY MBOKAM
11 MBA DOU LAMISSO KAT
12 MBA DOU NANE WALA FOWE CIGARETTES
13 MOYTOUL KOUY NIANE KHALISS
14 MBA DOU VERROUILLER TELEPHONE BI
15 DEM KATOU BOITE DE NUIT DE BAKHOUL
16 MBA DOU WEUR KAT
SUITE DANS 4 JOURS
Anonyme
En Septembre, 2017 (21:50 PM)Un enseignant à la retraite.
L'eau
En Septembre, 2017 (22:26 PM)Radar
En Septembre, 2017 (22:47 PM)Pourtant les gens se marient.
La vie d'un couple connaît des hauts et des bas.
C'est vrai, c'est l'argent qui est la première cause des divorces.
Le mari gagne de l'argent pour donner la dépense quotidienne, payer toutes les factures et subvenir aux autres besoins de la famille. Ça veut dire que la femme peut ne pas participer aux dépenses. Certains sont catégoriques "elle ne doit pas le faire". C'est absurde pour un européen ou un américain mais c'est normal au Sénégal.
Pas étonnant qu'il y ait autant de divorces et peu de mariages. Les temps ont changé. Les règles doivent aussi changer.
Jeunesse Saine
En Septembre, 2017 (23:21 PM)Pour un oui ou un non les lectrices vous conseillent de divorcer. Or, les filles sont connues pour leur hypocrisie sur ce plan. Beaucoup vivent des situations difficiles dans leur menage mais le gére malgré tout. Toutefois ces mêmes personnes sont promptes à conseiller à d'autres de divorcer, choses qu'elles ne feront jamais.
Les filles sont des tricheuses, matérialistes qui aiment donner une image lisse d'elles. La tabaski en est l'exemple vivant. Chacune publie des images ou des videos avec des commentaires débiles : Instant lake yap validé, deuxiéme sagnsé validé, yak agn validé....
C'est du grand n'importe quoi. Et Dieu sait que si la plupart disait d'où elles ont obtenu cet argent servant à valider da ngay rouss...
Gnoussi bari dagno teuda teuda gauche droite talonné founé pour se payer quelques haillons.
LOUKO FI DIAR... Tout ca pour montrer qu'elles sont à l'abri du besoin. Ainsi bonjour les degats pour l'homme qui epousera une fille pareille. Elle voudra toujours vivre au dessus de ses moyens. Les femmes doivent savoir que ce que les hommes leur offrent matoule dara né meunoul touss. Kou am diome ame ko.
Ndakarou da touti. Xalé boufi diokh sa bop goor bou souba mou diokh sa numéro a un autre en lui disant k dafa beug xaliss. Té beug xaliss bi dé dou loudoule aye sagarou diouni ak niari diouni. A Dakar les hommes se passent les filles comme des chaussures de foot.
Ce que les filles tolèrent à leur copain voyou du coin elles le refusent à leur epoux....
Wayé kou si tass sa seuye pour des futilités, yeureumnala bou amoul foula
Anonyme
En Septembre, 2017 (00:05 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (00:07 AM)-setlen ndakh amna dine( raggal yallah)
-setlene ndakh dou mandi
- setlen ndakh dou fenkat
- setlen ndakh dou ndjalokat
- serlen ni bayam mel ak yayam
- setlen ndakh amoul reputation nek kou violent
- setlen li nitt yi di wakh tchi mom
- setlen ndakh amna djom bagna yafouss
- setlen ni yayam mel ak mbokam yi
- setlen mom ni moi mel ak mbokkam yi
- setlen chaque membre de sa famille ak seni djouko
- si il est divorce boulene ko ladj mais cherchez a en savoir les causes jusqu au moindre detail( le pire c est etre djabarou fadj mer nak)
- setloulene ndakh koo set la wala nayoul
- setlen frequentationwam
Fi dakar le tout le monde se connait kenn mounoul reer kene
BAyilene def " de me ley takk" honneur!arretez de vous laisser choisir et choisissez! Un homme se choisit mariage c est long
Kou bonn lo ko seyeul dou doy!!!
Anonyme
En Septembre, 2017 (00:49 AM)Voilà un sujet important mais on ne sent pas de solution de l'Etat, car, faut il rappeler que la cellule familiale est la base de la société.Aux USA, ils savent que beaucoup de délinquants viennent de la monoparentalité ( les femmes n'éduquent pas!Donc la garde des enfants à bien voir)..
L'idéal est de bien faire son choix et d'avoir la chance de tomber sur la bonne personne qui a la foi mais n’empêche, un système d'aide multiforme est à créer pour les jeunes ménages (médiations,aides,appui etc)
C'est tellement compliqué qu'il faut que l'Etat intègre cette dimension mariage dans l'éducation nationale.
Babs
En Septembre, 2017 (08:31 AM)Molik
En Septembre, 2017 (08:31 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (08:32 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (09:15 AM)Femme Africaine
En Septembre, 2017 (09:19 AM)IL FAUT Chercher un bon mari toubab
C'est la solution
D. Visiteur
En Septembre, 2017 (10:15 AM)Bathily
En Septembre, 2017 (11:23 AM)Aka fi beuri et le mari n'y voit que du feu ndeyssane. Quand il est avec sa femme mou melni kou nekke ay poupe di ko daw. S'ensuivent des disputes régulières pouvant mener à la séparation.
Ragal léén Yallah les belles mères et belles soeurs. baayiléén fétiches yi.
Anonyme
En Septembre, 2017 (11:39 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (11:52 AM)Wassalam !
Carens
En Septembre, 2017 (11:59 AM)ALLAH SWT dit dans le CORAN:...ILS ONT OUBLIE ALLAH ET ALLAH LEUR A FAIT OUBLIE LEUR PROPRE PERSONNE...
D'après Abou Houreira (qu'Allah l'agrée)
Jibril est venu un jour au Prophète (que la prière d'Allah et son salut soient sur lui) et lui dit: « Ô Messager d'Allah, voici Khadidja qui vient à toi portant un récipient contenant de la nourriture ou de l'eau. Quand elle arrivera, transmets lui le salam de son Seigneur ainsi que le mien et annonce lui la bonne nouvelle d'un palais de perles au paradis exempt de tout bruit et de toute fatigue ».
(Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°3820 et Mouslim dans son Sahih n°2432)
Participer à la Discussion