A la suite des dysfonctionnements récurrents, accentués par le phénomène de migration lors du recrutement des volontaires du contingent dans les armées, le ministère des Forces des armées a décidé de rompre avec l’ancien système de recrutement.
En conférence de presse ce 29 juin, le comité d’organisation du recrutement des volontaires de l’armée veut décentraliser les opérations de recrutement dans les capitales régionales et au niveau des zones militaires.
«Il s’agit de rompre avec l’ancien système de commissions itinérantes et de décentraliser le recrutement au niveau des zones militaires. Ce système repose donc sur 16 centres de recrutement dont un (01) par capitale régionale, à l’exception de Dakar qui en comptera trois (03) du fait des effectifs importants à y recruter», déclare le colonel Mamadou Gaye, sous-chef des ressources humaines de l’Etat-major des armées.
Selon lui, il y aura des opérations de recrutement simultanées étalées sur une durée approximative de trente (30) jours, une plus grande implication des Commandants de zone dans l’organisation et le soutien de l’activité, un rôle déterminant des centres médicaux de garnison (CMG) en appoint aux commissions médicales et un renfort substantiel en personnel de soutien aux commissions. Les fonctions techniques seront assurées par la direction du personnel militaire de la marine (DPMM), assure-t-il.
Selon le colonel Gaye, pour éviter tout risque d’incident, la durée de recrutement sera réduite. Les inscriptions sont prévues du 10 juillet au 31 août 2017. “Elles se feront au préalable par les volontaires au niveau des zones militaires, des brigades de gendarmerie territoriales ou dans les bureaux de garnisons de militaires par un dépôt de dossier. Ce système permettra de disposer d’une liste préétablie de tous les volontaires potentielles “recrutables” dans l’armée et cela permettra aussi d’éviter au moment du recrutement des migrations de volontaires. Et les risques d’exclusion, de violence et d’insécurité seront évités. Le recrutement va être moins contraignant et moins pénible pour les volontaires et les Armées», a conclu le colonel Mamadou Gaye.
44 Commentaires
Yeet
En Juin, 2017 (15:20 PM)Mais vous devez aussi diversifier les centres d'instrutions!!!! Ce qui se fait à St. Louis peut se faire dans d'autres centres.
Anonyme
En Juin, 2017 (15:34 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (15:37 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (15:52 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (16:06 PM)Armee Nation
En Juin, 2017 (16:13 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (16:28 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (16:31 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (16:33 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (16:33 PM)cela aiderait beaucoup a mieux eduquer notre jeunesse desorienter
toute fois cette initiatve est a saluer
Victime Anonyme
En Juin, 2017 (16:45 PM)il faut faire la lumière sur tous les drames liés à la tortures de jeunes sénégalais au moment du semblant de recrutement depuis plusieurs décennies
Anonyme Osil
En Juin, 2017 (16:51 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (16:56 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (17:18 PM)Merci à Nos Diambars
En Juin, 2017 (17:31 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (17:41 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (17:42 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (17:48 PM)Vous recrutez, vous formez apres vous les liberez,, ils finsissent tous dans les Societes de Gardiennage
Anonyme Bis
En Juin, 2017 (17:52 PM)Colonel(e.r) Alioune Seck
En Juin, 2017 (18:11 PM)Mon ami feu le Colonel Charles GUEYE et moi nous nous souciions de l’emploi des jeunes. Pour nous, l’existence d’une loi sur le service militaire obligatoire déjà votée, promulguée et appliquée, partiellement (faute de ressources budgétaires) il ya prés de 50 ans, en 1968, devrait être un levier puissant dans la formation, l’occupation et l’emploi des jeunes de 18 a 33 ans (avant leur entrée éventuelle dans la fonction publique).
En 1968, dans un contexte particulier, de jeunes sénégalais ont subi le service militaire obligatoire, sans doute a leur corps défendant ; mais grâce a leur mérite personnel ils sont devenus des hommes d’état ayant occupe les plus hautes et honorables fonctions dans les institutions de la République (Messieurs Abdoulaye BATHILY, Mamadou diop Decroix, Mbaye Diack, Bassirou Faty etc…)
Tous les deux nous abordions les problèmes du chômage des jeunes, de l’émigration clandestine avec des idées simplifiées, voire simples : chaque année 189381 jeunes sont aptes au service militaire. Si le president élu promet 500000 emplois au bout de cinq ans sur un stock de jeunes estimes a 946905(5X189381= 946905) ; alors 446905 seront sans emplois (946905-500000=446905).
446905 voix peuvent faire basculer une élection !
Aussi avions nous appuyé discrètement le projet de recrutement de 1000 jeunes par année, et par région, défendu ardemment par le professeur Madior Diouf en 2004/2005, a l’assemblée nationale, durant deux législatures successives.
Le professeur –député avait des idées en avance sur cette importante préoccupation de sécurité nationale au regard de l’avenir de 45%, au moins, de la population.
Dix ans plus tard, en Juillet 2015 après notre admission a la retraite tous les deux, Charles me demanda d’aller contacter le professeur Madior DIOUF afin de relancer son projet qui pouvait être une contribution substantielle dans la création des 500000 emplois pour les jeunes.
Son idée généreuse était de ficeler un bon dossier à remettre aux ministres de la jeunesse, de l’éducation et de celui des forces armees.
Si le professeur-député Madior Diouf avait été écouté en 2004/2005,182000 jeunes senegalais auraient été déjà formes et insérés dans le tissu professionnel.
Entre deux descentes sur le terrain politique, le professeur eut l’amabilité de me recevoir longuement dans sa villa de sacre coeur3 pour un échange fructueux sur le projet.
Le professeur-député, était devenu conseiller économique et environnemental et s’intéressait désormais a un important projet hydraulique de sa région natale de Fatick. Mais il demeurait convaincu de la nécessité d’un tel projet. Je lui fis savoir que Charles et moi avions réactualisé les données .Et qu’un jour le service militaire progressif serait une solution alternative de l’occupation et l’emploi des jeunes de 18 a 33 ans.
En effet, Charles et moi avions méticuleusement étudié le projet du professeur-député Madior Diouf.
Pour Charles et moi l’enrôlement devait porter sur 3600 jeunes par région et par annee.Et sur cinq ans, le pays allait être dans une dynamique et un mouvement continu avec un centre d’instruction réhabilite a Kaolack, un centre d’instruction sur une superficie de 500 hectares en zone militaire numero 4 de Tambacounda. Cette zone militaire parfaitement connue du colonel Charles Gueye, puisqu’il en était le comzone (, le commandant de zone) pendant trois ans, frontalière a quatre pays (Mali, Mauritanie, Guinée Conakry et Gambie) devrait devenir le centre de gravite de toutes les actions de défense et de sécurité nationale du Senegal.
Les 50000 jeunes formes seraient ensuite places progressivement dans les opérations de maintien de la paix (omp) des nations unies qui verseraient en retour en moyenne 750 milliards par an au trésor public senegalais ! (soit 22% du budget national).
Les forces armees peuvent former une partie de ces jeunes sur les métiers suivants : peintre, électricien bâtiment , maçon, menuisier, plombier, vitrier, mécanicien automobile, électricien automobile, tôlier, soudeur, chauffeur, électronicien, électromécanicien , chef de quart, technicien radio, cuisinier, maitre d’hôtel, boulanger, pâtissier, tailleur, agriculteur, éleveur, pasteur, pécheur ,carreleur etc…
Les forces armees peuvent former une partie de ces jeunes sur les métiers suivants : peintre, électricien bâtiment , maçon, menuisier, plombier, vitrier, mécanicien automobile, électricien automobile, tôlier, soudeur, chauffeur, électronicien, électromécanicien , chef de quart, technicien radio, cuisinier, maitre d’hôtel, boulanger, pâtissier, tailleur, agriculteur, éleveur, pasteur, pécheur ,carreleur etc…
L’autre partie des jeunes âgés de 18 a 33 ans qui présenterait un profil différent, avec des diplômes universitaires, pourrait bénéficier de la modalité du service militaire long(comme il fut pratique en France et aux USA).
Bien évidemment, ceci entrainerait une évolution importante des effectifs des forces armees sans dépasser le ratio de 3% des dépenses sur le PIB.
Le Bengladesh, le Pakistan et le Ghana ont réussi, dans une remarquable coopération armees-nation, à donner de l’espoir aux jeunes de 18 ans a 33 ans.
A terme l’objectif serait de faire subir aux 446905 jeunes un service militaire de 24 mois.
J’entends déjà les récriminations et les champions des idées immobiles et des solutions stéréotypées : c’est irréaliste, trop ambitieux, c’est impossible. Cela ne s’est jamais fait. Justement, c’est parce que cela ne s’est jamais fait qu’il faut l’essayer a l’exclusion de toutes les solutions exogènes qui ont fait l’objet d’essais depuis la nuit des temps ; mais alors sans un début de succès.
Depuis l’antiquité, quand de nouvelles idées qui font bouger les lignes apparaissent il y a toujours des résistances au changement,, des champions de l’immobilisme, de la régression qui tentent de s’opposer de manière ouverte ou larvée.
Comment faire autrement ? L’image des vagues de jeunes arpentant les rues des villes et des banlieues est insoutenable, elle est intenable. Il suffit de se présenter tous les jours de 06h00 a 09h00 et de 18h00 a 21h00 aux terminaux des bus de Petersen et de Lat Dior pour voir le flux et le reflux d’impressionnantes marées humaines dont les 80 % sont des jeunes âgés de 18 a 33 (des élèves , des étudiants et des actifs de secteur informel). Il suffit encore de dénombrer les occupants des pirogues de l’émigration clandestine .Et enfin, il suffit de survoler le stade de l’amitié et ses alentours après un combat de lutte. Ces réserves d’énergies et de potentialités doivent être canalisées, guidées : cette jeunesse est une chance, un atout. Il suffit de l’éduquer, l’instruire et de l’orienter pour mieux accompagner l’émergence des travaux structurels d’infrastructures et de superstructures.
Donc, cette application progressive et partielle de la loi sur le service militaire procurerait des ressources à l’état senegalais et serait une piste de solution au désordre, à l’inversion des valeurs sociétales et à l’indiscipline et elle serait un remède contre l’inoccupation et le chômage des jeunes.
Le service militaire pour renforcer le commun vouloir de vie commune et occuper utilement la frange des 18 a 33 ans (avant leur entrée éventuelle dans la fonction publique) !
Et à titre accessoire, les joueurs (ayant au moins accompli le service militaire) des formidables équipes nationales écouteraient désormais l’hymne national ¨ au garde à vous ¨ !
Et à titre accessoire, les joueurs (ayant au moins accompli le service militaire) des formidables équipes nationales écouteraient désormais l’hymne national ¨ au garde à vous ¨ !
Colonel (e.r) Alioune SECK
Chief Strategist Think Tank
A.C.Consultants
U.S.A Naval Postgraduate School, Monterey, California
B.P 6347 Dakar/SENEGAL.
Anonyme Osil
En Juin, 2017 (18:25 PM)Okacha
En Juin, 2017 (18:30 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (18:34 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (18:36 PM)Mon ami feu le Colonel Charles GUEYE et moi nous nous souciions de l’emploi des jeunes. Pour nous, l’existence d’une loi sur le service militaire obligatoire déjà votée, promulguée et appliquée, partiellement (faute de ressources budgétaires) il ya prés de 50 ans, en 1968, devrait être un levier puissant dans la formation, l’occupation et l’emploi des jeunes de 18 a 33 ans (avant leur entrée éventuelle dans la fonction publique).
En 1968, dans un contexte particulier, de jeunes sénégalais ont subi le service militaire obligatoire, sans doute a leur corps défendant ; mais grâce a leur mérite personnel ils sont devenus des hommes d’état ayant occupe les plus hautes et honorables fonctions dans les institutions de la République (Messieurs Abdoulaye BATHILY, Mamadou diop Decroix, Mbaye Diack, Bassirou Faty etc…)
Tous les deux nous abordions les problèmes du chômage des jeunes, de l’émigration clandestine avec des idées simplifiées, voire simples : chaque année 189381 jeunes sont aptes au service militaire. Si le president élu promet 500000 emplois au bout de cinq ans sur un stock de jeunes estimes a 946905(5X189381= 946905) ; alors 446905 seront sans emplois (946905-500000=446905).
446905 voix peuvent faire basculer une élection !
Aussi avions nous appuyé discrètement le projet de recrutement de 1000 jeunes par année, et par région, défendu ardemment par le professeur Madior Diouf en 2004/2005, a l’assemblée nationale, durant deux législatures successives.
Le professeur –député avait des idées en avance sur cette importante préoccupation de sécurité nationale au regard de l’avenir de 45%, au moins, de la population.
Dix ans plus tard, en Juillet 2015 après notre admission a la retraite tous les deux, Charles me demanda d’aller contacter le professeur Madior DIOUF afin de relancer son projet qui pouvait être une contribution substantielle dans la création des 500000 emplois pour les jeunes.
Son idée généreuse était de ficeler un bon dossier à remettre aux ministres de la jeunesse, de l’éducation et de celui des forces armees.
Si le professeur-député Madior Diouf avait été écouté en 2004/2005,182000 jeunes senegalais auraient été déjà formes et insérés dans le tissu professionnel.
Entre deux descentes sur le terrain politique, le professeur eut l’amabilité de me recevoir longuement dans sa villa de sacre coeur3 pour un échange fructueux sur le projet.
Le professeur-député, était devenu conseiller économique et environnemental et s’intéressait désormais a un important projet hydraulique de sa région natale de Fatick. Mais il demeurait convaincu de la nécessité d’un tel projet. Je lui fis savoir que Charles et moi avions réactualisé les données .Et qu’un jour le service militaire progressif serait une solution alternative de l’occupation et l’emploi des jeunes de 18 a 33 ans.
En effet, Charles et moi avions méticuleusement étudié le projet du professeur-député Madior Diouf.
Pour Charles et moi l’enrôlement devait porter sur 3600 jeunes par région et par annee.Et sur cinq ans, le pays allait être dans une dynamique et un mouvement continu avec un centre d’instruction réhabilite a Kaolack, un centre d’instruction sur une superficie de 500 hectares en zone militaire numero 4 de Tambacounda. Cette zone militaire parfaitement connue du colonel Charles Gueye, puisqu’il en était le comzone (, le commandant de zone) pendant trois ans, frontalière a quatre pays (Mali, Mauritanie, Guinée Conakry et Gambie) devrait devenir le centre de gravite de toutes les actions de défense et de sécurité nationale du Senegal.
Les 50000 jeunes formes seraient ensuite places progressivement dans les opérations de maintien de la paix (omp) des nations unies qui verseraient en retour en moyenne 750 milliards par an au trésor public senegalais ! (soit 22% du budget national).
Les forces armees peuvent former une partie de ces jeunes sur les métiers suivants : peintre, électricien bâtiment , maçon, menuisier, plombier, vitrier, mécanicien automobile, électricien automobile, tôlier, soudeur, chauffeur, électronicien, électromécanicien , chef de quart, technicien radio, cuisinier, maitre d’hôtel, boulanger, pâtissier, tailleur, agriculteur, éleveur, pasteur, pécheur ,carreleur etc…
Les forces armees peuvent former une partie de ces jeunes sur les métiers suivants : peintre, électricien bâtiment , maçon, menuisier, plombier, vitrier, mécanicien automobile, électricien automobile, tôlier, soudeur, chauffeur, électronicien, électromécanicien , chef de quart, technicien radio, cuisinier, maitre d’hôtel, boulanger, pâtissier, tailleur, agriculteur, éleveur, pasteur, pécheur ,carreleur etc…
L’autre partie des jeunes âgés de 18 a 33 ans qui présenterait un profil différent, avec des diplômes universitaires, pourrait bénéficier de la modalité du service militaire long(comme il fut pratique en France et aux USA).
Bien évidemment, ceci entrainerait une évolution importante des effectifs des forces armees sans dépasser le ratio de 3% des dépenses sur le PIB.
Le Bengladesh, le Pakistan et le Ghana ont réussi, dans une remarquable coopération armees-nation, à donner de l’espoir aux jeunes de 18 ans a 33 ans.
A terme l’objectif serait de faire subir aux 446905 jeunes un service militaire de 24 mois.
J’entends déjà les récriminations et les champions des idées immobiles et des solutions stéréotypées : c’est irréaliste, trop ambitieux, c’est impossible. Cela ne s’est jamais fait. Justement, c’est parce que cela ne s’est jamais fait qu’il faut l’essayer a l’exclusion de toutes les solutions exogènes qui ont fait l’objet d’essais depuis la nuit des temps ; mais alors sans un début de succès.
Depuis l’antiquité, quand de nouvelles idées qui font bouger les lignes apparaissent il y a toujours des résistances au changement,, des champions de l’immobilisme, de la régression qui tentent de s’opposer de manière ouverte ou larvée.
Comment faire autrement ? L’image des vagues de jeunes arpentant les rues des villes et des banlieues est insoutenable, elle est intenable. Il suffit de se présenter tous les jours de 06h00 a 09h00 et de 18h00 a 21h00 aux terminaux des bus de Petersen et de Lat Dior pour voir le flux et le reflux d’impressionnantes marées humaines dont les 80 % sont des jeunes âgés de 18 a 33 (des élèves , des étudiants et des actifs de secteur informel). Il suffit encore de dénombrer les occupants des pirogues de l’émigration clandestine .Et enfin, il suffit de survoler le stade de l’amitié et ses alentours après un combat de lutte. Ces réserves d’énergies et de potentialités doivent être canalisées, guidées : cette jeunesse est une chance, un atout. Il suffit de l’éduquer, l’instruire et de l’orienter pour mieux accompagner l’émergence des travaux structurels d’infrastructures et de superstructures.
Donc, cette application progressive et partielle de la loi sur le service militaire procurerait des ressources à l’état senegalais et serait une piste de solution au désordre, à l’inversion des valeurs sociétales et à l’indiscipline et elle serait un remède contre l’inoccupation et le chômage des jeunes.
Le service militaire pour renforcer le commun vouloir de vie commune et occuper utilement la frange des 18 a 33 ans (avant leur entrée éventuelle dans la fonction publique) !
Et à titre accessoire, les joueurs (ayant au moins accompli le service militaire) des formidables équipes nationales écouteraient désormais l’hymne national ¨ au garde à vous ¨ !
Et à titre accessoire, les joueurs (ayant au moins accompli le service militaire) des formidables équipes nationales écouteraient désormais l’hymne national ¨ au garde à vous ¨ !
Colonel (e.r) Alioune SECK
Chief Strategist Think Tank
A.C.Consultants
U.S.A Naval Postgraduate School, Monterey, California
B.P 6347 Dakar/SENEGAL.
Anonyme
En Juin, 2017 (18:55 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (21:05 PM)Horus
En Juin, 2017 (22:06 PM)Horus
En Juin, 2017 (22:06 PM)Horus
En Juin, 2017 (22:06 PM)Horus
En Juin, 2017 (22:06 PM)Horus
En Juin, 2017 (22:06 PM)Laminegolo
En Juin, 2017 (22:14 PM)DAMANI GNOUN GAYENNE YI DANO AM BASE
SERIGNE TOUBA MO KHAM GAYENNE YI
NEWONE NA KOUTHI AMOUL MBOKK WOUT THI KHARRIT
WAYY GAYE WAYY
Anonyme
En Juin, 2017 (08:49 AM)Anonyme
En Juin, 2017 (09:22 AM)El Zo Gwy
En Juin, 2017 (19:17 PM)Anonyme
En Juin, 2017 (20:49 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (18:36 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (03:02 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (01:01 AM)vive le Sénégal. On nous tue,on ne nous déshonores pas
Anonyme
En Juillet, 2017 (09:22 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (17:17 PM)Anonyme
En Août, 2017 (21:35 PM)Anonyme
En Août, 2017 (15:01 PM)Anonyme
En Octobre, 2018 (12:09 PM)Participer à la Discussion