La Méthode RIT : Possibilité de réduire sensiblement le chômage croissant en Afrique

Blogs
  • Article ajouté le : 27 Jeudi, 2012 à 09h48
  • Author: cliff wane

La Méthode RIT : Possibilité de réduire sensiblement le chômage croissant en Afrique

La Méthode RIT : Possibilité de réduire sensiblement le chômage croissant en Afrique Etudes finalisées par l’analyste Cliff Yumba Mpiana WANE

 

L’Afrique est un continent possédant d’innombrables potentialités, étant donnée la présence exceptionnelle des ressources naturelles sur son espace. Curieusement, sa population croupit sans cesse dans la misère indescriptible. Manque t  il un leadership efficace? Peut être ; mais à la lumière des études finalisées, les responsabilités se voient partagées. D’une part, les Decision Makers ignorent leur mission cruciale d’imposer une certaine ligne de conduite aux populations respectives ; d’autre part, l’Africain a une vision floue de la procédure adéquate du succès. Sur ce, la méthode RIT s’ingère dans les affaires courantes africaines afin de permettre à toute population fatiguée par l’inaccessible de RIRE ou d’être en définitive soulagée.

Eu égard à ce qui précède, certains gouvernements responsables ont  pris l’option de développer des nouvelles approches, en faveur de leurs populations respectives ; malheureusement, sans succès total. En d’autres termes ; il s’agit d’une nouvelle politique d’allégement de la pauvreté croissante, traduite par la création d’une classe moyenne idéale ; car vivement souhaitée. Certes, les gouvernements responsables ont mis sur pieds des structures expérimentales ;  curieusement, la sélection des bénéficiaires n’a pas accouché sur des résultats satisfaisants. Que faire, alors ? Ou bien il y a une politique de deux poids, deux mesures ?

A titre d’illustration, la RSA a prôné et illustré le BEE qui s’est soldé sur des résultats palpables, en faveur des bénéficiaires, uniquement. Quant à la RDC, l’observateur averti a constaté que les résultats de l’affluence des coopératives minières sont peu convaincants, à cause de l’impréparation des bénéficiaires.

Il convient de souligner, à cet effet, que l’africain a une nature dépensière ; car ne sachant pas user de la parcimonie pendant la période d’euphorie. Par contre, lorsque devant un prêt de grande taille ; le bénéficiaire accomplit son rêve princier, en dilapidant la grande partie au détriment d’un investissement conséquent. Faut-il vitupérer les Decision Makers ? Pas du tout ; toutefois les Policy Makers devraient filtrer certaines conditions relatives à l’octroi de licences ou faveurs. Qui peut être éligible à une politique de faveur ? Seule la personne capable de maitriser ses émotions, à travers son organisation personnelle et familiale. Pour renchérir, pas encore une bagatelle mais une maigre somme de cent mille dollars américains désillusionne plusieurs de ceux que l’Afrique appellent « Nouveaux riches » ; n’a-t-on pas vu la morale perdre sa place, à cause de l’impréparation des parvenus ?

En vue de parer à cette situation catastrophique, accusant les uns et les autres d’insuffisances à spécifier ; il convient de prendre en compte les stratégies et méthodes d’analystes avertis ; voire consultants dignes de ce nom.

Usant de la technique d’interview dans certains pays africains ; tout le monde dit que la politique énoncée par les médias est plausible. Malheureusement, l’accès à ses facilités exige diverses connections avec les decion Makers, notamment celle relative aux passations partiales des marchés publics et privés. Rétorquant, l’Etat et le patronat nient les allégations émises par leurs sujets. Qui a tort dans cette situation ? La méthode RIT permettrait à tous de se retrouver, car les responsabilités de l’échec actuel sont partagées.

RIT, comme le veut la sémantique, revêt plusieurs sens ; notamment celles relatives au soulagement et à la ruse, voire la duplicité. Dans le cas d’espèce, il est question de solutionner tous les grands problèmes inhérents au sous emploi en Afrique.  Par extrapolation, le concept RIT disséqué prend le sens de Réorganiser à travers l’investissement, en temps voulu.

o   Réorganiser, renaissance, réorienter et refaire.

L’échec/amertume  est une grande école de la vie ; c’est pourquoi il est rare de voir une entité /une personnalité connaitre des sérieux progrès, si certaines erreurs de procédures/picotements n’ont pas cimenté au préalable, son parcours.

Pour illustrer, plusieurs des gouvernements africains ne présentent pas des programmes sociaux valables, d’une part ; d’autre part, un grand nombre d’africains est loin de maitriser le principe professionnel d’investissement à long terme. Comment y  remédier ?

A la lumière de la première affirmation, l’Afrique présente une situation selon laquelle tout le monde n’a pas accès facile aux besoins de première nécessité, telles que la santé et l’éducation. Ce qui plonge nos villes dans l’océan du sous emploi et de l’éternité du sous développement, traduit par l’incapacité d’accéder aux objectifs pour le développement du Millénaire. Bref, il s’agit du manque d’organisation, au plus haut niveau.

 En vue de trouver des solutions ponctuelles et immédiate, la réorganisation/la renaissance/ la réorientation/la réfection s’avère indispensable ; pas nécessairement expressive et livresque.

Oui, les erreurs sont manifestes et accessibles ; par conséquent, le « Policy Making environment » devrait entrer en concertation avec des consultants qui peuvent élaborer des nouveaux projets pratiques, chiffrés et à « très »court terme. Voir les méthodes EEE et TTT, par Cliff YM Wane

D’autre part, la gestion prévisionnelle n’a aucune importance chez la plupart d’Africains ; ce qui fait que l’Etat peut offrir les opportunités d’investissement, mais les bénéficiaires à vocation dépensière n’arrivent pas à pérenniser leurs entreprises. En outre, la plupart d’exécutifs et simples cadres d’entreprises n’ont aucun projet d’avenir, en termes d’investissements à vocation de générer l’emploi à des échelons différents.

Un consultant n’est  pas toujours  un assoiffé d’argent, mais un guide en matière d’investissement durable. Pour amplifier cette remarque, tout travailleur digne de ce rang devrait gérer sa rémunération mensuelle de la manière suivante :

·         Déduire les charges fixes mensuelles, évaluées à 70%

·         Affecter 4% à l’épargne

·         Affecter 4% au compte projet

·         Affecter 10% au compte investissement direct et à court terme

·         Affecter 8% au compte des imprévus

·         Affecter 3% au consulting qui ferait le suivi de la gestion du revenu (taux de CWconsulting)

Si, à la fin du mois les 27% se voient statiques ; il faudrait les capitaliser. C’est seulement de cette façon que les investissements peuvent accélérer en Afrique, car tout le monde peut joindre une PME partant de sa capacité financière.

Pour y parvenir, il s’avère indispensable de penser à l’immortalité de l’âme, que de se perdre avec la philosophie de l’immortalité du corps corruptible. De manière explicite, il convient de frayer un passage moins épineux à la génération future, car l’homme a été créé pour marquer son passage. Par conséquent, tout revenu peut créer un impact, car l’abondance est partie intégrante de la petitesse.   La petitesse produit l’abondance naturellement.

o   Investir, inventer

La politique d’investissement est celle qui échappe à plusieurs de nos dirigeants, car focalisent leurs priorités sur des secteurs qui touchent directement à leurs intérêts. Ceci n’est pas mauvais, mais il faut bien étudier le domaine d’intervention. Pour compléter ce raisonnement ; il convient de souligner que certains de nos ministres apparemment chargés n’arrivent pas à trouver des moindres solutions dans leur secteur d’intervention. « Ministre du plan incapable de provoquer une reforme à grande vitesse ; à cause de l’impréparation due à ses connections avec les Decision Makers».

L’investissement demande beaucoup de sagacité, car les vrais besoins ne sont toujours pas ce que conçoivent les experts prétendus internationaux.

Pourquoi pointer tel secteur, à la place de l’autre ?  Que va engendrer tel investissement ? Est il prioritaire, ou encore superfétatoire ? Quels sont les couts vis à vis du budget ?

Investir lorsqu’on a l’emploi constitue un atout, car les mauvais jours seront comblés de bonheur. Se réjouir indéfiniment caresse le cœur ; mais la fin d’amusement n’est que douloureuse. En d’autres termes, la jouissance parfaite ne peut intervenir qu’au bout d’efforts titanesques ; pas nécessairement pendant la période d’euphorie. Quelqu’un a dit : « Qui veut la paix, prépare la guerre». Certes, lorsque le rêve fait pression de paraitre au grand jour, il faudrait alors lui donner le temps de mieux se dessiner.

L’argent et toute sorte d’opportunités ne sont que des éléments devant cimenter le parcours d’un avenir radieux ; pas expressément pour des plaisirs couteux et immédiats. Ces derniers n’apparaitront que plus tard.

 Investir est la racine de tout accomplissement ; car il est regrettable de dire que tel fut richissime, bien qu’aujourd’hui au bas de l’échelle. C’est pourquoi, tout celui ayant la chance de palper à quelques opportunités, doit profiter de toutes ces occasions ; car il arrive que toutes celles en vogue prennent subitement des ailes. Les latinistes ont dit, à ce sujet que Carpe Diem « Profite du jour ».

A la lumière de cette illustration empirique, j’estime que le taux de Cwconsulting est raisonnable pour assurer le suivi de la bonne gestion du revenu. Par conséquent, il sera facile de franchir la porte d’investissements, en ayant le statut du patron ou de l’investisseur assidu. Oui, le patronat a besoin d’élargir sa sphère ; en vue de parer à certaines difficultés le guettant.

o   Travailler, traiter

Le travail est réellement un trésor, comme la fable de la Fontaine nous a appris ; à travers la récitation de haute portée littéraire « Le laboureur et ses enfants ». Certes, c’est en forgeant que l’on devient forgeron ; il en est de même pour le travail, car son résultat permet à l’homme d’accomplir une série des réalisations, autrefois rêve inaccessible.

Eu égard à ce qui précède, la sphère de ceux ayant l’autorisation de parafer sur des documents stratégiques d’affaires ou de migration s’évertuent à créer de l’argent à travers l’exercice de leurs professions. Que ce soit chez les privés ou chez les officiels, le principe est standard en Afrique.

Pour étayer cette thèse, certains africains ont peur d’épouser des femmes universitaires ; car le cursus les a obligées des liaisons avec des professeurs en vue d’obtenir le grade de leur choix. Quand au monde des affaires, tout le monde réclame un pourboire exagéré avant d’accomplir son devoir ; ce qui fait que la corruption devient grandissante à tout échelon. Qui n’a jamais soudoyé quelqu’un ?

De manière succincte, tout le monde est facilement « achetable » ; car les contraintes quotidiennes sont inévitables. Par conséquent, l’africain préfère gagner sans suffisamment travailler.

Sur base de toutes ces choses, la technologie, l’expertise et la déontologie sont presque mortes en Afrique. A qui la faute ? Doit on incomber le forfait au gouvernement ou à la sphère des décideurs ?  Personne ne veut travailler, bien qu’aspire à la réalisation de son rêve. « Une prostituée qui désire le diplôme universitaire fait le marchandage ; un employé désirant quelque chose pose des conditions tendancieuses au client, en vue de le lui arracher ». Comment réduire les effets de la corruption ? Qui n’est pas corruptible, enfin ? Vraiment cette panoplie des questions mérite des réponses ponctuelles.

Le travail est toujours pénible, et le gain honnête est susceptible de générer le bonheur tant attendu. C’est à ce titre que tout visionnaire audacieux passe beaucoup de temps au travail, étant donnée sa connaissance parfaite de ses implications.

o   Observations du consultant

Le chômage croissant africain constitue un danger à la génération future, car ses implications seront noirâtres ; étant donnée la solidarité exagérée africaine. C’est pourquoi, l’élite africaine devrait faire de son mieux pour préparer l’avenir de ses fils ; à travers l’usage strict du contenu de la présente méthode, car empirique. Enfin, il est possible d’élargir le patronat africain avec RIT.

Notez par ailleurs que la présente méthode est déjà testée sur un échantillon représentatif ; car il est aberrant d’énoncer des méthodes idéales et inaccessibles, sans les savourer au préalable.

Cliff Yumba Mpiana WANE

Senior Business Advisor et Motivational Speaker chez Cliff Wane Consulting/CWconsulting

Exécutif en charge de recherche et prospection chez COMIPAD

Tel : +243815777775

Email : [email protected]

Skype : cliffwane

Twitter: cliffwane

Blogs : www.cliffwane.blogspot.com

           www.cliffwane.blogs.lalibre.be

Lubumbashi, RDC

o   tag : cliff wane, Motivational speaker, Consultant, Business Analysis, fuite, immaturité, source, confiance Leadership, Business strategy, Développement, Facilitation, Investissement, Management politique, Politique sociale, Etude de marché, Marketing, Balance, relation, introspection, Commencer, Redressement, système, Médiation, Négociation, Policy analysis, Sondages, Stratégies et conseils, chômage croissant, réduction de pauvreté

 

 


Cette entrée a été publiée dans Politique. Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien. Alerter

Vous pouvez lire aussi

Commentez cet article

Pseudo *

Votre commentaire :

Pseudo *

Mon commentaire *