Le plus important à savoir entre l’électeur et le prétendant élu

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  • Article ajouté le : 27 Dimanche, 2019 à 13h01
  • Author: diop galass

Le plus important à savoir entre l’électeur et le prétendant élu

Intro.  L’absence de fiabilité installe l’imprévisibilité politique qui causera un chaos humanitaire partout dans toute l’étendue du territoire mondial de la démocratie; la solution dissimulée à côté. Voilà le contenu du développement suivant en plusieurs onglets.

 A cause de la crainte par les dirigeants d'être destitué et les menaces de la destitué par le peuple ou une de ses partie, les décisions politiques de la nation ne résident plus réellement à parmi les prorogatives de la plupart des dirigeants du monde d'aujourd'hui. Mais, elles résident à celle du peuple. Il ne reste plus que la publication officiellement de décisions dans les prorogatives des dirigeants. Autrement dire, chaque dirigeant décide, selon les pressions, les désirs du peuple ou une de ses partie et non pas sa propre conviction. Quelle direction chaotique pour l'humanité! Car, la décision politique nationale est très importante, elle n'est pas l'affaire collective, elle est celle d'un seul individu sage ambitieux sérieux entouré de bons conseils et doté d'une vision grandiose… Pour  qualifier une décision via de la pression publique, je dis une décision cacophonique, cela ne peut rien apporter pour le bien-être de l’humanité, au contraire, il la dirige vers le chaos. C’est impossible que, chaque membre du peuple soit assez conscient pour capable de prendre une décision pareille et l’inconscience de certains membres peut toujours gâter la décision collective. Comme son manque de conscience collective est compensé par son nombre,  le peuple peut beaucoup faire sauf décider. Car la conscience est l’élément de basse pour prendre une décision.

Avec le système démocratique, quand le candidat est en face avec des électeurs inconscients,  impossible de conscientiser. L’option est unique, c’est à devenir inconscient comme  eux, c’est-à-dire faire des discours adéquats avec l’inconscience et se conformer avec le contenu de ses discoures.  C’est le seul moyen qui lui permet d’accéder au pouvoir et pour y rester il doit faire pareil. Sinon rapidement, la règle démocratique de n’importe quelle majorité remporte le mettra hors du jeu. Je pense qu’à part mes termes, seul le mot majorité que l’on avait habitué à l’entendre. Et pourtant exactement "n’importe quelle majorité" est bel et bien appropriée avec ce qu’elle appelle majorité. Car la démocratie n’a aucun principe distinctif concernant majorité.    

Ce n’est pas pour rien quand le philosophe Joseph de Maistre dit.       « Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite.» affirmative ! Mais,  j’y ajoute, c’est à cause de certains mauvais principes de la démocratie que cela se produit. Sinon aucun peuple du monde n’abrite pas cent% des gens démérités de bons dirigeants.  Celui le plus démérité abrite probablement vingt%  mérités minimum et si on  triera ces gens-là, ils peuvent élire un bon dirigeant qui va ériger un meilleur gouvernement digne de celui du peuple le plus mérité de bons dirigeants du monde. La bonne gouvernance infaillible apportera ses fruits, au fil du temps, les gens mérités s’augmentent de plus en plus en réduisant les gens démérités dans le peuple. Alors, le problème est résolu! Et pourtant le mécanisme efficace à trier pour les vingt% n’est pas introuvable. Même moi je l’ai, c’est la démocratie qui n’a pas bougé  ses fesses.       

Le pire ennui de l’humanité qui a causé la plupart de ses difficultés, c’est la démocratie, elle insiste plus et non pas assez sur les critères de l’élu et beaucoup moins sur celles de l’électeur qui est plus important en devenant la basse de tout. C’est là que la démocratie se trompe énormément ! Selon moi, l’élu est simplement la production des électeurs. Pour avoir la bonne production, mieux vaut d’adresser plus au producteur qu’à la production.

Prenons l'exemple à un électeur qui encaisse le pot-de-vin discrètement avant de voter! Tout le monde le reproche, la démocratie en premier. Et pourtant il n'a pas tort, il est dans ses droits en toute légalité, il est même victime. Chacun a un sérieux désir  personnel à lui, que ça soit le développement de son pays ou le repas de ses enfants voire autre chose, n'est-ce pas? Bien sûr! Le désir d'une somme d'argent pour les quotidiennes et beaucoup d'autres de ces genres sont des désirs très légaux, n'est-ce pas? Bien sûr! Chacun avec sa propre perception pour apprécier une personne que ça soit un candidat d’élection ou un boy domestique voire autre personne quiconque,  n’est-ce pas? Bien sûr! Et chacun a sa propre conviction, si d’après sa mentalité, le  meilleur critère préféré pour apprécier un candidat est la générosité en sa faveur et personne ne l’a forcé. Où est le problème? Si on sent  dérangé  indigné  ou ces genres aux actes de celui qui encaisse le pot-de-vin avant de voter, pour éviter de bafouer le droit d’un pauvre électeur qui n’a rien fait que se limiter sur son propre droit sans toucher celui de personne. Pourquoi est-ce qu’on n’adresse pas à celui qui a donné le droit de vote à sa personne? Il s’appelle la démocratie!  

En principe, le candidat en élection est quelqu’un qui a plus de sagesse, de vision et d’engagement que les électeurs. Il était mérité  une suprématie pour pouvoir servir  l’ensemble des électeurs du pays. Mais, finalement il sera neutralisé par  la suprématie d’électeurs, en influençant tous ses actes et paroles. L’éthique et la déontologie et ces genres de qualités ne serviront pas grande chose. Tout  ce qui permet le candidat d’atteindre son ultime but est entre les mains des imprévisibles. C’est-à-dire des électeurs imprévisibles qui ne s’intéressent pas du tout à ces genres des qualités et changent de candidat d’une minute à l’autre pour des raisons  inconnues inexplicables ou explicables  avec des barbares. Et l’imprévisibilité peut bouleverser  n’importe quel être-humain! Voilà ce qui explique la pièce du puzzle. « Je vous promets de renoncer le pays de l’accord climatique de Paris. » « Je vous promets de sortir le pays dans la monnaie FCFA. » Même si elles sont contraires avec sa vision ou soit inutiles voire infaisables. Le candidat n’arrête jamais de faire des promesses étranges rares. Mais, applaudissables par les électeurs majoritaires et inconscients comme moi. Et pourtant pour éviter la destitution aveuglée par eux, l’élu fera tout pour tenir ses promesses de bluff. Même s’il n’est pas l’intérêt du pays. « Cela augmente considérablement la dette négative mondiale en effectuant des réalisations propagandistes et, augmente aussi les libertés négatives des citoyens dans le monde  et celle de la presse en reformant des lois constitutionnelles. Tout cela juste pour tenir promesse ou concurrencer  prédécesseur et successeur ». Bref, malgré ils ne sont ni compétents ni qualifiés pour diriger, les électeurs ont  deux fonctions. La première est  d’élire un élu, la seconde est celle de l’élu même (diriger). Finalement, même si elle abrite des meilleurs dirigeants du monde, la société n’aura plus accès aux fruits de bon leadership qui était indispensable pour sa survie. Seules les conséquences de mal dirigé seront disponibles pour elle. Le mal fréquente plus dans les pays Africains comme ils sont moins matures politiquement. Voilà les dégâts humanitaires causés par ce que le monde entier considère comme le meilleur de tous. Ce qui est plus répandu dans le monde, elle s’appelle " la démocratie." Aucun avantage ne peut pas compenser ces dégâts fatals, même si elle contient des avantages quelque part. Car, on n’aura pas le temps de découvrir l’avantage dans la fatalité.

La démocratie a tracé de manière chaotique et erronée entre le prétendant élu et l’électeur. Car selon elle, que ça soit des adolescents immatures  ou des inconscients...  la n’importe quelle majorité  remporte. Le dernier mot aussi est le sien. Son désir est la seule à appliquer. Le prétendant élu n’à qu’aller chercher la n’importe quelle majorité. C’est la seule chose qu’on entend de lui. Selon moi, le dernier mot et le désir de la majorité ne sont pas forcément la raison ou le meilleur pour la société. La démocratie a oublié le facteur fiabilité d’électeurs. Elle n’a aucun principe pour ça. La majorité n’appartient pas forcément le dernier mot et la raison, elle les appartient seulement si elle est fiable.  Comme, selon la démocratie n’importe qui peut être membre à la majorité on n’a que le choisir. S.M. La majorité peut-être moins fiable que la minorité.  Si la minorité abrite plus des sages  des talents et des âgés etc… elle est forcément plus fiable que la majorité, et alors, donc, elle sera plus forte et doit appartenir le dernier mot et la raison. Aussi, la démocratie donne trop d’importance  à une chose qui n’a aucune. C’est le taux élevé. Le taux d’inscris sur les listes électorales et celui de participation d’élections. Eh bien, le taux élevé égal la quantité et tout le monde tombe d’accord avec moi que la qualité est meilleure  que la quantité. Selon moi, comme un élu représente des dizaines des millions d’individus de son peuple à quasi-totalité de fonctionnements de leur  vie, en toute dignité incontestable. Un individu qui est un excellent électeur est censé mériter de représenter des centaines ou des milliers d’autres qui ne le sont pas à une tâche aussi complexe importante que choisir un dirigeant suprême. Mieux vaut d’avoir seul cent excellents électeurs sur mille citoyens  que mille sur mille dont  six cent qui ne sont pas assez conscients pour pouvoir choisi un dirigeant sur des critères raisonnables et appréciables. Le pire, c’est l’obligation du vote dans certains pays. C’est impossible que parmi les dizaines de millions d’individus, tout le monde a l’idée sur une même tâche complexe que choisir un dirigeant du pays. Donc, comment peut-on obliger quelqu’un d’accomplir une tâche qu’il n’a aucune idée? Quel extrémisme !  

Solution.  D’abord, je conseille la démocratie de s’arrêter de reprocher quoi que ce soit à qui que ce soit parmi les dirigeants suprêmes et aller revoir sa sélection d’électeurs et comment elle l’a sélectionné. Et sache que la plupart des mauvais comportements de dirigeants sont causés par le système d’accession au pouvoir.  La solution a le droit de se présenter même si elle ne sera jamais Bienvenue nulle part. Elle possède deux points. Un, le monde tourne le dos la démocratie et va chercher autre chose alternative, soit dans les religions soit par ailleurs, ce qui est quasiment impossible. Deux, maintenir la démocratie et effectuer quelques corrections sur certains principes, ce qui n’est pas impossible. Tout est dans les questions les suivantes.

Est-ce qu’électeur n’est pas une fonction ou une profession? Selon moi, élire un élu, c’est une affaire des minutes, ce moins fatigant mais, plus délicat, complexe et difficile que la plupart des métiers et des fonctions. À mon classement de tâche la plus complexe, l’électeur est classé deuxième juste dernier l’élu qui dirige un pays.

Pourquoi est-ce qu’on ne reforme pas la loi sur le droit de vote qui n’a que deux seuls critères-nés faciles et banals qui permettent aux citoyens d’être un électeur? S.M, Avoir seul un acte de naissance et l’âge de dix-huit ans, ces deux seuls critères-nés remplis même par les singes  sont dangereusement insuffisants pour être apte de pouvoir choisir un dirigeant de taille comme un président de la République. 

Pourquoi est-ce qu’on n’ajoute pas d’autres critères sur le droit de vote comme certains niveaux d’études ou une carrière dans un métier, voire responsabilité familiale et augmenter l’âge, selon la maturité de chaque peuple? Je ne sais pas! Après être tombé d’accord qu’être électeur en démocratie est dangereusement facile et il n’aurait pas dû l’être. Trouver une solution pour faire en sorte que, l’électeur  deviendra quelqu’un, plus conscient, plus  responsable etc… cela ne sera pas difficile pour les spécialistes. Selon moi, ça créera du moins quelques efforts que chaque citoyen doit  concourir avant d’être un électeur. Dans ce cas, même si les taux d’inscrits vont baisser en moitié, mais les listes électorales seront fiables. C’est-à-dire pouvoir faire un choix digne de son nom. Enfin aucun dirigeant n’aura plus besoin de faire des bluffs ou avoir crainte de destitution aveuglé, il pourra compter juste de son éthique et déontologie. Contrairement à la situation actuelle à laquelle tous les prétendants dirigeants qui font l’éventuelle  tentative de se compter seulement de dire la vérité avec sincérité et sans faire des bluffs ni arnaques sont écartés du système. J’arrête là pour attendre un débat avec les cadres pro-démocraties pour apporter plus de détails et précisions.  

En cas des questions  concernant  la réputation de l’auteur de ce discours innovant. À part, je m’appelle Galass DIOP qui n’était  jamais fréquenté à aucune école dans son existence, encore moins qui n’a aucun diplôme, qui n’avait même l’acte de naissance jusqu’à l’âge d’adulte il se débrouillait dans les tribunaux pour avoir un jugement. Je n’aurai aucune autre réponse! Mais, j’ai une suggestion à donner ! D’abord, il faut savoir qu’à part l’explosion et la popularité,  un discours ne gagne forcément rien d’autre d’important dans la gloire et la célébrité de son auteur comme pertinence ou utilité etc… Je suggère qu’après le savoir et être assez informé. Oubliez-vous le pauvre auteur minable! On est censé écouter et concentrer attentivement et uniquement sur le fond du contenu du message avec l’intelligence. Et éviter de se laisser distrait par la grandeur de la démocratie ou le minable de l’auteur. L’intelligence humaine va faire le reste, j’ai confiance à elle. Bonne lecture!

Désolé pour les corrigeables involontaires!


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Depassage - #1

Interessant!

le Lundi 28 Janvier, 2019 à 10:01:20RépondreAlerter

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