Diomaye a tout sacrifié pour Sonko et PASTEF : l’ingratitude comme seule récompense ? [Rama seck ]
Diomaye sacrificed everything for Ousmane Sonko and for PASTEF: his freedom, his career, his family stability, his personal peace of mind. He went to prison for a cause that, initially, wasn't even his own. He single-handedly carried a party while others dominated the media spotlight. While some spoke to the people, he organized, structured, administered, and kept the party running. In the shadows. In silence. With unwavering loyalty.
Bassirou Diomaye Faye never sought power. He never asked to be President. For years, he worked diligently and honestly to ensure Sonko's candidacy, and then his election as President. He oversaw the structuring of PASTEF as Secretary General. Many party members know Diomaye better through the actual workings of the party than they know Sonko himself, because it was Diomaye who managed the day-to-day operations, the files, the internal decisions, and the administrative emergencies.
He was imprisoned for defending his leader. He accepted prison with dignity, leaving behind his family, his job, his entire life. And when the critical moment arrived, when Sonko had no other choice, it was Diomaye who was chosen once again. He wasn't the first choice. He wasn't the natural choice. He was the choice of sacrifice. He accepted without calculation, without personal ambition, without even fully grasping the storm that awaited him. The party had to be saved. He said yes.
Diomaye was unfamiliar with power. He had never wielded it. He didn't know what governing a state truly meant. And yet, he accepted this immense burden so that PASTEF would not die. Today, he faces the brutal reality of power: internal power struggles, pressures, social emergencies, international constraints, and crushing responsibilities. Governing a country is not leading a party. Commanding the state is not galvanizing a crowd.
But instead of recognition, he faces ingratitude. Instead of loyal support, he endures suspicion. Instead of respect, he suffers caricature, attacks, and public humiliation. As if his sacrifice had been erased. As if the prison had never existed. As if he had been nothing more than a political tool, disposable after use.
Let's be clear: Bassirou Diomaye Faye is President of the Republic before he is a member of PASTEF. He cannot, he must not, he will never betray the Republic for a party. And he is right. Because a President who sacrifices the State for a political camp seals his own historical downfall. A Head of State's supreme loyalty lies with the Nation, not with a partisan organization.
Diomaye wants to remain the republican patriot you were celebrating just yesterday. And that's precisely why he's a problem today. Power has its own reality. He's just discovered it. And this reality sometimes demands difficult decisions, painful balances, compromises that slogans alone can no longer manage.
Ousmane Sonko, PASTEF, the time for internal score-settling, public pressure, and smear campaigns is over. The time for honor is now. The time for loyalty to the one who gave everything to ensure the survival of your struggle. The time for responsible support, loyal counsel, and dignified assistance is now. Not for insults. Not for caricature. Not for humiliation.
You don't trample on the man who saved you.
You don't weaken the one who ensured your political survival.
We do not turn the sacrifice into a target.
Diomaye is here today to ensure PASTEF doesn't die. He's also here to keep the Republic standing. Attacking him weakens the state. Discrediting him undermines the institutions. Provoking him into making a mistake jeopardizes the country's stability.
History is watching.
The people are watching.
And the Republic will not forget.
Commentaires (66)
Affichage des 50 commentaires les plus récents.
Diomaye dispose de milliards de fonds politiques.
Read my lips.
Sonko avait atteint une popularité telle qu’un chèvre 🐐 serait devenu aujourd’hui président de la république s’il l’avait désigné comme candidat.
Alors vos balivernes, allez les raconter ailleurs !
Té bouléniou sonal di justifier car rien ne peut justifier l’ingratitude de Diomaye vis à vis de Sonko !
Diomaye a croupis en prison avec dignité pour défedre l'autre sans bruit ni trompette. L'autre faisait du tapalé grève de la faim sans grève de la faim.
L'autre est un habitué du mensonge: il ment ment à ses épouses et ses enfants. Danguine bou ame avc
'' Ousmane Sonko, PASTEF, l’heure n’est plus aux règlements de comptes internes, ni aux pressions publiques, ni aux campagnes de dénigrement. L’heure est à l’honneur. L’heure est à la fidélité envers celui qui a tout donné pour que votre combat survive. L’heure est à l’accompagnement responsable, au conseil loyal, au soutien digne. Pas à l’insulte. Pas à la caricature. Pas à l’humiliation. Fin de citation
cette rédaction est digne d' un élève de 3 eme candidat au BFM anciennement Brevet d' étude secondaire .
Si tu oses dire le contraire de se qui se passe c est que tu sais que tu es passée à côté
Mme Seck soyez constant dans votre démarche parce que seule la vérité va triompher
Nullards.
Suivez moi
Il dit au senegal on te trouve dans votre salon en train de suivre une emission , UN VOLEUR entre , te regarde dans les yeux , marche sur pointe des pieds vers la tèlè, avec le regard typique gauche - droite , déconnecte la tèlè et toi tu es toujour assis dans ton canapé observant ses faits et gestes.
Et pour le voleur tu n'as rien vu et il peut tranquille se barrer avec son butin .
Mes amis du Pasteef ces gens là pensent utiliser cette technique pour nous arracher notre victoire.
Rendez vs compte de leur cupidité manifeste . Sonko sama carte , sama carte moy Sonko
C est lamentable ce genre de torchon
Diomaye a sauvé Sonko ? Comment ? Dans sa cellule de prison ? Diomaye n'a JAMAIS été sur le terrain quand Pastef, ses militants et sympathisant se battaient contre le régime sanglant de Macky Sall ! Il était tranquillement chez lui se la coulant douce.
Diomaye a voulu aller en prison pour éviter d'être oblige de se battre sur le terrain comme tout le monde. Ousmane Sonko lui avait même demande de ne rien faire pour être arrêté comme tout le monde était déjà en prison. Diomaye voulait aussi faire la prison comme tout le monde sans se battre. Il a tout manigance.
Comment Diomaye a porté la survie politique de Sonko ? Unbelievable ! PERSONNE ne connaissait Diomaye avant d'être désigné par Ousmane Sonko. Les gens connaissaient El Malick avec son bracelet et autre membre de PAstef qui était dans les premières ligne de combat. Diomaye a porté la survie politique de Sonko dans le noir ? Diomaye veut TUER PAstef et son Président, pas le sauver. Diomaye veut REMPLACER Ousmane Sonko et Pastef avec une bande de sans noms que sont les membres de 'Diomaye Président'.
Diomaye doit être RECONNAISSANT d'avoir été choisi par Ousmane Sonko pour être Président de la république. Diomaye est président avec l'emblème 'Diomaye Moy Sonko' parce que ceux que les Sénégalais ont voté pour Sonko à travers lui.
Diomaye ne serait pas président sans Ousmane Sonko. Oui c'est Dieu qui la voulu ainsi mais il faut être reconnaissant quand même.
Ousmane Sonko a le peuple avec lui parce qu'il est constant. Tous ceux qui ;'ont trahi ont fini par être rejeté par le peuple. J’espère que le Président Diomaye Faye ne va pas lui tourner le dos parce que ça sera sa fin politique.
Bravo Madame
Si c’est ce que Mimi a récolté pour Diomaye après sa restructuration, vraiment ce serait l’arnaque du siècle.
Diomaye aura tout perdu : la confiance de ses électeurs, l’estime de Sonko et des patriotes, sa crédibilité, ses chances d’entrer dans l’histoire et plus tard la possibilité de revenir dans le jeu politique comme successeur légitime de Sonko après ses 2 mandats en 2029.
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
Ma question c'est, est ce que diomaye est un peul? Senghor? Abdou diouf? Et pourtant je n'ai toujours Pas entendu quelqu'un dire qué Les sereres sont des traitres. Qui peut alors m'expliquer cette haine des peuls?
Bon maintenant demerdez vous avec votre petit serere noire, moche, zero charisme on dirait kirikou
Il est nul, c'est vrai . Comme l'Autre. La question doit être : qui est le plus nul des deux ?
S’il ne les remplit pas il sera un traître aux yeux du monde.
En vérité vous ne lui voulez que du mal. Poussez Diomaye à trahir ses engagements que tout le monde connaît et vouloir dire que c’est lui qui est trahi c’est se moquer du monde entier.
Vos éléments de langages sont trop bidon.
Respectez vos engagements, voilà ce que vous devez dire à Diomaye si vous l’aimEz.
Participer à la Discussion
Règles de la communauté :
💡 Astuce : Utilisez des emojis depuis votre téléphone ou le module emoji ci-dessous. Cliquez sur GIF pour ajouter un GIF animé. Collez un lien X/Twitter ou TikTok pour l'afficher automatiquement.