Chômage élevé, emploi et activité en chute…: "L'inquiétante" dégradation des chiffres (T3)
In the third quarter of 2025, employment and activity rates are far from impressive. They are declining at a time when unemployment is on the rise.
Employment rate is falling
The National Employment Survey in Senegal (Enes) reports that from July to September, the employment rate, which measures the share of employed people among those of working age, stood at 40.5%.
It decreased compared to the second quarter, when it stood at 41.7%, and fell by 2.3% compared to the same period last year, when it was estimated at 42.8%. The employment rate is lower among young people (30.4%) than among adults (56.2%).
Activity level is declining
The level of activity is also not very encouraging. At 56.5% in the second quarter, it fell to 55.4% in the third quarter, according to the report drawn up by the National Agency for Statistics and Demography (ANSD).
Moreover, "the activity rate has contracted by 2.9% compared to the same period in 2024 (58.3%)." It is lower among young people (47.2%) than among adults (68.0%).
Unemployment remains high
As for unemployment (broadly defined), in the third quarter it reached 19.2%, up from 19.1% in the second quarter. However, it fell by 1.1% compared to the same period in 2024, when it stood at 20.3%.
It is significantly higher among young people at 23.6%, compared to 14.4% among adults. "According to the strict ILO definition, unemployment stood at 3.2% in the quarter under review," the report specifies.
Commentaires (21)
Des gens qui cautionnent avec des milliards et des farfelus se demandent s'ils ont volé l'argent du pays ou non
Surtout comptabiliser les emplois fictifs dont les salaires étaient envoyés par wave ou OM au village.
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
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