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Call for urgent action in the Sahel: Bamako responds to the African Union

Auteur: Bernardin Patinvoh

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Appel à une action urgente au Sahel : Bamako répond à l’Union africaine

In a statement released on Sunday, November 9, 2025, the Chairperson of the African Union Commission, Mahmoud Ali Youssouf, expressed his “deep concern at the rapidly deteriorating security situation in Mali, where terrorist groups have imposed a blockade, disrupted access to essential goods, and dramatically exacerbated the humanitarian crisis for the population.” He reaffirmed his solidarity with the Malian government and people and called for a “strong, coordinated, and coherent international response to combat terrorism and violent extremism in the Sahel.”

There is "no blockade" in Mali

While holding a press conference yesterday Wednesday in Bamako, the Malian Minister of Foreign Affairs, Abdoulaye Diop, responded point by point to the AU communiqué.

Initially, he firmly rejected the language used by the pan-African organization in its statement. “We were surprised by certain expressions in this communiqué which, from our perspective, echoed the narrative of terrorist groups and their foreign state sponsors, particularly when they speak of a blockade. You know there is no blockade. There are certainly obstacles to the supply of petroleum products. There are disruptions, but there is no blockade,” Abdoulaye Diop refuted. The minister regrets that an international organization “is using this type of narrative.”

No action can be considered or undertaken in Mali without the Malians.

He believes that she should have taken "the necessary time to understand what is happening in Mali, to learn about the reality of Mali and, based on that, to see what the expectations of Malians are, what the possible needs of Malians are."

Regarding the call for urgent action in the Sahel, particularly in Mali, the minister reminded the AU that no action can be considered or undertaken in Mali without the Malian people, without the consent of the Malian state. The country has, moreover, moved beyond this type of paradigm, Abdoulaye Diop emphasized.

"The new paradigm, which is being promoted by the President of the Transition, by the other Presidents of the AES, is to trust ourselves and take charge of ourselves, and to ensure that the security of our countries rests on the shoulders of the people of our countries, the leaders and the defense and security forces," recalls the head of Malian diplomacy.

"Therefore, it is no longer a question of Mali extending a hand to the so-called international community to come to our aid, especially since over the last ten years, Mali has tried an experiment with the presence of several thousand foreign forces. This has not met the expectations (of the people)," Mr. Diop suggested.

Auteur: Bernardin Patinvoh
Publié le: Jeudi 13 Novembre 2025

Commentaires (13)

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    Human Being il y a 3 heures

    Les Russes d'Africa Corps, ils sont des maliens peut être. Monsieur le ministre Abdoulaye Diop il y'a bel et bien des troupes étrangères au Mali. Et ce sont les exactions des mercenaires russes sur certaines communauté stigmatisées de facto comme complices des terroristes qui vous ont conduit dans cette situation. Vous faites le fier alors que vous ne maitrisez plus rien du tout.

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    Basta il y a 3 heures

    Ces gens ils faut les laisser assumer leur arrogance. Ils réfutent de voir la réalité et sont perdus par l'orgueil.

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    Pape il y a 3 heures

    Orgueil mal placé. Pourquoi vous avez fermé les écoles et universités pendant si longtemps? Vous êtes une bande d’irresponsables tout simplement. Et où sont vos alliés de l’aes? Africains, croisez les bras et regardez faire .

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    Maliden il y a 2 heures

    Ce que vous ne comprenez pas, c'est que la Mali n'est pas un pays lâche. Il s'assume. Point barre.

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    Maliden il y a 2 heures

    Je tiens à rappeler que le Mali est un État souverain, libre de choisir ses partenaires dans le respect de ses intérêts stratégiques et de la volonté de son peuple. Les forces étrangères présentes sur notre territoire le sont à la demande des autorités maliennes, dans le cadre d’une coopération bilatérale assumée et transparente.
    Les accusations généralisées et non fondées à l’encontre de nos partenaires russes ne sauraient occulter les exactions commises pendant des années par d’autres forces étrangères, sous couvert de lutte contre le terrorisme, sans résultats probants. Le gouvernement du Mali condamne fermement toute atteinte aux droits humains, quelle qu’en soit l’origine, et reste engagé à faire la lumière sur tout acte répréhensible.
    Quant à la maîtrise de la situation, elle ne se mesure pas à travers des jugements extérieurs, mais à travers les progrès concrets réalisés dans la sécurisation du territoire, la restauration de l’autorité de l’État et la mobilisation populaire autour de la souveraineté nationale.

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    ras il y a 2 heures

    Il devrait d'abord être libre de choisir leurs autorités. Les malien n'ont rien choisi, des putchistes se sont imposé et ont choisi des partenaires (faire venir des merceniaire). Les Russes sont partenaires des putchistes qui les ont appelé et les payent, pas des maliens à qui personne n'a demander d'avis.

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    Maliden il y a 2 heures

    @Pape: Je comprends que certains puissent exprimer leur frustration dans un contexte aussi complexe que celui que traverse notre pays. Toutefois, il est important de replacer les faits dans leur juste cadre.
    La fermeture temporaire des écoles et universités n’a jamais été un choix de confort ou d’orgueil, mais une mesure de précaution dictée par des impératifs de sécurité nationale. La protection de nos enfants, de nos enseignants et de nos infrastructures éducatives reste une priorité absolue. Nous travaillons activement à leur réouverture dans des conditions sûres et durables.
    Qualifier les autorités de la République d’« irresponsables » est non seulement injuste, mais aussi irrespectueux envers les efforts constants déployés pour restaurer la souveraineté, la dignité et la sécurité du Mali. Gouverner dans un contexte de guerre asymétrique, de pressions extérieures et de recomposition géopolitique exige du courage, de la lucidité et une vision à long terme.
    Quant à nos partenaires de l’Alliance des États du Sahel (AES), ils sont bien présents, solidaires et engagés à nos côtés dans une dynamique de coopération renforcée. L’unité africaine ne se décrète pas dans les discours, elle se construit dans l’action, la résilience et la souveraineté assumée.

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    Svp il y a 2 heures

    Comment ? Le gouvernement malien et le JT de sa chaîne nationale ne expliquent que tout va bien et que ce sont des forces étrangères qui cherchent à ternir l'image du Mali.

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    Maliden il y a 2 heures

    @Basta:
    L’arrogance n’est pas dans le fait d’assumer ses choix souverains, mais dans le refus de reconnaître que les peuples africains ont le droit de décider par eux-mêmes de leur avenir. Ce que certains qualifient d’orgueil est en réalité une volonté affirmée de rompre avec les dépendances historiques et les injonctions extérieures.
    Nous ne réfutons pas la réalité , nous la vivons, nous la combattons, et nous la transformons. Le Mali fait face à des défis immenses, mais il avance avec dignité, avec ses partenaires africains et internationaux qui respectent sa souveraineté.
    Ceux qui nous jugent sans comprendre les enjeux profonds de notre démarche sont libres de leurs opinions. Mais qu’ils sachent que nous ne gouvernons ni par orgueil, ni par déni, nous gouvernons par devoir envers notre peuple.

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    Deug il y a 4 minutes

    l arrogance c est l incapacité de régler ce problème et d exposer les populations sans appeler a l aide

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    Hakim Dia il y a 2 heures

    La junte sais parfaitement qu'elle n'a pas la légitimité populaire du coup toute intervention militaire soit-elle de la CEDEAO ou onusienne sera perçue comme un menace pour leur pouvoir

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    ccc il y a 2 heures

    les maliens , il faut les laisser avec leur orgueil mal placé. Préparons et organisons la défense de notre territoire c'est mieux

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    Panafricain il y a 2 heures

    L AES échoué pointe barre Le
    Le bras de fer avec l occident est une voie sans issue
    L AES est incohérente
    C est comme une personne qui dit détesté la poule mais aime ses oeufs et sa chair
    Normalement langue officielle de l AES doit être le russe et non le français
    A défaut d une monnaie AES vive le rouble russe
    Plus d émigration en France en Espagne USA Belgique etc
    Mais il faut aller chercher travail en Russie en Chine en Mongolie en Corée du Nord a Cuba c est mieux

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    Isco il y a 1 heure

    En tt cas ke sénegal doit équiper son armée ( helicoptere, drones, moto, pick up) mo geueneu wor

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    Toto il y a 1 heure

    "Le président de transition". Hohoho.

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    Anconsa il y a 35 minutes

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