Grands chantiers… toujours bloqués à l'étape PowerPoint?
On October 1, 2025, eighteen months after coming to power, President Bassirou Diomaye Faye finally unveiled, through the Council of Ministers, the "imminent launch" of the major projects of the National Transformation Agenda (Ant). A solemn announcement, a catalog of structuring projects: water transfer, rural electrification, the Dakar-Tambacounda railway line, agricultural cooperatives, digital identity... So many initiatives that the government is now making top priorities. Very well. But why wait so long?
For over a year, the new authorities have been repeating that the legacy is heavy, that finances are drained, and that there is almost no room for maneuver. The president himself spoke of a "constrained" state, an incoherent administration, stuck in outdated patterns. Ousmane Sonko, Prime Minister, did not mince his words: "We thought we were on the first floor... We found the country on the fourth basement." Fine. But this is no longer the time for taking stock.
The contrast between the seriousness of the diagnoses and the slowness of the responses has become glaring. The popular momentum that brought this regime to power was not based on patience. It was based on an urgent expectation of change. But today, on the ground, construction sites are at a standstill, cranes are silent, cement plants are running at a standstill, and the construction sector is losing thousands of jobs. How many workers—masons, electricians, tilers, small traders—are being left behind? Economic operators are suffocating, deprived of land titles and therefore of credit.
And yet, the government seems to be operating in a different timeframe. It still talks about "accelerating," "enhancing," and "relaunching." But it doesn't. Administrative reform is dragging on. Agencies with redundant missions are still there: ANPEJ, ASP, ASEPEX, FHS, ASPT, SAPCO, etc. The merger of structures like the DGPU, SOGIP, and APROSI into a single large urban hub directorate could have been agreed upon in the first few months. It's still under consideration (?). In any case, the consolidation and elimination of the agencies has been announced... for the end of June 2025. As if the country could wait any longer.
In reality, the current slowness is no longer a legacy, but a hallmark. Audits and diagnoses are needed, but we must "accelerate the pace," as advocated by Aminata Touré, former Prime Minister under Macky Salla and current high representative of President Faye. The private sector is beginning to have doubts. Uncertainty about the rules of the game, widespread judicialization, and the lack of discretion regarding financial matters are creating a difficult climate.
The government cannot be satisfied with a moral stance. It must now produce results. The country's transformation will not come through an overabundance of intentions, but through concrete, visible, and rapid actions. You don't change the daily lives of Senegalese people with well-crafted announcements or PowerPoint presentations. You change it with roads built, trains running, land developed, factories operating, and jobs created.
The Senegalese people aren't expecting miracles. They're expecting movement. A will that's expressed in action. They know the country was on its knees. But they won't understand being left on the ground in the name of administrative prudence or excessive political precaution.
This regime was elected to break with the old system. To transform. To shake things up. It cannot afford to govern at the speed of the regimes it fought. If the country is truly in the "fourth basement," then it will not rise to the surface through ministerial meetings. But through the swift, brutal, and determined execution of the announced decisions.
Commentaires (18)
Que des projets de Macky Sall,ils figuraient déjà dans le PSE.
Journalistes opposants 😅😁
mais que se passe t-il avec le brt aujourd'hui? Trop de retard. On est resté sur le quai plus de 30 mn à attendre. Et le pire c'est que personne ne nous a dit les raisons du retard
keur massar reclame un BRT
Pendant ce temps les caisses noires de Diomaye, Sonko et El Malick continuent d’être alimentées de milliards.
Ces paresseux ne sont pas venus au pouvoir pour travailler, mais pour jouir, se remplir la panse et épouser d’inombrabres femmes.
Pastef est arrivé au pouvoir en portant un discours de rupture à tous les niveaux. Cependant, force est de constater qu’aucun changement profond n’a réellement été amorcé. Pire encore, le quotidien des Sénégalais semble s’être davantage dégradé.
Sur le plan des infrastructures, la situation reste figée. À ce jour, les nouvelles autorités n’ont lancé aucun projet initié par elles-mêmes, et ceux hérités de l’ancien régime sont pour la plupart à l’arrêt.
À ce rythme, l’arrivée de Pastef au pouvoir malgré les immenses sacrifices consentis par une large frange de la population risque de se solder par un échec, remettant en question les espoirs portés par ce changement politique.
C'est déjà un échec!
Et la Trasor piblique de Sint louis, pour toi s'est pas une ralisation? pour conter, on commense par 1. les kolouna von mourir de aine
Les photos ne sont pas actuelles. Entretemps, ils ont pris beaucoup de poids machallah, sama khali khina. Le Pouvoir nèkhna ci niom dé. Giss nagn ci sèn bop dé.
tout un peuple attends FMI pour nous sauver
Grands chantiers… toujours bloqués à l'étape PowerPoint ?
Faiblesse de Percutants Points plutôt.
Fenstef nous a bien eu.
Pendant longtemps on avait cru qu'il y avait dans leurs rangs des sur-sénégalais portant des habits de super héros prêt à s'envoler en nous emportant avec eux vers de meilleurs horizons.
Malheureusement, ce rêve interdit fut de très courte durée.
Depuis 1960 nous sommes en attente, nous allons juste devoir continuer à attendre un peu plus longtemps.
La seule chose positive est que les masques sont tombes.
Les narkats sont de Fenstef.
Les taskatou yakarts sont de Fenstef.
Les watiou leckats sont de Fenstef.
Échec totale
La plus belle femme du monde ne peut donner que ce qu'elle a. Demander à un club d'inspecteurs d'impôt enrichis dans la corruption nullards et analphabètes de développer c'est rêver en plein jour. Ces marchands de sable et vendeurs d'illusions incapables de gérer un village ont manipulé la jeunesse rebut du système éducatif obsolète et abonnés aux réseaux sociaux pour parvenir au pouvoir par la déstabilisation du pays. Maintenant, ils font la bamboula avec les maigres ressources de l'Etat et le sur endette chaque jour qui passe. Bientôt, ils vont lancer les bana bana bonds, les jakartamens bonds, les talibés bonds, les ménagères bonds, etc.
Les délinquants politiques au pouvoir croyaient que l'on gère un pays à coup de rhétorique guerrière, de slogans, de mensonges et d'invectives
Quel problème avez vou mon Dieu avec les agences?
Ne saviez vous pas que 80% des réalisations des différents régimes qui sont passés sont à l'actif des Agences?
Que des Sénégalais très compétents et professionnels travaillent dans ces structures.
N'essayez pas d'influencer les autorités sur des actes qui pourraient leur coûter la confiance du Peuple.
Il y'a des Professionnels que la fonction publique ne peut pas payer du fait de leur niveau d'expertise et de leur expérience et qui sont souvent tentés d'aller travailler pour des firmes étrangères ou des multinationales.
L'Etat les récupère dans ces Agences que vous critiquez et profite de leur apport à l'essor du Pays.
Donc, vous les ignorants arrêtez de mener le bâteau sur un cap non voulu.
Heureusement, les autorités qui sont là actuellement sont conscientes de cette réalité et ont l'humilité de ne pas agir instinctivement sur des soient disant promesses électorales que vous aimez tant chanter. Une fois dans les sphères et rélités étatiques, de nouvelles paramètres surgissent devant vous et seul l'humilité et l'intelligence peuvent vous sauver face aux chasseurs de pouvoir afin de ne pas tomber sur un sentier limité par une impasse.
Article bidon et terre à terre ! Seneweb, respecter au moins vos lecteurs.
Pour nous, non.
Nous sommes à mi-mandat et il ne leur reste que 2 ans.
Depuis son arrivée au pouvoir, le parti Pastef s’est présenté comme le porteur d’un projet de rupture à tous les niveaux. Pourtant, force est de constater qu’aucune transformation significative n’a encore été engagée. Pire, le quotidien des Sénégalais semble s’être davantage détérioré.
Sur le plan des infrastructures, la situation reste inchangée. Aucun nouveau chantier n’a été lancé par les nouvelles autorités, et la majorité des projets hérités de l’ancien régime sont aujourd’hui à l’arrêt ou en suspens.
À ce rythme, l’accession de Pastef au pouvoir obtenue au prix d’immenses sacrifices de la part d’une grande partie de la population risque de se traduire par une profonde désillusion. Les espoirs suscités par ce changement politique pourraient s’éroder rapidement.
Il ne s’agit plus désormais de multiplier les déclarations d’intention, mais de passer à l’action en respectant les engagements pris et en tenant les promesses faites.
Vraiment j'ai voté pour eux mais il faut se rendre à l'évidence sunu gars yi paré wou gnou wone.
Le menteur national à fait tout cela pour se donner le bon rôle et passer pour le sauveur en présentant un état des lieux totalement chaotique et venir après dire qu’il a sauver le Sénégal d’une situation inédite alors que ce n’étais que du pipo
Pendant sonko prend du poids on mange bien au palais
Et k autre aussi il est joufflu
Ce regime sera sans doute le plus de l'histoire du Sénégal, sérieusement ces deux individus actuellement à la tete du pays n'ont pas l'intelligence nécessaire pour diriger un Etat.
Wade dès le lendemain de sa prise de fonction s'est lancé dans les grands travaux alors qu'il venait d’hériter d'un pays dirigé par des socialistes depuis des décennies. On a tout simplement affaire à des incompétents.
Ce regime sera sans doute le plus nul de l'histoire du Sénégal, sérieusement ces deux individus actuellement à la tete du pays n'ont pas l'intelligence nécessaire pour diriger un Etat. Wade dès le lendemain de sa prise de fonction s'est lancé dans les grands travaux alors qu'il venait d’hériter d'un pays dirigé par des socialistes depuis des décennies. On a tout simplement affaire à des incompétents.
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