DU SAVOIR-FAIRE ET DE L’INGÉNIOSITÉ DE MACKY SALL À L’INCOMPÉTENCE ET AU POPULISME D’OUSMANE SONKO ( Par Cheikh BÈYE)
What about Macky Sall, the fervent builder of the Republic, and Ousmane Sonko, the man of speeches and populism? Today, everyone can see it — unless they are acting in bad faith — the two men are different on all levels.
During his two terms, the first president resolved numerous problems that many Senegalese never imagined would disappear. From ending the “khouy-kamathie” (a term referring to the practice of subsidizing electricity) within his first three years, thanks to the installation of solar power plants across the country, to even selling electricity to neighboring countries. If Macky Sall were still president, we would have achieved universal access to electricity by 2029.
Where this new regime of incompetents — to whom I sincerely wish much success nonetheless — has only succeeded in making speeches, unfulfilled promises and unnecessary trips with the presidential plane, sometimes even used by the Prime Minister, when he could travel on a commercial flight, even if only in first class, as other world leaders do, like Italy where I live, a country much more developed than ours.
The Senegalese people are tired. Populism can be used to seize power, but it's impossible to govern a country with speeches alone. With Macky Sall, Senegal was on the verge of becoming an emerging economy. During his first term, his administration established Universal Health Coverage (CMU) for the most vulnerable families. Some might say that 25,000 CFA francs per quarter is pointless, but today we see this government which, instead of reducing the high cost of basic necessities and energy, taxes the average Senegalese citizen—the "goorgoorlou"—with 1%, in addition to other taxes imposed on merchants and entrepreneurs.
Barely 18 months of grace, and nothing concrete has been accomplished by the current government, apart from promising speeches, broken promises, and more incompetence. Under Macky Sall, every time the country was hit by floods or climate disasters—without oil or gas—there was talk of hundreds of billions of CFA francs in aid. And don't talk to me about overbilling, because you never provide the slightest factual evidence. Today, during the latest floods, there was talk of 8 billion in aid which, in the end, solved nothing, if anything, worsened the situation.
In matters of state, populism has never been a solution in the history of nations.
Certainly, Macky Sall's regime has incurred significant debt, but for a good cause. In addition to the CMU (Universal Health Coverage), it has built solar power plants, highways costing hundreds of billions, bridges, and thousands of kilometers of roads, thus opening up Senegal; state-of-the-art universities and hospitals to improve the healthcare system, making treatment free for hemodialysis patients; and strengthening the effectiveness of the education system to the point of attracting students from across the sub-region, and even from Morocco, to study medicine at UCAD (Cheikh Anta Diop University of Dakar).
He also had modern bus stations built, like the one at Baux Maraîchers in Pikine (and this before the end of his first two years), a robust rail network accompanied by 100% electric buses — a first in Africa — for
decongest Dakar.
Macky Sall also means the National Arena for our national sport, which has solved the problem of stadium occupancy such as the LSS dedicated to football; the multifunctional Dakar Arena, which has allowed us to organize continental competitions, even hosting Rwandan President Paul Kagame; the legendary Abdoulaye Wade Stadium, now the most beautiful stadium on the continent; and the Abdou Diouf International Conference Center (CICAD), a symbol of modernity and international influence.
Senegal was respected internationally, thanks to its sons and daughters who led major global institutions with unparalleled leadership, whereas today we are even humiliated at the UN podium:
● Fatma Samba Diouf Samoura , FIFA Secretary General until 2023;
● Cheikh Niang , Chairman of the Second Committee (Economics and Finance) of the United Nations General Assembly until 2019;
● Adama Dieng , Special Adviser to the UN Secretary-General on the Prevention of Genocide until 2020;
● Mankeur Ndiaye , Special Representative of the UN Secretary-General for the Central African Republic and head of MINUSCA until 2019;
● Sidiki Kaba , President of the Assembly of States Parties to the International Criminal Court until 2017;
● Abdoulaye Bathily , Special Representative of the UN Secretary-General in Libya (and previously for Central Africa) until 2022.
And that's not all. Senegalese leadership was recognized and sought after. Such strong leadership that we received a visit from the president of the most powerful country in the world, Barack Obama, in 2013 — barely a year after Macky Sall's term began.
As a famous quote says:
"As a general rule, populism is practiced for political convenience by those who do not care about the consequences, who do not even think ahead, who do not want to reflect, and who have no intention of keeping their promises."
I'll stop here so as not to make this article any longer.
LONG LIVE SENEGAL, LONG LIVE THE REPUBLIC, MAY GOD BLESS SENEGAL.
Sheikh Bèye
Entrepreneur in Italy
Commentaires (36)
Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
Cher Cheikh Bèye, ton article intitulé « Du savoir-faire et de l’ingéniosité de Macky Sall à l’incompétence et au populisme d’Ousmane Sonko » est un chef-d’œuvre… de déni. Une ode à un régime dont les cicatrices sont encore visibles sur le corps du Sénégal, mais que tu choisis d’ignorer avec une élégance presque provocante.
1. Tu nous parles de stades, d’arènes, de gares, de bus électriques comme si le Sénégal était devenu la Suisse. Mais pendant que tu cites le Stade Abdoulaye Wade comme “le plus beau du continent”, des hôpitaux manquent de lits, des écoles croulent sous le surpeuplement, et des jeunes diplômés errent sans emploi. Le béton ne soigne pas les blessures sociales. Il les maquille.
2. Tu glorifies Macky Sall comme “fervent bâtisseur de la République”, mais tu oublies qu’il a aussi bâti une justice à deux vitesses. Une justice qui emprisonne des opposants sans procès équitable, qui ferme les yeux sur les morts lors des manifestations plus de 80 victimes, sans qu’un mot ne soit prononcé par le président. Mais il a eu le temps d’aller à Paris pour dire “Je suis Charlie”. Noble geste, certes. Mais où était “Je suis Sénégalais” quand le sang coulait à Dakar ?
3. Tu parles de CMU, d’électricité vendue à l’étranger, de routes désenclavantes… mais tu ne dis rien des surfacturations, des marchés opaques, des salaires versés à des proches sans activité réelle. Tu ignores les emplois fictifs, les exonérations fiscales pour les puissants, et les taxes imposées au “goorgoorlou” que tu prétends défendre. Le peuple paie pendant que les élites profitent.
4. Tu vis en Italie, et tu compares le Sénégal à ce pays “bien plus développé”. Mais tu oublies que le développement ne se mesure pas à la taille des stades ou au nombre de conférences internationales. Il se mesure à la dignité des citoyens, à la justice sociale, à la transparence de l’État. Et sur ces points, le Sénégal de Macky Sall a souvent brillé… par son absence.
5. Tu réduis Ousmane Sonko à “l’homme des discours et du populisme”. C’est pratique. Cela évite de parler des idées qu’il défend, des injustices qu’il dénonce, et du soutien populaire qu’il suscite. Tu préfères l’étiquette au débat, le mépris à l’analyse. C’est plus confortable, mais moins honnête.
Le verbiage n’est pas une vision
Ton texte est un hommage, pas une contribution. Il est partisan, sélectif, et oublie que le respect du pays commence par la reconnaissance de ses douleurs. Peut-être que tes proches n’ont pas été touchés. Peut-être que tu bénéficies des largesses du régime. Mais au moins, respecte les morts. Respecte les humiliés. Respecte le Sénégal.
Le peuple n’a pas besoin de louanges. Il a besoin de vérité.
Celui qui parle de la dette sur 18 mois, sachez que c’est pour payer l’ardoise laissée par Macky, et il faudra 18 000 milliards pour payer la dette qui sera échue sur les 3 prochaines années. Ils ont pillé le pays pour s’enfuir, construire des palais hors du Sénégal. D’anciens présidents qui s’établissent hors de leurs pays, cela n’existe qu’au Sénégal, nulle part ailleurs dans le monde. Sinon dites-le moi ! Et la nouveauté cette fois-ci c’est la fuite d’anciens ministres, DG et autres souteneurs. Où sont les anciens dirigeants italiens ? Et même ceux des pays sans démocratie ? Tous chez eux ! Depuis les nazis, il n’y a pas eu autant de fuites de dirigeants.
- En 19 ans de pouvoir, Abdou Diouf laisse au Sénégal une dette de 2 600 milliards, en partant en Mars 2000.
- En 12 ans de pouvoir, Abdoulaye Wade divise la dette héritée de Diouf par 5. Il laisse au Sénégal une dette de 500 milliards, en partant en Mars 2012.
- En 12 ans de pouvoir, Macky Sall multiplie la dette héritée de Wade par 33. Il laisse au Sénégal une dette de 16 700 milliards, en partant en Mars 2024.
L’histoire retiendra ce qu’ils ont fait dans ce pays et ça personne ne pourra avoir assez d’eau et de savon pour les laver.
Je prie Allah SWT qu’Il leur fasse payer cela devant le monde entier.
Le conseil des gouverneurs a délégué la plupart de ses pouvoirs au conseil d'administration qui est composé de 24 membres. Cinq administrateurs sont nommés par les pays qui détiennent les cinq quotes-parts les plus élevées (Etats-Unis, Japon, Allemagne, France et Royaume-Uni) et dix-neuf sont désignés par les 183 autres pays membres.
Le conseil d'administration examine tous les aspects du travail du FMI, des bilans de santé économique établis chaque année par les services de l'institution pour tous les pays membres aux questions de politique économique qui concernent l'ensemble de l'économie mondiale. Compte tenu des modalités de prise de décision au sein du FMI, qui supposent une majorité qualifiée correspondant à 85 % des droits de vote, les Etats-Unis et l'Union européenne dans son ensemble (sachant toutefois que les pays de l'UE ne sont pas toujours coordonnés) disposent de fait d'un droit de veto sur les décisions puisqu'ils détiennent chacun plus de 15 % des droits de vote. Leur approbation est indispensable pour tout accord.
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