La Politique au Sénégal doit retrouver sa vocation premiére: Servir le Peuple ( Par Alioune Badara Kandji )
Politics in Senegal must return to its primary purpose: Serving the People.
The position of President of the Republic is first and foremost an eminently political one.
The President of the Republic embodies a vision supported by a political ideology.
And this rule is universal and is not subject to any exceptions or speculations.
The political "neutrality" of a President is a utopia, a falsification of the precepts of Political Science. It is not theorized by any political ideology.
However, in order to properly fulfill its sovereign missions, a posture of "right of reserve", of "conflicts of interest" is imposed on it by the ethics appropriate to the function.
Moreover, even by comparison, other countries like the United States are more salient.
In the United States you will hear about the "Trump Administration" which is not aimed at anyone personally or by name, but which dictates the entire Republican ideology.
A President of the Republic needs "political legitimacy" to carry out his program and ideals as indicated by his party of affiliation.
Today in Senegal we saw a President in a suspensive capacity evade this rule.
We can grant him this stance.
Notwithstanding a highly risky stance given the ideological gap that may exist between the supreme institution he leads and the DNA of his Party.
In Real Politik, this can look like suicide.
A President is strong when he has control over his party and, above all, a strong ideological foundation.
But the real priorities lie elsewhere.
I have always maintained, despite the visible signs, that an institutional crisis was not appropriate, even given the context of economic gloom in which our country finds itself.
An economic context that should dictate our management practices, but more so our political paradigm.
Today, for the greater good of the Nation, an institutional crisis will lead us straight to our demise.
Senegal is already suffering from this bizarre legacy which dictates its path and condemns it to suffer.
It's not about being Pro Diomage or Pro Sonko.
Let us not repeat the mistakes of the past.
These are the destinies of the Senegalese people; let us be clear-headed and less emotional.
Senegal does not need these factionalisms and I had already warned about this.
For the greater good of the Nation, let us come together around what is essential, otherwise we risk repeating history in our own way.
The Senegalese people deserve more than these egos, narcissisms, or calculations.
I am Pro Diomaye, I am Pro Sonko, and even better, I will remain eternally Pro Senegal.
Alioune Badara Kandji, Social Science Consultant.
Commentaires (9)
Apparemment PASTEF n’est pas dans une logique de coalition, CAD, une alliance entre des formations politiques souveraines mais dans une démarche de phagocytage. Sonko sème les graines d’une dictature. Une coalition doit être une plateforme, un cadre de concertation pour la recherche de convergences « idéologiques » et programmatiques pour le développement du pays et l’amélioration du bien-être de ses populations...
La plus grande trouvaille des politiciens professionnels de ces dernières décennies, ce sont les coalitions. Une coalition est une vraie escroquerie politique.Abdoulaye Wade avait son Cap 21, dirigé par Iba Der Thiam, qui regroupait une quarantaine de partis politiques. Malgré tout, il a perdu le pouvoir.Macky avait son BBY avec près d'une centaine de partis. Il n'a même pas osé forcer un second mandat.Même si toute l'opposition bras cassés dont aucun leader n'est capable de gagner un bureau de vote se regroupait, Sonko les battrait à lui seul dès le premier tour.
Le peuple sénégalais ne mérite son sort perpétuel de manque de respect par les hommes politiques qu'il élit.
Un candidat comme Diomaye, qui n'est même pas capable de gagner dans son propre bureau de vote, commettrait un suicide politique s'il compte sur Mimi Touré. Celle-ci avait voulu faire de Grand Yoff sa base politique et y avait pourtant été laminée, y compris dans son propre bureau de vote, par Khalifa Sall lors des élections législatives de 2022.Sonko, à lui seul, battra toute l'opposition réunie autour de Diomaye dès le premier tour. C'est pourquoi le plan de Diomaye serait de rendre Sonko inéligible pour 2029.
Diomaye la vermine,tu vas regretter ta trahison.
Mon cher tu agites bcp de concepts que tu ne sembles pas maîtriser
caisses noires ya bon......................qu'ils s'égorgent.......................RIEN DE CONCRET
Damani Diomay n'est ni fou ni suicidaire, il fait son malin REK... 😎
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Pour moi le conflit n'est pas politique mais d'ordre institutionnelle et administratif ! C'est Sonko qui ne connait pas ses limites de compétences ! Il prend publiquement trop les devants... C'est un peu frustrant... Le conflit existe toujours même quand il est latant. La relation trouve sa dynamique dans le conflit et la résolution ! Mais quand le degré de conflit est plus grand que la résolution et semble se perpétuer dans le temps et l'espace alors là intervient des problèmes relationnels ! Député ismaila Diallo, tu peux en profiter pour tricher....
C'est vrai qu'on devrait retrouver une politique calme et civilisée mais avec des gens à l'éducation ratée qui parlent de gatsa gatsa et prétendent vouloir tuer les anciens présidents et qui traînent outrageusement les gens en prison, C'EST PAS POSSIBLE, à moins de la dégager loin d'abord et rééduquer profondément les gens qui l'ont suivi en identifiant bien les infiltrés à objectifs de détruire le Sénégal
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