New York : Les recettes du Président Faye contre l'extrémisme violent
The President of the Republic, Bassirou Diomaye Faye, took part in the high-level meeting of the "In Defense of Democracy: Combating Extremism" initiative in New York on Wednesday, September 24, alongside the Presidents of Chile, Brazil, Uruguay, Albania, Colombia and the Head of the Spanish Government.
In his speech, he recalled that democracy is a living ideal that can only be maintained through a constant balance between freedom, responsibility and respect for the republican order.
The Head of State highlighted three essential priorities such as the Consolidation of trust between peoples and leaders by relying on independent and fair institutions; the promotion of multilateralism in the face of power logic and unilateral interventions and the fight against violent extremism not only through security measures but also through education and culture to deconstruct ideologies of hate.
The Head of State finally reaffirmed the importance of dialogue, equity and social justice, essential conditions for preserving democracy and building a more stable and united world.
Commentaires (4)
"[...] PR Diomaye Faye a rappelé que la démocratie est un idéal vivant qui ne peut se maintenir que par un équilibre constant entre liberté, responsabilité et respect de l’ordre républicain. Il est bien placé pour le dire, après avoir fait tout le contraire pour arriver au pouvoir, notamment de "déloger l'ancien Présideent et de le traîner dans la rue comme le fut Samuel Doe". Pauvres gens morts en suivant les idiots discours d'Ousmane Sonko et PASTEF !
Info Migrants - Près de 200 migrants subsahariens sont arrivés sur l'île d'El Hierro, dans les Canaries, lundi après une traversée éprouvante de sept jours depuis la Gambie. Un bébé de trois mois et 18 enfants se trouvaient à bord de l'embarcation.
C'est une nouvelle arrivée qui témoigne des changements que connaît la route migratoire dite des Canaries. Lundi 22 septembre, 198 exilés, dont un bébé de trois mois et 18 enfants, sont arrivés sur l'île espagnole d'E Hierro, dans l'archipel des Canaries, rapporte l'agence de presse espagnole EFE. Outre ces 19 mineurs, 132 hommes et 47 femmes se trouvaient également à bord.
Ils étaient partis sept jours plus tôt de la ville de Barra en Gambie, à plus de 1 500 km de là.
Les rescapés, originaires de Gambie, de Sierra Leone, de Namibie, de Guinée et du Sénégal, ont débarqué à La Restinga vers 20h lundi, selon leurs témoignages rapportés par EFE.
Ils ont reçu de premiers soins délivrés par la Croix rouge, le service d'urgence des Canaries, la police et la Garde civile sur le quai. Deux femmes ont dû être dirigées vers des centres de santé de l'île en raison d'hypothermie et de déshydratation.
Des départs de plus en plus éloignés
Face aux renforcements des contrôles côtiers au Maroc, au Sénégal et en Mauritanie, de nombreux migrants prennent désormais la mer depuis la Gambie pour tenter de rallier les Canaries espagnoles.
Le 16 septembre, une pirogue composée d'une centaine de migrants a été secourue au large des côtes dakaroises. L'embarcation était partie de Gambie cinq jours plus tôt. Elle avait pour destination les îles Canaries.
La veille, le 15 septembre, 235 personnes, entassées elles aussi sur une pirogue, avaient été secourues par les services espagnols. Leur bateau surchargé avait été repéré dans la matinée par la Garde civile à environ 20 km de La Restinga, sur l'île d'El Hierro, la plus petite de l'archipel des Canaries. Les exilés, originaires d'Afrique de l'Ouest, étaient en mer depuis 11 jours. Ils avaient quitté le port de Gunjur, dans le sud de la Gambie.
Le 29 août, au moins 69 corps avaient été repêchés après le naufrage d'une embarcation au large de la Mauritanie. Là encore, la pirogue était partie de Gambie.
Une route favorisée par le "resserrement des autres voies migratoires"
"La Gambie est une zone de départ potentielle comme l’ensemble des pays côtiers de cet espace (Mauritanie, Sénégal, Guinée), sachant que les départs avaient déjà eu tendance à se déplacer – du Maroc vers la Mauritanie et vers le Sénégal", note Delphine Perrin, chargée de recherche à l’IRD (Institut de recherche pour le développement), membre du POMAF, un collectif de chercheurs spécialistes des politiques migratoires africaines.
"Ce récent déplacement est de nouveau dû au resserrement d’autres voies migratoires : celle du Maroc depuis un moment, et plus récemment celle de la Mauritanie et même du Sénégal du fait des contrôles accrus sur les côtes", explique-t-elle à InfoMigrants.
La chercheuse met en garde contre une aggravation des risques pour les migrants qui s'engagent sur cette route. "Les voyages sur l’Atlantique sont déjà risqués. La distance est importante – il faut entre 4 et 7 jours de navigation si tout se passe bien [pour rejoindre l'archipel espagnol] -, ce qui accroît les risques de se perdre en mer, de chavirer ou de souffrir de la faim, de la soif ou de malaise, d’autant que le comportement des passeurs peut accroître le danger", souligne-t-elle.
Il n'a pas oublié ses notes cette fois-ci
Les recettes du Président Faye..............aucun des mots de cette ligne ne tient la route....ce paillasson n'a la solution à rien..............
il est le président d'un troupeau de larves !!
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