Diaspora bonds : les "grandes" craintes de Papa Malick Ndour
The Senegalese government will launch its "Diaspora Bonds" very soon. Economist Papa Malick Ndour has responded to the issue. For him, the government will transfer the exchange rate risk to its lenders. That is, to our fellow citizens in the diaspora. "The exchange rate risk, once hypothetical for the government, has become a tangible reality and is directly borne by the lending populations," he says.
For the national coordinator of the Convergence of Republican Executives (CCR), this approach of the current government is "to the detriment of the diaspora." It is, he says, "deeply irresponsible." The former Minister of Youth believes that the government is transforming the diaspora into a shield against currency fluctuations and is making its own citizens bear a financial risk that it could have managed otherwise.
"One could imagine the opposite scenario: if the dollar had fallen against the CFA franc, the diaspora could have benefited. But that doesn't change the fundamental principle: the people are not sufficiently equipped to be players in the foreign exchange market, a complex space where uncertainty, rapid fluctuations, and sophisticated financial mechanisms make any maneuver risky. It must never serve as a shield against these fluctuations," he said.
For the opponent, however, there are responsible solutions to protect against exchange rate fluctuations in the context of external debt, "without sacrificing the diaspora." In particular, by denominating the loan in local currency.
Papa Malick Ndour added: "Diaspora Bond yes, but on the condition that the loan is denominated in the lender's currency of residence. This is hardly an innovation since, as things stand, the diaspora, well organized and informed, can just as easily subscribe directly to Eurobonds. And here the problem remains, the State will still have to face exchange rate risks," he said.
Commentaires (21)
Ce qui retient réellement l’attention des Sénégalais, c’est la situation économique. Un article publié il y a seulement cinq heures sur le malaise économique sous les Pastefiens au pouvoir a battu tous les records de vues et s’est hissé en tête des tendances. Pendant ce temps, les meetings de Milan, organisés devant une diaspora composée en grande partie d’émigrés précarisés et de laissés-pour-compte, sont en ligne depuis hier sous plusieurs formats, mais restent loin derrière en audience.
Je partage l’analyse de CYC : cet écart est un véritable baromètre, révélateur du recul de la popularité de Sonko. Ce meeting de Milan ressemble davantage à une tentative de résistance désespérée, telle celle d’un noyé s’accrochant à une planche, face à la dure réalité du pouvoir qui s’impose désormais à lui.
les foules étaient très très nombreuses pour écouter délirer le dictateur, on sait comment ça s'est terminé.
S'il avait demandé même de le faire sous forme de don, on allait le faire. Tu nous parles de fluctuations de change. On va montrer aux institutions de Breton Woods, et au monde entier, qu'on peut financer notre développement économique.
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Ce qui retient réellement l’attention des Sénégalais, c’est la situation économique. Un article publié il y a seulement cinq heures sur le malaise économique sous les Pastefiens au pouvoir a battu tous les records de vues et s’est hissé en tête des tendances. Pendant ce temps, les meetings de Milan, organisés devant une diaspora composée en grande partie d’émigrés précarisés et de laissés-pour-compte, sont en ligne depuis hier sous plusieurs formats, mais restent loin derrière en audience.
Je partage l’analyse de CYC : cet écart est un véritable baromètre, révélateur du recul de la popularité de Sonko. Ce meeting de Milan ressemble davantage à une tentative de résistance désespérée, telle celle d’un noyé s’accrochant à une planche, face à la dure réalité du pouvoir qui s’impose désormais à lui.
Ce qui retient réellement l’attention des Sénégalais, c’est la situation économique. Un article publié il y a seulement cinq heures sur le malaise économique sous les Pastefiens au pouvoir a battu tous les records de vues et s’est hissé en tête des tendances. Pendant ce temps, les meetings de Milan, organisés devant une diaspora composée en grande partie d’émigrés précarisés et de laissés-pour-compte, sont en ligne depuis hier sous plusieurs formats, mais restent loin derrière en audience.
Je partage l’analyse de CYC : cet écart est un véritable baromètre, révélateur du recul de la popularité de Sonko. Ce meeting de Milan ressemble davantage à une tentative de résistance désespérée, telle celle d’un noyé s’accrochant à une planche, face à la dure réalité du pouvoir qui s’impose désormais à lui.
une nouvauté, allez mendier auprès des émigrés honnêtes et travailleurs, la dernière trouvaille de Sonko !
qu'il baisse le montant de sa caisse noire vu qu'il est milliardaire , ce mec est un pourri de 1ère !
Très sincèrement,j’étais contre Macky et jamais Pape Malick Ndou m’avait intéressé.
Mais là j’ai lu l’article et le meeting de Milan Dieu m’est témoin que j’ai eu aucun intérêt à le suivre.
Tous les émigrés sont quotidiennement au cours des fluctuations monétaires car cela impacte directement leur quotidien. À l'extérieur, que ce soit l'épargne, les placements que les gens font, la fluctuation, donc le risque est toujours présent et on vit avec. Loin de la théorie, il y a la réalité qu'il faut vivre pour la comprendre. Que ce soit la monnaie de résidence du preteur ou du pays d'origine, la bourse et le cours des monnaies, rien n'est prédéfinie. Il ne faut pas critiquer toujours pour critiquer. prenez aussi le temps de prendre en compte tous les paramètres impliqués.
on ne prête qu'aux riches pas aux mendiants ! Le FMI nous a rappelé la réalité du moment. on ne prête qu'aux riches pas aux mendiants ! Le FMI nous a rappelé la réalité du moment.
Continuer a perdre votre temps. Les chiens aboient, la caravane passe. Ousmane Sonko devient de pus en plus populaire et le Senegal marche vers l'autosuffisance economique avec ce regime INTEGRE qui ne volera ou detounera pas l'argent du pays. Les Senegalais sont a majorite content avec ce regime et leur donnent tout le temps pour les sortir du gouffre financier de 1960 a 2024.
Les Senegalais vaguent a leur occupations maintenant et la politique est au second plan en ce moment. Le regime de Pastef DEROULE et le peuple voit les efforts et ce qui se dessine avec les investisseurs de la Chine, Turquie, pays du Golf et Diaspora. Bientot tous les projects des poles economique vont etre finance. Le nouveau port est pris en charge par Dubai-Port a hauteur de 700 milliard. La nouvelle raffinera SAR.2 va permettre au Senegal de raffiner son petrole et apprivisionner toute la sous region. Le cout de l'ernegie (electricite, essense, gas etc...) va etre reduite d'ici peu au 1/3.
Ce regime va faire des MIRACLE d'ici 2028 bien avant les elections de 2029... Et PERSONNE n'y pourra rien.
Le plus important pour la population est la Justice en ce moment. Il faut en finir avec la protection des detourneurs et tueurs de l'ancien regime. Il faut nalayer tous ces magistrats qui trainent les dossiers. Justice doit etre faite d'ici 2027 pour les martyrs et tous les voleurs de milliards doivent etre en prison et les milliards recupere. C'est ca ce qui est important pour les Senegalais en ce moment.
en ce moment c'est davantage la COUR DES MIRACLES DANS LE PAYS, mendians, dealers, prostitution à tous les carrefours , vols de matériel, agressions,
Quand je serai élu tous les immigrés rentreront au Sénégal parce qu’il y’aura des appels d’offres et du travaille à gogo 18 mois plutard le fameux sauveurs d’Afrique vous demande de ne plus rentrer mais plutôt de rester a travailler afin de pouvoir prêter à l’état qu’il dirige des prêts pour sauver les caisses mdr 😂
Mais est ce que les sénégalais se posent réellement des questions sur les contradictions de ce gars ?
S'il avait demandé même de le faire sous forme de don, on allait le faire. Tu nous parles de fluctuations de change. On va montrer aux institutions de Breton Woods, et au monde entier, qu'on peut financer notre développement économique.
Amo lo soukaré café nane on va faire un dons allez vous cacher après tout ce que vous avez dit et détruit dans ce pays fiiguéne moudier ak sénégalais yi dolene rouss
Ce gas au lieu d’étudier il passait son temps à la fac à faire de la politique .
Un étudiant nullard sans Intellect un beau jour on te bombarde poste de fonctionnaire au ministère de l’économie par complaisance et piston du parti au pouvoir en 2012 .
Et maintenant il se qualifie d’économiste quelle tristesse.
Pape Malick Ndour va chercher du savoir au lieu de raconter conneries sur des sujets que tu ne maitrises pas.
Il faut être idio pour affirmer que le financement et l’investissement intrinsèques des nationaux hors du territoire d’un pays est risqué.
Mais aujourd'hui au moins il vaut mieux que les 4000 et quelques Cancres.
Tous les impérialistes et leurs valets vont souhaiter l’échec de ce plan. Imaginez qu’il permette au Sénégal de décoller, de se défaire du diktat du FMI, même si on garde les liens de coopération ? Imaginez l’effet d’entraînement qu’il aura sur les autres pays d’Afrique ? Ce plan de Sonko pourrait entrer dans les annales de l’histoire de la pensée économique. C’est une révolution qui se prépare, avec le réveil des consciences africaines dans le continent et au niveau de la diaspora. J’espère que l’ordre mondial ne fera pas comme par le passé, il fera tout pour qu’il ne réussisse pas, qu’Allah protège Sonko.
Il dit que c'est une bonne idée et s'étend sur une prétendue risque de change. Alors que nous avons une parité fixe avec l'euro. Les fluctuations du dollar c'est avec l'euro mais pas le cfa. Si un économiste ne sait pas cela alors il est temps de le retourner en classe.
Ce qui se joue ici est au dessus du niveau des cadres de macky et autres économistes classiques qui n'ont jamais osé sortir des schémas erodés. L'épargne mondiale est en dehors de l'Afrique et elle a toujours constitué un socle de capital pour financer les économies et les investissements. La chance d'avoir une diaspora disséminée dans les grandes métropoles est un atout pour capter cet épargne.
En plus ce sont des nationaux, même si d'autres diaspora africaines peuvent participer. Quand la dette est détenue par ses propres citoyens il n'y a pas problème. Le Japon est le pays le plus endetté au monde mais elle est détenue par les japonais. La France par contre a 60% de sa dette detenue par des étrangers
Que des sénégalais à travers leur épargne prête au Sénégal est nouveau. Rupture ongoint
Regardez ces complexés ndm qui nous parle d’incertitude, de risque de change, de sénégalais pas assez outillés. Ils ne sont pas prêts à dépenser 1 franc pour leur pays mais ne laisseraient jamais ceux qui sont disposés.
L’économie fonctionne avec le risque. Mobilité de capitaux va avec risque. Faut arrêter de prendre les gens pour des cons.
et au monde entier..............bosse ta famille et ta pomme................. zoo peu connu du reste de la planète....sn n'est rien, un ramassis de cases, de moutons et de guenons....avec quelques pirogues qui font chier des secouristes européens !!
Je l’ai trouvé jusqu’ici très pointu sur les questions économiques et de finances publiques mais là franchement je ne suis pas convaincu par son argumentaire. L’état peut bel et bien supporter le risque de perte de change pour les prêteurs de la diaspora. Juridiquement et comptablement le mécanisme existe, depuis la dernière réforme des finances publiques dans l’espace Uemoa nos états fonctionnent suivant les règles de la comptabilité patrimoniale c a d sur le modèle actif/ passif , produit /charge. Suivant cette comptabilité LEtat peut provisionner les éventuels risques de change comme des charges qu’il va supporter. Je ne suis pas de Pastef a mon avis les diasporas bonds peuvent marcher. Le problème c’est que est-ce qu’ils ont été suffisamment convaincus pour y adhérer
Su l'Etat peut supporter le risque de change pourquoi il pleurniche sur les risques de fluctuations du dollars à chaque fois qu'il parle de la dette exterieure allant jusqu'à proposé le diaspora bond en informant que cela est une alternative au risque de change? Ce jeune ndour a bien raison
les moutons pour financer la graisse de boa, la caisses noire du gourou et de son paillasson et les 8x8 des honorables larves !!
page 2050..................Quand je serai élu tous les immigrés rentreront au Sénégal parce qu’il y’aura des appels d’offres
Le grand spectacle de Milan avait tout d’une comédie bien rodée : avion présidentiel rutilant, délégation pléthorique sans autre mission que de parader, et un Premier ministre en chef d’orchestre… pour rien. Plutôt que de présenter un plan de redressement crédible, Ousmane Sonko a préféré distribuer des sermons et des menaces, adressées tour à tour aux journalistes, aux chroniqueurs, aux politiciens et même à son propre président, Diomaye.
Pour rappel, le même Sonko avait juré – la main sur le cœur – d’en finir avec les inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, la pluie a eu le mérite de démasquer la supercherie : Touba, Dakar et d’autres zones pataugent toujours dans les eaux. La seule chose qui coule à flot, c’est la parole creuse.
Plutôt que d’aller se montrer auprès des victimes, il a choisi le confort des salons italiens. Voilà un Premier ministre fainéant, poltron, toujours prompt à accuser les autres et jamais à assumer. Chez lui, l’enfer n’est jamais dans son camp : ce sont les autres, toujours les autres.
Le grand spectacle de Milan avait tout d’une comédie bien rodée : avion présidentiel rutilant, délégation pléthorique sans autre mission que de parader, et un Premier ministre en chef d’orchestre… pour rien. Plutôt que de présenter un plan de redressement crédible, Ousmane Sonko a préféré distribuer des sermons et des menaces, adressées tour à tour aux journalistes, aux chroniqueurs, aux politiciens et même à son propre président, Diomaye.
Pour rappel, le même Sonko avait juré – la main sur le cœur – d’en finir avec les inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, la pluie a eu le mérite de démasquer la supercherie : Touba, Dakar et d’autres zones pataugent toujours dans les eaux. La seule chose qui coule à flot, c’est la parole creuse.
Plutôt que d’aller se montrer auprès des victimes, il a choisi le confort des salons italiens. Voilà un Premier ministre fainéant, poltron, toujours prompt à accuser les autres et jamais à assumer. Chez lui, l’enfer n’est jamais dans son camp : ce sont les autres, toujours les autres.
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