Taxation: ONES scrutinizes the new taxes on digital services...

Économie

Taxation: ONES scrutinizes the new taxes on digital services and Mobile Money

Auteur: Adama Sy

il y a 1 jour 2749 Lectures 3 Commentaires | Français

Fiscalité : L’ONES passe au crible les nouvelles taxes sur le numérique et le Mobile Money

The National Order of Experts of Senegal (ONES) organized the fourth edition of its "Tax Brunch" this Tuesday in Dakar. This strategic meeting provided an opportunity to analyze the major tax innovations stemming from the Economic and Social Recovery Plan (PRES), with a particular focus on the rapidly evolving sectors of digital technology, mobile transactions, and cryptocurrencies.

The event brought together a prestigious panel of senior officials from the Presidency of the Republic, the Ministry of Justice, the Directorate General of Taxes and State Property (DGID), and the Directorate General of Customs. The objective of this edition was to create a forum for technical exchange to analyze the impact of these new taxes and formulate recommendations for a balanced and effective implementation of the new system.

At the opening of the proceedings, the president of ONES, Dr. Saliou Dieye, placed the "Jubbanti Koom" Economic and Social Development Program (PRES) within the historical trajectory of the country's economic policies. From the structural adjustment programs of the 1980s to the Emerging Senegal Plan (PSE), he emphasized that Senegal is now entering a new phase. According to him, this reform demonstrates a firm commitment to financial sovereignty through increased mobilization of domestic resources, budgetary transparency, and the strengthening of tax compliance.

The tax innovations examined stem from Law No. 2025-17 of September 27, 2025, amending the General Tax Code. They aim to capture value within the digital economy and specifically concern the taxation of mobile money, digital services, online gaming, and cryptocurrencies. The reform also addresses cash payments to improve traceability, as well as the taxation of tobacco and alcoholic beverages. The ultimate goal is to broaden the tax base and combat the erosion of the tax base.

Despite the relevance of these reforms to the state budget, the debates highlighted several significant challenges. Experts emphasized the social acceptability of the measures, the preservation of financial inclusion, and the potential impacts on the competitiveness of the national economy. The operational capacity of the tax administration to manage these new financial flows also remains a major issue for the legal security of taxpayers.

Through the organization of these meetings, ONES reaffirms its role as a technical mediator between the administration, the private sector and citizens.

The institution positions itself as a proactive force in building a balanced and sustainable tax reform. The conclusions of this Tax Brunch should inform national discussions on reconciling the mobilization of public resources with economic development, with a view to Senegal's emergence by 2050.

Auteur: Adama Sy
Publié le: Mercredi 24 Décembre 2025

Commentaires (3)

Darkpinguin il y a 23 heures

Pendant plus d’une décennie et demie dans le transfert d'argent Mobile Money, usant de sa position dominante de propriétaire des infrastructures et fournisseurs d'accès et opérateur de mobile money avec la manipulation de la neutralité numérique où l’usage de l’indisponibilité du réseau avait finit par exclure ses concurrents JONI-JONI et WARI dont les kiosques étaient souvent sans réseaux, la population sénégalaise devait à l’époque pour 5000 francs à transférer presque débourser 500 francs de frais les frais étaient aux voisinages de 10% avec Orange Money pour un simple transfert entre un compte numérique à un autre. Un taux supérieur au taux d’emprunt (6%) de la BCEAO pour le coût d'un crédit des taux d’intérêts appliqués aux prêts bancaires, des banques aux particuliers. OÙ ÉTAIENT CES ORGANISATIONS qui s’agitent aujourd'hui quand il était impossible de commercer en ligne les énormes frais de transferts bloquaient tout développement de l’économie numérique et que d’énormes sommes d’argent indûment spoliées des populations disparaissaient dans les coffres de la multinationale française ORANGE quand la finance numérique FINTECH du Sénégal était organisée comme un moyen de pillage néocoloniale institutionnalisé. N’eut été l’arrivée de WAVE la transition vers l’économie numérique au Sénégal ne serait toujours qu’un veux pieux aujourd'hui.
Répondre à Darkpinguin
Anta Fall il y a 22 heures

Au lieu de s’insurger c’est à dire de se révolter, se soulever ou de protester avec force contre cette décision du pouvoir en place pour assainir les finances publiques, ces organisations devraient demander à l’état de réorganiser le mobile money en demandant que soient exclus les applications dont les propriétaires sont des Opérateurs de téléphonie fournisseur d'accès (FIA) pour une concurrence saine et que ces derniers se limitent à leurs buts originels de l’établissements et de gestion du réseau.
Répondre à Anta Fall
Ngor il y a 20 heures

On attend 2029 tranquillement
Répondre à Ngor

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