Réponse à la vie chère : Le gouvernement prépare une baisse ciblée des prix de l’énergie
On October 27, 2025, Prime Minister Ousmane Sonko announced that the government was working on a forthcoming reduction in electricity, gas and fuel prices, estimated at between 8 and 15%.
This direction, eagerly awaited by households and businesses, comes in a tense social climate and at a crucial moment in discussions with the International Monetary Fund (IMF), currently on a mission to Dakar to review the cooperation framework suspended after the revelation of the hidden debt.
The announcement reflects a clear political will to ease the burden on purchasing power while restoring economic confidence.
However, implementing this measure is expected to be complex. The government will have to reconcile the price reductions with the budgetary sustainability requirements imposed by the IMF, which advocates for a gradual reduction in energy subsidies.
In a context where national gas production remains limited, the authorities are considering using a combination of levers, including a targeted reduction in energy taxes, better control of distribution costs and a review of the margins of the National Electricity Company of Senegal (Senelec).
This policy of price moderation is part of a broader approach to energy sector reform, focused on transparency, competitiveness and preparation for the future exploitation of gas resources.
By placing tariff justice at the heart of its action, the government seeks to restore the balance between social equity and financial discipline, while consolidating Senegal's credibility with its economic partners.
Commentaires (36)
pourtant je devrai pas me plaindre avec mon salaire de 700 mil
mais ma femme ne travaille pas et je paye la scolarité de mes 3 gosses sans oublier la loyer
Douze millions pour voir Messi
Selon Sport News Africa, l’affaire coûtera autour de 12 millions d’euros. Oui, 12. Pour un match sans enjeu, mais avec Messi dans l’avion, ce qui semble suffire à remplir le stade du 11-Novembre.
La présence de La Pulga fait grimper le prix, un peu comme une option cuir et GPS sur une vieille Clio. D’autres pays, comme le Maroc, avaient tenté le coup, avant de lâcher l’affaire face aux exigences argentines, jugées un peu… lunaires. L’Angola, lui, a préféré sortir le chéquier.
On ne peut pas taxer les cotoyens d'un cote, et baisser les prix, de l'autre
Oh, n,ecoutez pas ces 2 gougnafiers au sommet de l,etat. Leurs mensonges de passeront plus. De vrais bras casses, des incapables
Sa femme doit demander le divorce sans attendre. Et son fils doit le renier à vie
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