Serigne Ousmane Bèye critique la stratégie économique du gouvernement
Serigne Ousmane Bèye, professor of economics and national secretary for studies and forecasting for the Socialist Party (PS), was a guest on RFM's "Grand Jury" program this Sunday, September 7. He criticized the government's economic policy. According to him, the current direction does not fully address the country's challenges.
"What the government has presented is not a recovery plan, but rather a stimulus plan, after an abrupt halt to construction and an increase in tax pressure," he said.
For the economist, the priority should be controlling public spending and broadening the tax base, instead of increasing the burden on taxpayers already registered.
Regarding public companies in difficulty, such as Air Senegal or La Poste, he advocates for the State to withdraw from their management: "The State can remain the owner of strategic assets, but it must no longer manage them directly."
Serigne Ousmane Bèye also called on the government to reconnect with international financial institutions. "We live in a globalized world. Isolation or sovereignist rhetoric does not provide concrete solutions. We must engage with Bretton Woods and partners to mobilize sustainable financing," he insisted.
For him, the national economy remains faced with three emergencies: the weight of debt, the weakness of corporate cash flow and the high cost of financing, estimated at between 12 and 13% in Senegal, which "hampers the profitability of investments".
Commentaires (10)
** auX profitS de multinationales étrangères,...........tu as une poubelle NATIONALE capable de faire le job ?
2/ Élargir l’assiette fiscale pour diminuer la pression, supprimer les exonérations abusives, c’est bien ce que dit le PRÈS, ont dit que cet « économiste » est myope et malentendant (c’est le poids de l’âge, il est vieux)
3/ La Poste : quel privé va reprendre une entreprise sans chiffre d’affaires, en sureffectif (3 fois plus que de besoin) et au personnel en majorité sans formation ni compétences ? Si l’Etat avait croisé les bras en ne payant pas les salaires, La Poste aurait fait faillite. Pourtant on aurait pu déclarer la cessation de paiement et la faillite, liquider la société et faire renaître une autre de ses cendres. Surtout que beaucoup de ses agents sont des parrainés de l’ancien système. Mais nos autorités sont des nationalistes, avec une forte sensibilité humaine, soucieux de l’avenir de l’outil et du personnel. Malheureusement si on suit les désidératas des Postiers, ce sont d’autres secteurs qui vont disparaître avec des milliers de travailleurs (services de courriers, distributeurs de factures, etc.). Or ce sont des sénégalais comme eux, et ont contribué au fonctionnement de l’économie lorsque La Poste était dans la nullité absolue, l’incompétence, le manque d’anticipation et d’innovation, se contentant de son rôle confortable de centrale politique financée par l’Etat-Benno.
4/ Quant à Air Sénégal et son endettement colossal, n’en parlons même pas ! Quelle privé oserait s’y aventurer ?
5/ L’endettement actuel ? C’est pour payer les dettes héritées, les dettes cachées, des effectifs pléthoriques, les salaires faramineux et démagogues.
6/ Le pétrole : une goutte d’eau par rapport aux montant faramineux à rembourser, empruntés et en partie détourné par le système déchu du fuyard de Marrakech.
6/ Des opposants sous le couvert professionnel, c’est comme une hyène dans une peau de chèvre. La malhonnêteté intellectuelle est un fléau en Afrique.
Thiey Yalla ! quite à dire n'importe quoi, il faut critiquer le premier ministre pour sortir de l'ombre !
Waawaw ! il veut que Sonko, le pourvoyeur de buzz lui donne sa part pour qu'il soit un peu connu, lui aussi.
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