UCAD : Retrait des forces de l’ordre
« Au regard de l’amélioration significative du climat sur l’étendue du campus pédagogique, le Conseil académique, à une très large majorité de ses membres, autorise le Recteur à procéder à la levée de la réquisition » des forces de l’ordre.
Voilà en substance la teneur du communiqué du rectorat de l’UCAD rendu public ce matin. Et sur le terrain, le départ des policiers est effectif. Seneweb a pu constater le retrait des forces de l’ordre du campus pédagogique.
Le conseil académique qui s’est réuni hier « exhorte (…) toute la communauté universitaire à œuvrer pleinement dans le sens d’une consolidation de cette dynamique d’apaisement, de manière à éviter toute situation qui pourrait le conduire à recourir à une telle mesure ».
Commentaires (5)
Bravo SONKO
de grace monsieur le ministre des finances monsieur le directeur du programme budgétaire vous avez ordonné à l arm de m inscrire etde me payer dans le budget 2025 mais rien de tout cela je suis un ex agent de l arm licenciés abusivement malgré les arrêts des cours et l intervention du médiateur le dg refuse le paiement jubanti
Bravo SONKO
de grace monsieur le ministre des finances monsieur le directeur du programme budgétaire vous avez ordonné à l arm de m inscrire etde me payer dans le budget 2025mais rien de tout cela je suis un ex agent de l arm licenciés abusivement malgré les arrêts des cours et l intervention du médiateur le dg refuse le paiement jubanti
Lecture comparative
Au Sénégal, un inspecteur des impôts touche chaque mois plus de quatre fois le PIB annuel moyen par habitant, ce qui en fait un poste exceptionnellement attractif dans la fonction publique locale.
En France ou au Maroc, la rémunération mensuelle moyenne des inspecteurs représente à peine l’équivalent du PIB moyen mensuel par habitant, signe d’une structure beaucoup moins inégalitaire.
Dans les pays voisins comme la Côte d’Ivoire ou le Kenya, l’inspecteur gagne autour d’un mois de PIB/habitant par mois : la fonction reste privilégiée, mais sans excès par rapport aux standards économiques locaux.
Au Burkina Faso ou au Bénin, le poste reste valorisé, mais l’écart avec la richesse nationale moyenne est nettement moindre.
Conclusion
Ainsi, la rémunération des inspecteurs sénégalais est nettement supérieure non seulement en valeur absolue, mais aussi rapportée au niveau de développement économique, ce qui en fait l’un des métiers publics les plus enviés du continent africain
Alhamdoulila.
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