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Arrest of journalists: FRAPP calls for calm and respect for the rule of law

Auteur: AWA FAYE

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Arrestation de journalistes : le FRAPP appelle à la sérénité et au respect de l’État de droit

The Front for an Anti-Imperialist, Popular and Pan-African Revolution (FRAPP) reacted on Tuesday, October 29, 2025, to the arrest of journalists Maïmouna Ndour Faye and Babacar Fall,

In a public statement, the movement said it "takes note of these arrests as well as the interruption of the signal of the 7TV and TFM channels."

“FRAPP welcomes the release of Babacar Fall and calls for the same decision to be made for Maïmouna Ndour Faye, in strict compliance with the rule of law. Freedom of the press and media pluralism, enshrined in Article 8 of the Senegalese Constitution, are essential democratic achievements. FRAPP insists on the collective responsibility to preserve them, ‘particularly in times of tension,’ the movement added in the document read.”

Guy Marius Sagna and his associates call for calm and dialogue. "No political situation should lead to measures that could be perceived as attacks on fundamental freedoms. We urge the State to guarantee transparency, respect for rights, and the protection of public freedoms," they emphasize.

While reaffirming that "the defense of freedoms remains at the heart of the aspirations of the Senegalese people".

Auteur: AWA FAYE
Publié le: Jeudi 30 Octobre 2025

Commentaires (13)

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    . il y a 11 heures

    Les États-Unis auraient tenté d’enlever Nicolas Maduro en recrutant son pilote d’avion
    Une enquête révèle qu’un agent américain a tenté, pendant 16 mois, de convaincre le pilote personnel du président vénézuélien de détourner son avion pour permettre son arrestation. L’opération secrète a échoué, mais elle témoigne d’une des manœuvres les plus directes de Washington pour capturer un chef d’État étranger.
    Un plan digne d’un roman d’espionnage a été mis en lumière le 28 octobre par l’agence Associated Press : les services américains ont tenté de recruter le général Bitner Villegas, pilote personnel de Nicolas Maduro, pour détourner discrètement l’avion présidentiel vénézuélien vers un territoire contrôlé par les États-Unis. L’objectif : permettre l’enlèvement et le transfert de Maduro vers les États-Unis, où il est inculpé depuis 2020 pour narco-terrorisme.
    Selon l’agence, tout commence en avril 2024 à l’ambassade américaine en République dominicaine. Un informateur signale la présence de deux jets de Maduro en réparation. Ce renseignement permet d’identifier Villegas, colonel de l’armée de l’air et membre de la garde d'honneur présidentielle. C’est lui qui transporte régulièrement Maduro, notamment vers l’Iran, Cuba ou la Russie.
    L’agent américain Edwin Lopez, ex-membre des forces spéciales, prend alors contact avec Villegas. Une première rencontre a lieu dans un hangar d’aéroport à Saint-Domingue. Selon Associated Press, citée le 28 octobre, Lopez lui propose une offre alléchante : détourner l’avion vers la République dominicaine, Porto Rico ou la base de Guantánamo, en échange d’une fortune et d’une protection totale.
    Pressions, menaces et loyauté du pilote
    Malgré l’insistance de l’agent, renforcée par des messages sur WhatsApp et Telegram, le pilote reste loyal à Maduro. En août 2025, Lopez revient à la charge en évoquant une récompense de 50 millions de dollars offerte par Washington pour la capture du président vénézuélien. Le pilote finit par bloquer tout contact.
    Après cet échec, Lopez tente de semer le doute sur la loyauté de Villegas. Une photo de leur rencontre est diffusée sur X par Marshall Billingslea, proche de l’opposition vénézuélienne. Ce message, publié au moment où un avion présidentiel effectue un étrange demi-tour au-dessus de Caracas, alimente les rumeurs. Le pilote disparaît quelques jours, puis réapparaît à la télévision vénézuélienne aux côtés du ministre de l’Intérieur Diosdado Cabello, arborant un uniforme militaire et levant le poing en signe de fidélité.
    Toujours selon Associated Press, cette tentative d’enlèvement est l’une des actions les plus flagrantes des services américains contre un chef d’État étranger depuis le retour au pouvoir de Donald Trump.
    Une stratégie agressive des États-Unis dans la région
    Le président américain a récemment autorisé des opérations clandestines de la CIA au Venezuela, renforcé la présence militaire dans les Caraïbes et multiplié les frappes contre des embarcations supposées liées au narcotrafic. Au moins 57 personnes ont été tuées dans ces opérations. Selon AP, les États-Unis ont également saisi deux jets privés de Maduro, l’un en septembre 2024, l’autre en février 2025, sous prétexte de sanctions.
    Le gouvernement vénézuélien, à travers une déclaration relayée par AP, a condamné cette « agression directe contre la souveraineté du pays ». Nicolas Maduro a publiquement appelé Donald Trump à « cesser ses préparatifs de guerre » et à renoncer à « la campagne psychologique » menée contre Caracas. Le président vénézuélien a affirmé que son pays faisait face à la plus grave menace d’invasion depuis un siècle.
    Les États-Unis n’ont pas commenté l’affaire, mais ce nouvel épisode confirme la volonté persistante de Washington de renverser Maduro, quitte à employer des méthodes de guerre secrète. Mais au-delà de l’échec de l’opération, c’est la gravité du geste qui interpelle : tenter d’enlever un chef d’État en fonction est une violation directe du droit international. Ce précédent inquiétant montre à quel point les États-Unis s’arrogent le droit de faire ce qu’ils veulent, sans aucune limite.

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    Gratt il y a 7 heures

    Frapp s'est dissout dans pastef non donc arrêtez votre cinéma

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    . il y a 11 heures

    Les autorités camerounaises ont annoncé, le 28 octobre, des poursuites judiciaires contre Issa Tchiroma Bakary. Le leader de l’opposition est accusé d’avoir incité à la violence après l’élection présidentielle. Cette décision intervient alors que plusieurs villes du pays ont été secouées par des manifestations meurtrières.
    Le ministre de l’Intérieur du Cameroun, Paul Atanga Nji, a annoncé, le 28 octobre, l’ouverture de poursuites contre le candidat de l’opposition Issa Tchiroma Bakary, qu’il accuse d’avoir proclamé sa victoire de manière unilatérale et d’avoir appelé à des manifestations illégales après l’élection présidentielle du 12 octobre.
    Lors d’une conférence de presse tenue à Yaoundé, le ministre a affirmé que « des manifestants sous l’emprise de drogues » avaient répondu aux « appels à la rébellion » lancés par Tchiroma, provoquant des heurts dans plusieurs villes du pays. Il a cité des attaques contre des bâtiments publics, des stations-service et des commerces, ajoutant que « l’opposant devra répondre de ses actes devant le tribunal compétent ».
    Selon les autorités, les violences ont fait plusieurs morts et blessés parmi les civils et les forces de sécurité. Un gouverneur régional a indiqué qu’au moins quatre manifestants avaient été tués dimanche à Douala, tandis que Tchiroma a affirmé que deux personnes avaient été abattues devant son domicile par des tireurs embusqués.
    « Un plan insurrectionnel visant à plonger le pays dans le chaos »
    Le ministre a par ailleurs annoncé que les auteurs de fausses informations diffusées sur les réseaux sociaux seraient poursuivis, « tout comme le candidat Issa Tchiroma et ses affiliés impliqués dans un plan insurrectionnel visant à plonger le pays dans le chaos ». Issa Tchiroma Bakary, qui revendique toujours sa victoire, a appelé sur sa page Facebook la communauté internationale à « assumer ses responsabilités ». Avant la proclamation des résultats, il avait déclaré aux médias ne pas craindre une arrestation.
    Le Conseil constitutionnel a confirmé, le 27 octobre, la réélection du président sortant Paul Biya avec 53,66 % des voix, lui accordant un huitième mandat à la tête du Cameroun. Âgé de 91 ans, Paul Biya demeure le plus ancien chef d’État en exercice au monde.

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    . il y a 11 heures

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    Sa lajoor il y a 10 heures

    Finalement guy marius sagna tu nous emmerde. Jai compris que tout ce que tu fais a un soubassement politique

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    Boy kedougou il y a 8 heures

    Gms on a tous compris, c à cause de politique comme toi que certains citoyens SÉNÉGALAIS disent que politique défa salté té xarame.
    Tu croi dupé les gens avec vos déclarations de dorcate la ?vas-y continuez d'y croire, une chose est certaine votre réveil va être brutal vous pastef.

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    Ref il y a 7 heures

    Guy il a quoi diplôme svp
    Il parait qu’il est sorti école polytechnique de Thies

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    Xeme il y a 7 heures

    J'ai écouté Elhadj Ndiaye, patron de 2Stv, dire qu'il a toujours été contre le fait de créer un groupe de presse, radio ou télé, pour faire pression sur le pouvoir pour obtenir des subventions, pour obtenir des dérogations. Une déclaration qu'une certaine presse sénégalaise ne relayera jamais. Qu'importe qu'il ait raison ou pas, l'essentiel c'est de comprendre qu'un membre expérimenté du milieu vient de faire comprendre que cela existe. Avoir une télé juste pour faire chanter un pouvoir faible et obtenir pour soi les impôts collectés des autres sénégalais. C'est être pire qu'une sangsue. Un pou serait plus utile pour la république que vous.
    Et puis, sincèrement, moi je ne vois pas une solidarité des gens de la presse sénégalaise en dehors du domaine de faire du mal au pays. Et c'est facile à comprendre. GFM doit 8 milliards d'impôts à la république, donc au peuple sénégalais. Madiambal Diagne, lui, gagne 21 milliards, le doigt dans le nez, grâce à son frère Macky Sall. Ça lui coûterait quoi de payer les 8 milliards de dette du GFM pour le libérer et lui permettre de tirer sur le pouvoir plus librement ? 21 milliards qu'il gagne aussi facilement parce qu'il est ami de Macky, 8 milliards de moins, qu'est ce que ça lui fait ? Mais c'est connu: un drogué (donc dans le mal) a beau être milliardaire, il lui est plus facile de payer de la drogue à un ami (donc le plonger dans le mal) que de lui offrir de l'argent.

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    Tu es sur de ce que tu dis? il y a 6 heures

    Si c'est le cas le gouvernement ne travaille pas parce que TFM émet tjrs. Si c'est pas vrai tu t'expliqueras un jour

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    Xeme il y a 5 heures

    GFM doit 8 milliards d'impôts au Sénégal, aux sénégalais. Même Bouba Ndour l'a reconnu officiellement sur le plateau de TFM, face aux téléspectateurs. Même s'il n'a pas cité le chiffre. NB: le GFM aurait procédé à un licenciement massif.

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    Journaleux il y a 6 heures

    Il est recommandé de demander conseil à un avocat : avant d'interroger une personne recherchée, il est recommandé de demander conseil à un avocat afin de s'assurer que vous n'enfreignez pas la loi par inadvertance.
    Les conséquences peuvent être graves : être reconnu coupable d'entrave à la justice ou de complicité dans un crime peut entraîner de lourdes sanctions.
    La police a le droit d'arrêter : si la personne est interrogée et que la police dispose d'un mandat d'arrêt à son encontre

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    Cool il y a 6 heures

    Le ridicule ne tue pas , vous êtes avec le pouvoir continue

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    Abdou il y a 5 heures

    S'il m'était donné de définir une tension politique je ne prendrai sûrement pas le Sénégal comme exemple.
    Nous avons ici une opposition qui se sent outré par le choix d'un peuple.
    Et qui est décidé à le Lui faire payer, mais très cher.
    Quitte à Lui ôter la liberté de penser. Une opposition qui insulte un peuple pour son choix au lieu de l'amadouer pour obtenir son agrément.
    Une opposition révoltée, hypocondriaque!.
    Une opposition à qui on joue le film d'une conquête du pouvoir mais qui prend la salle pour le stade des Martyrs lors de Sénégal-RDC. Fole de rage !
    Comment se fier à des personnes qui n'arrivent pas à maîtriser leur déception, à accepter et respecter le choix d'un peuple? Et la vertu dans tout ça, les valeurs?Ou bien le choix du peuple est tellement absurde que vous avez perdu espoir? Vous ne croyez plus à la politique, dans sa noblesse?

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    GORA DIOP il y a 4 heures

    Pssst! Dēmm reyy la jàle la! Depuis a-t on commencé à bafouiller les droits et libertés ? Conscient de la perte de vitesse le gus cherche à se remettre en selle. 😭

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    Mohamed LO il y a 51 minutes

    Vous, FRAPP, vous êtes l'association jumelle de YEN A MARRE, des imbéciles qui cherchent toujours à faire le malin alors qu'elles ne pèsent rien du tout. Répondez-nous juste sur deux questions: Qui êtes-vous, pour qui vous vous prenez? Vous êtes avec qui?

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    Oustaz Jacuzzi il y a 40 minutes

    Même Bouba Ndour l'a reconnu officiellement sur le plateau de TFM, face aux téléspectateurs. Même s'il n'a pas cité le chiffre./.vous êtes combien dans ta tête ? !!

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