Pape Malick Ndour : “Je garde la tête haute et la conscience tranquille”
Former minister Pape Malick Ndour addressed the public after his hearing at the Colobane Research Section. In a post, he thanked the Senegalese people for their unwavering support, as well as the leaders of his party (APR), his lawyers, his family, and his loved ones.
"I particularly welcome the visit of my elder brother, the legitimate mayor of Dakar, Barthélemy Dias, whose presence deeply touched me," he said.
Pape Malick Ndour said he was questioned in connection with a case whose details he said he was unaware of, while praising the professionalism and courtesy of the investigators.
Returning to the facts, the former minister firmly rejected accusations of complicity with gendarmes involved in acts of torture. "To claim that I gave orders to gendarmes is a lie. It is very easy for the Research Section to find these supposed gendarmes and I am ready to confront them, in complete transparency."
He also called on the authorities to allow RTS to film this confrontation so that “the truth comes to light”.
In a tone filled with faith, Pape Malick Ndour prayed for divine justice to triumph, hoping that the truth would be revealed, whatever the outcome. "May the hand of God fall on every guilty person, including myself, if I have been complicit in torture or killing."
Affirming that he keeps his head high and his conscience clear, he concludes his message by reaffirming his determination: "Sabers drawn to face the imposture."
Commentaires (12)
Tu voulais fuir rék on t'a eu.
They les aperistes !!!
Facile de dire j’ai l’esprit tranquil mais hier tu as senti le retour de bâton arrivé et il arrivera et tu répondra de tout le mal, arrogance que tu montrais. Celui qui a gardé la tête haute c bien celui qui a été torturé jusqu’à ce que beaucoup de sénégalais comme pensaient qu’il n’allait pas s’en sortir mais Alhamdoulillah Dieu l’a guérit et maintenant il veut que justice soit rendue.
mbééééééééééééé bayilééne wakhi fuire avant quon vous rapelle le client guéne di khatarayou bayiléné khasté yéne ay khassite guéne.
Toi tu te crois intéressant avec tes commentaires à la con dignes d'un imbécile de kuluna souteneur du défunt benno bok bakkar. Saches que tes inepties intempestives n'amusent que les sales vermines de ta trempe...
pourquoi répondre au fou du village ici cest l'espace pour les saints esprits retourne a ton asile
Il est trop bavard ce gamin. Fermes un peu ta gueule. Do gatte bari wakh. Tu fais trop l'important.
Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
FORCE A TOI, TOUT NOTRE SOUTIEN CONTRE CES MOUTONS
1) Lorsqu'on a la conscience tranquille on n'a pas besoin de communiquer autant 2) Pas d'amalgame : tu n'as pas été accusé d'avoir donné des ordres à des gendarmes (il y'a d'autres personnes pour le faire) mais d'avoir recruté les nervis qui ont attaqué PAT pour le livrer ensuite au poste de gendarmerie où il pensait lui-même pouvoir se refugier 3) Broder sur la perte de la mairie de Dakar e Barth (alors qu'il n'était le seul à t'assister à la SR) montre que tu veux élargir ton combat personnel et est indicatif de ton désarroi 4) Une enquête préliminaire est par définition superficielle: on ne va pas dans le fonds et c'est vrai que les questions peuvent parfois te paraitre loufoques parce que c'est en fait un round d'observation ; mais ne t'y trompe pas (tes avocats le savent) les vraies questions arriveront quand le juge sur la base des infos fournies par PAT, les nervis et le fameux Cheikh Sow 5) Enfin, jusqu'à preuve du contraire tu es présumé innocent et jusqu'à ce qu'il y ait un procès ou un non lieu ce 1er face à face fournit une base légale - s'il n y en avait pas déjà - de t'empêcher de sortir du pays.
Une justice instrumentalisée
Une nation divisée
La où les moutons mbee mbee mbee ont la parole, pourquoi pas aux fous d en avoir?
A votre je fendrais le sol et M y cacher. Il n y a pas ce que vous n avez pas menti ou manipuler sur ce cas
POURQUOI DEVANCER LA JUSTICE EN VOULANT S'ENFUIR DÈS LA CONVENTION DE PAP ABDOULAYE TOURÉ ET POURQUOI AUSSI NE PAS SORTIR DU PAYS AVANT. CE MONSIEUR EST MOUILLÉ JUSQU'ÀU COU LES NERVIS DE L'APR ONT DÉNONCER CE COMMENTAIRE DE TUEURS DE JEUNES SANS DÉFENSE
Le vrai et l'unique fuyard c'est l'ambulant et vagabong sexuel pervers de sweet beauty
Il faut se taire comme Ismaila MAdior et meme Mansour Faye (tres calme depuis sa sortie. Plus de d'attaque contre le regime). Les enquetes se poursuivent et tu seras rappele pour plusieru confrontations dans les semaines a venir. Tu ne devais pas essayer de voyager ayant un dossier qui t'implique. Tu sera encore refoule si tu essaies de voyager.
P A Toure a eu ton nom des nervis qui le tabassaient. On doit d'abord les identifier, les arreter, les entendre. S'ils confirment P A Toure ans presenter des preuves, tu pourras t'en sortir. Sinon, tu aurs de gros probleme. C'est si simple que ca.
Tu jpuais au 'guerrier' en rassemblant des jeunes et menancant d'aller chez Ousmane Sonko. C'est pourquoi bcp croient ce que P A Toure a dit.
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