"Le temps de parole semble ne pas être compris par les membres du Conseil économique, social et environnemental (Cese). Hier, lors de l'ouverture de la deuxième session ordinaire de l'année 2019, la présidente Aminata Touré, qui avait pourtant averti les orateurs des deux minutes du temps de parole, a eu du mal à se faire comprendre. Presque tous les intervenants ont tous continué de parler bien après la sonnerie qui indique la fin du temps imparti. Il a fallu que les techniciens coupent le micro pour arrêter les conseillers récalcitrants. Mimi Touré doit s'approcher de son homologue de l'Assemblée nationale, Moustapha Niasse, pour mieux maîtriser ses troupes", écrit L'As de ce mercredi.
Auteur: Seneweb News
Publié le: Mercredi 30 Octobre 2019
Commentaires (3)
Mimi toilettes, fo comprendre que les membres du cese ne sont pas des recruts militaires.
Mon cher, tu penses ainsi, parsk tu n'as pas un proche, membre de ce CESE, un parent ou un ami.
A fortiori, si c'était un proche à toi, qui était à la place de Mimi Touré.
Je suis même sûr que tu tiendrais un discours diamétralement opposé à celui-ci, dont tu nous rabats constamment les oreilles. Tu serais même le principal laudateur de cette institution et de son Président, afin d'en profiter le maximum possible, à l'instar des griots.
Mais vous êtes ainsi faits. Tout ce, dont vous ne pouvez pas profiter, ou ne pouvez plus profiter, vous le dénigrer à longueur de temps, rien que pour le discréditer, et le faire disparaître purement et simplement.
En tout cas, je te conseillerais de faire preuve de plus de modestie, et te convaincre, pour de bon, que tu ne peux apprécier le CESE, mieux que les Chefs d'Etat qui l'ont créé ou maintenu, depuis 1962.
Repose-toi. Tes appréciations défavorables à cette vieille institution de la République, ne lui feront rien. Elle continuera de subsister, avec ou sans Mimi Touré, aussi longtemps que les Chefs d'Etat et les Institutions de Bretton Woods, estimeront sa contribution utile et nécessaire dans le fonctionnement de tout Etat, qui se respecte.
Enfin, si cette opposition négative et systématique à l'égard du CESE, n'est pas uniquement l'expression d'une basse et vulgaire JALOUSIE, ça y ressemble bcp, bcp.
Des institutions qui ne servent à absolument rien. Nommer cette dame et "collaboratrice" du président comme "conseiller économique et social" au cabinet présidentiel afin de bénéficier de ses "conseils" et investir les 6,2 milliards de budget dans la salubrité publique, ou l'achat de matériel de construction par le génie militaire afin d'éradiquer les abris provisoires qui servent d'école aux enfants de la république, serait 10 mille fois plus utile pour les citoyens, leur santé et pour le Sénégal.
Mais bon, quand on est capable de claquer sans remord des milliers de milliards sur des projets de prestige electoral dans un pays qui manque de tout, 6 milliards ça reste des sucettes...
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