Vitesse et précipitation ont été plus ou moins confondues ce matin lorsque plusieurs organes de presse ont annoncé la libération de Cheikh Yérim, qui vient seulement de bénéficier d’une liberté conditionnelle.
Si la mesure a été arrêtée il y a plusieurs heures, elle n’est devenue effective que lorsque le journaliste a été autorisé, il y a un quart d’heure environ, à quitter la prison du Cap Manuel où il purgeait une peine de deux ans, après avoir bénéficié d’une remise de peine d’un an. L’ancien collaborateur du magazine Jeune Afrique avait été condamné en septembre 2012 pour viol sur une étudiante du nom de Ndèye Aïssatou Tall, fille du magistrat Boubou Diouf Tall.
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