Invité du Jt de la Rts1, ce lundi, le ministre de la Fonction publique, Mansour Sy, a fait le point sur la seconde phase de l’audit biométrique des fonctionnaires. Il porte sur « 22.882 cas de contentieux », révèle le ministre.
Le travail prendra environ deux (2) semaines et permettra, selon lui, d’arriver aux objectifs que sont la maîtrise des effectifs, de la masse salariale et, plus globalement, de faire disposer au Sénégal de nouveaux outils pour gérer sa Fonction publique. Parce que, justifie M. Mansour, le travail n’est pas une affaire « d’amateur », mais est géré par des professionnels chevronnés.
C’est pourquoi le ministre estime, notamment, qu’on ne pouvait pas courir le risque de voir des noms de personnalités, indûment payées par l’Etat, être balancées sur la place publique. La presse a, par exemple, cité à ce niveau l’ancien ministre Abdoulaye Baldé. La démarche relève de la seule responsabilité des porteurs de ces informations et est destinée « à discréditer le travail que nous faisons », a commenté M. Mansour Sy.
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