Gouvernement : "le président Bassirou Diomaye Faye a finalement cédé aux pressions des Pastefiens" (TAS)
Opposition MP Thierno Alassane Sall reacted on Sunday to the publication of the new government, expected since July 28.
In a message posted on his social media, the former minister points to "laborious training" and believes that several lessons can be learned from this configuration.
According to him, President Bassirou Diomaye Faye "gave in to the final pressures of the Pastefiens" by entrusting Justice and the Interior to Prime Minister Ousmane Sonko, which, according to him, opens the way to "an increase in repression and political revenge."
Thierno Alassane Sall also condemned the retention of certain ministers whom he considers "notoriously incompetent," believing that the promised economic reforms will be further delayed.
The MP finally predicted a lasting "cold war" between the head of state and his prime minister, a situation which, according to him, could weaken the senior administration and institutions. "The strategy of decay is an admission of weakness that will ultimately break the country," he concluded.
Commentaires (17)
Les martyrs ne sont pas que des pastefiens mais des sénégalais sans aucun parti politique la prochaine fois aucun président n’aura le culot de tuer pour ses envies personnelles
Salam
Vas repondre a Farba NGOM et Jean Michel SENE
La fable des "pressions des Pastefiens" est le refrain d'un homme qui n'a plus de poids politique. Il fantasme une "guerre froide" entre le Président et le Premier ministre parce que c'est le seul scénario qui justifierait sa propre existence dans le paysage politique. C'est une stratégie de la terre brûlée : s'il ne peut pas être au pouvoir, personne ne le pourra. C'est une misère intellectuelle de voir les institutions comme un terrain de jeu où seuls ses amis et lui-même auraient droit de cité.
Quant à sa "prophétie" d'un pays qui "finira par casser", c'est le vœu sinistre d'un homme aigri. Sa vision est celle d'un passé révolu, d'un système qui a échoué. Le Sénégal a tourné la page. TAS est un fantôme du passé qui se débat dans le présent, un homme qui veut détruire ce qu'il ne peut pas contrôler. Ses mots ne sont pas une alerte, mais une amertume qui n'intéresse plus personne.
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