Indépendance de la justice : Lababa Faye salue la vision de Bassirou Diomaye Faye
Lababa Faye, a mathematics professor and data scientist, welcomed President Bassirou Diomaye Faye's desire to make the independence of the judiciary the foundation of new national cohesion, in a note sent to Seneweb.
For this member of the National Movement of Patriotic Executives (MONCAP), the position of the Head of State constitutes "a clear break with the logic of political score-settling which has often marred transitions in Africa."
However, he warns: "Those who persist in outrageous remarks to sow doubt and rekindle resentment risk weakening the nation."
"My opinion on President Bassirou Diomaye Faye's vision for the independence of justice, which is the pillar of the new national cohesion.
The independence of the judiciary is the cornerstone of any Republic worthy of the name. It constitutes the foundation upon which civil peace and national cohesion rest. President Bassirou Diomaye Faye clearly reaffirmed this during his exclusive interview with France 24, on the sidelines of the United Nations General Assembly in New York in September 2025: "Public order and civil peace are based on justice that is fairly distributed, based on material evidence, before an independent and free judge, who will judge according to his or her personal conviction. There can be no presumption of guilt against anyone, regardless of the citizen concerned."
This position represents a clear break with the logic of political score-settling that has often marred transitions in Africa. It establishes a clear line of conduct: Justice, and only justice, will decide the fate of former President Macky Sall and those responsible for the former regime.
The President of the Republic's commitment to integrity is historically proven. His time as Secretary General of PASTEF was free of boasting and vulgar escapades, demonstrating impeccable ethics. Those who then use outrageous verbiage to sow confusion and rekindle popular anger must be disillusioned.
In this regard, it is worth recalling a major precedent: the Constitutional Council's rejection of Macky Sall's decree postponing the presidential election. By accepting this decision, Macky Sall, for the first time in Senegal's history, recognized a firm limit to presidential omnipotence, thus paving the way for true independence of the judiciary. Today, the attitude of President Bassirou Diomaye Faye is part of this republican continuity: he consolidates this autonomy of the judiciary by refusing any interference, even when it comes to his own predecessor who had once imprisoned him.
The direction given by the Head of State is therefore not a circumstantial stance, but an act of republican faith. It seals the desire to rebuild the State on probity, transparency, and equality for all before the law. It is a vision that transcends partisan divisions and aims for lasting national reconciliation, based not on amnesia or impunity, but on a calm and impartial justice system.
This historic choice must be understood as a solemn call for civic responsibility. Those who continue to use outrageous rhetoric to sow doubt and stir up resentment risk weakening the nation. Time lost in the office of denial is time stolen from nation building. For to sabotage this republican endeavor is to betray the homeland. Supporting it, on the contrary, is an imperative duty for all those who aspire to a united, dignified, and just Senegal.
Thus, history will remember that the restoration of the rule of law under President Bassirou Diomaye Faye is not only an act of rupture, but the foundation of a democratic and non-banana Republic, where the independence of Justice becomes the guarantor of rediscovered cohesion and consolidated national sovereignty.
Lababa Faye
Mathematics Professor – Data Scientist
Member of the National Movement of Patriotic Executives (MONCAP)
Commentaires (7)
Lettre ouverte à Amnesty International
À l’attention de la Direction Internationale d’Amnesty International
Objet : Nécessité d’une impartialité stricte au sein de votre représentation au Sénégal
Madame, Monsieur,
Nous tenons à attirer votre attention sur une situation préoccupante concernant votre représentant au Sénégal, Monsieur Gassama. En effet, ses prises de position publiques semblent s’écarter du principe fondamental d’impartialité qui doit guider toute action d’Amnesty International.
Au lieu de défendre les droits humains avec équité et neutralité, il adopte trop souvent des jugements partisans, parfois dictés par des considérations ethniques ou politiques. De telles attitudes fragilisent non seulement la crédibilité de votre organisation au Sénégal, mais risquent également d’influencer indûment l’opinion publique et les processus judiciaires en cours.
Nous estimons que la mission d’Amnesty International n’est pas d’anticiper ou de dicter les verdicts de la justice, mais bien de veiller à ce que les principes universels des droits humains soient respectés, et ce dans un esprit d’objectivité et de rigueur.
Dans ce contexte, nous vous invitons à assumer pleinement vos responsabilités en prenant les mesures nécessaires pour garantir que votre représentation au Sénégal retrouve la neutralité et la crédibilité qui doivent caractériser Amnesty International.
Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à cette requête et espérons que des décisions concrètes seront prises dans l’intérêt de la justice et de la défense impartiale des droits humains.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre considération distinguée.
Lettre ouverte à Amnesty International
À l’attention de la Direction Internationale d’Amnesty International
Objet : Nécessité d’une impartialité stricte au sein de votre représentation au Sénégal
Madame, Monsieur,
Nous tenons à attirer votre attention sur une situation préoccupante concernant votre représentant au Sénégal, Monsieur Gassama. En effet, ses prises de position publiques semblent s’écarter du principe fondamental d’impartialité qui doit guider toute action d’Amnesty International.
Au lieu de défendre les droits humains avec équité et neutralité, il adopte trop souvent des jugements partisans, parfois dictés par des considérations ethniques ou politiques. De telles attitudes fragilisent non seulement la crédibilité de votre organisation au Sénégal, mais risquent également d’influencer indûment l’opinion publique et les processus judiciaires en cours.
Nous estimons que la mission d’Amnesty International n’est pas d’anticiper ou de dicter les verdicts de la justice, mais bien de veiller à ce que les principes universels des droits humains soient respectés, et ce dans un esprit d’objectivité et de rigueur.
Dans ce contexte, nous vous invitons à assumer pleinement vos responsabilités en prenant les mesures nécessaires pour garantir que votre représentation au Sénégal retrouve la neutralité et la crédibilité qui doivent caractériser Amnesty International.
Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à cette requête et espérons que des décisions concrètes seront prises dans l’intérêt de la justice et de la défense impartiale des droits humains.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre considération distinguée.
Lettre ouverte à Amnesty International
À l’attention de la Direction Internationale d’Amnesty International
Objet : Nécessité d’une impartialité stricte au sein de votre représentation au Sénégal
Madame, Monsieur,
Nous tenons à attirer votre attention sur une situation préoccupante concernant votre représentant au Sénégal, Monsieur Gassama. En effet, ses prises de position publiques semblent s’écarter du principe fondamental d’impartialité qui doit guider toute action d’Amnesty International.
Au lieu de défendre les droits humains avec équité et neutralité, il adopte trop souvent des jugements partisans, parfois dictés par des considérations ethniques ou politiques. De telles attitudes fragilisent non seulement la crédibilité de votre organisation au Sénégal, mais risquent également d’influencer indûment l’opinion publique et les processus judiciaires en cours.
Nous estimons que la mission d’Amnesty International n’est pas d’anticiper ou de dicter les verdicts de la justice, mais bien de veiller à ce que les principes universels des droits humains soient respectés, et ce dans un esprit d’objectivité et de rigueur.
Dans ce contexte, nous vous invitons à assumer pleinement vos responsabilités en prenant les mesures nécessaires pour garantir que votre représentation au Sénégal retrouve la neutralité et la crédibilité qui doivent caractériser Amnesty International.
Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à cette requête et espérons que des décisions concrètes seront prises dans l’intérêt de la justice et de la défense impartiale des droits humains.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre considération distinguée.
Étonnement les pastéfiens avec le menteur Hitler Sonko a leur tête est le mal incarné mais ces chiens de nazis pensent qu ils sont le bien. Ces gougnafiers seront surpris par les sénégalais qui ont maintenant compris la supercherie de ces mechants et médiocres politiciens qui qui dans leur negativite et leur nullité ont regresser le Sénégal a tous les niveaux.
réponse à certains moutons qui parlent le cas de Penda ba , les concernés sont libres de porter plaintes contre cette dernière. tout pulaar est aussi libre de porter plainte à cette guenon Au Sénégal pour être admiré , surtout par les rebelles sudistes, fils et petits fils de rebelles indépendantistes , il faut insulter Macky, les Halpoulars , les Peuls , les Foutankés et les Nordistes . Quand j'entends les sénégalais dire que le problème ethnique n'existe pas au Sénégal , je dis FOUTAISES car plus ethniciste qu'un sénégalais, tu meurs . D'ailleurs , tous les problèmes de Macky c'est qu'aux yeux de tous ses opposants un Halpoular ne doit pas les diriger .Oui la plupart des sénégalais sont anti peuls consciemment ou inconsciemment , les propos injurieux et mal placés en vers les peuls pilulent sur se site le prouve.cultivons la paix , la tolérance et le droit à la différence avant de tomber dans le regret et la désolation
un des 4.000 cancres ? Apparemment à PASTEF les mensonges et contradictions y sont des vertus !!!!
Lababa Faye si tu voulais te faire remarquer il y a d'autres méthodes plus digne que de venir raconter des balivernes sur une supposée "volonté du président Bassirou Diomaye Faye de faire de l’indépendance de la justice le socle d’une nouvelle cohésion nationale"
Ce même Président a dit tout haut qu'il faut faire une pression sur la justice, un message appuyé et répété par son PM et mentor politique à l'assemblée nationale devant l'ex Ministre de la justice.
son PM qui rend visite à un de ses affidés poursuivi pour injures, à la veille de son procès !!! une justice deux vitesses manifeste des poursuites en cours à fort relents politiques....
Décidément, il n'existe pas d'autres expressions que "saluer les visions"?? On ne fait que saluer les visions des autorités du pays! Visions! Visions!! Terrible
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