«Sonko et Diomaye n’ont pas le choix…»: Les grandes précisions d'El Malick Ndiaye sur les rumeurs
Rumors of discord between President Diomaye Faye and his prime minister have resurfaced in recent days. For their part, leading figures in the presidential party are stepping up to dispel them. This Saturday, El Malick Ndiaye addressed the issue.
"Who doesn't like to see Diomaye and Sonko side by side? You can't claim to love this country and, at the same time, dream every day of seeing them divided. Their union and the destiny of Senegal are inseparable," the president of the National Assembly said in a post via his Facebook page.
The head of Pastef Linguère believes that the two leaders have no choice but to be together: "Sonko and Diomaye have no choice: they are condemned to be together, by destiny, by history, by the mutual affection they have for each other and by the love they have for the Nation," he says.
Commentaires (56)
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Mais aujourd’hui au Sénégal personne ne comprend plus ce qui se passe au sommet de l état
Cependant, leur relation paraît ne reposer que sur du masla. Ils y ont d'ailleurs actuellement tous deux interets et le Senegal aussi. Elle ne repose pas sur une authentique complicité. Diomaye n'est pas Sonko, Sonko n'est pas Diomaye.
Et si, par hypothèse, une rupture venait à se produire, mon choix irait à Diomaye. Pour une raison simple et sans détour : Ousmane Sonko n’a rien d’un démocrate. Son intolérance à la critique, sa tentation constante de contrôler la presse et sa croyance que seuls sont Senegalais et meritent des postes, les 54% qui ont voté Pastef, traduisent davantage les réflexes d’un autocrate que la sérénité d’un dirigeant sûr de lui. Cela dit, malgré ses travers, je le préfère à tous les dirigeants que le Sénégal a connus jusqu’ici.
La résolution des problèmes du Sénégal doit être le souci des autorités.
Personne ne souhaite qu'il y ait des embrouilles entre les deux mais nous ne sommes pas des cancres pour ne pas voir qu'il y a quelque chose qui cloche surtout quand Sonko lui-même le dit ( "Laissez-moi gouverner" et son comportement lors de la réception du livre blanc. On a tout compris...
D'ailleurs ils ne sont pas obligés d'être d'accord sur tout mais ils doivent avoir la grandeur de régler leurs divergences inta muros. Ce que Sonko est incapable de faire à cause de son impulsivité et son manque de conseillers.
Sonko est trop impulsif, clivant. Face à Diomaye, il remportera sans doute la bataille interne au sein de Pastef, mais il risque de perdre celle, bien plus importante, de l’opinion publique et du vote populaire. Même parmi les 54 % qui ont voté Pastef, tous ne le soutiendraient pas dans une confrontation contre le Président, en 2029. J'espere qu'ils ne s'opposeront jamais dans une election. Mais plus le temps passera, plus Diomaye verra son aura grandir et bénéficiera de l’estime des Sénégalais du fait simplement de sa position et aussi grâce à son caractère pondéré. Sonko s'est cependant exprimé dernierement, quand il a annoncé son la tenue du meeting du 8 novembre, sur un ton très mesuré, qui m'a beaucoup plus et a joué en sa faveur.
Je ne suis pas sur la même longueur d’ondes qu’Abdourahmane Diouf. Pas de réconciliation. Ceux qui ont pillé notre économie doivent aller ou rester en prison, et Macky Sall doit répondre de tous ses actes. Mais malgré tout, il serait plus rassurant d’avoir Diomaye président que Sonko.
Que se passerait-il si Oumane Sonko accédait au pouvoir, puis venait à le perdre ? Accepterait-il la défaite ? Et surtout, que feraient ses moutons, habitués à le suivre aveuglément et à lui donner leur vie sur simple demande, si jamais il les appelait à la confrontation ?
A l’inverse, un Diomaye vaincu cederait le pouvoir. Il paraît plus mesuré, et moins enclin au tout-partisan, à mettre dans le même sac tous ceux qui ne sont pas de Pastef, ou à instaurer une justice à deux vitesses. Avec Sonko, le pays avancera comme il ne l'a jamais fait et il aime le Senegal plus que tout. Mais le probleme est qu'il est excessif et son amour peut le conduire a bruler le pays, le raser complement. Or c'est pas le but, non plus. Le probleme, ce sera aussi la justice a deux vitesse et le jour où il perdra le pouvoir. Alors que avec Diomaye, on a l’impression que le pays pourrait avancer sans qu'un jour, il n'y ait le chaos.
Le premier est un faiseur de malin, le second a trahi Sonko
Aussi, il ne faut pas faire de l'équilibriste. Diomaye peut d'émettre son premier des ministres à tout moment. Écartez sonko et dites lui d'aller s'occuper de son part en attendant 2034.
Et Diomaye et Sonko ne sont pas les seuls fils du pays qui peuvent diriger le Sénégal y’en a d’autres qui sont plus compétents.
Diomaye va perdre Pastef s'il continue a bloquer l'execution de la Justice. Ousmane Sonjo en a marre et va redevenir un opposant avec Pastef derriere lui. C'est la direction ou on va lentement mais surement.
La justce est le grand fosse entre Diomaye et Sonko... Sinon tout marche sur le plan economique.
Tant qu'il n'y a pas un grans chamboulement de la Justice, rien ne va changer. Le systeme judiciaire que Macky Sall a utilise pour tuer les patriotes et proteger les detourneurs de fonds publique est toujours en place. Les meme magistrats qui faisaient le sale boulot pour Macky Sall sont toujours en place. Ils liberent tout le monde que le procureur arrete et ca va continuer tant qu'ils sont en place.
Comme il l’a si bien dit : « Qui donc n’aime pas voir Diomaye et Sonko côte à côte ? » Cette question nous interpelle tous. Car vouloir leur division, c’est aller contre l’intérêt de notre Nation. Leur union est liée au destin du pays, à son Histoire, à leur affection mutuelle et à l’amour qu’ils portent à la Nation.
El Malick Ndiaye nous rappelle que « Sonko et Diomaye n’ont pas le choix ». Non pas parce qu’ils sont contraints, mais parce que leur engagement commun est une nécessité pour faire avancer le Sénégal. Ils sont liés par une mission, une vision, et une volonté de servir le peuple.
Ce message est un appel à l’unité, à la responsabilité et à la confiance. Il nous invite à dépasser les rumeurs et à nous concentrer sur l’essentiel : le développement du pays, dans la paix et la cohésion.
Merci à El Malick Ndiaye pour cette prise de parole claire, courageuse et inspirante. Elle mérite d’être entendue et partagée.
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