Le Sénégal ouvre les Assises nationales des Daara : un tournant pour l’éducation coranique
Senegal is taking a decisive step in recognizing and promoting its religious educational heritage. This Wednesday, under the leadership of President Bassirou Diomaye Diakhar Faye and with the support of Prime Minister Ousmane Sonko, the government launched the National Daara Conference, a unique framework for dialogue and consultation on the future of Quranic schools.
These meetings aim to rethink the role of daaras in the national education system, taking into account their history, their spirituality, and their contribution to the formation of entire generations. “Daaras are part of our identity, our faith, our history. They have formed entire generations, sometimes in difficult conditions, but always with dignity and faith,” declared Moustapha Mamba Guirassy, Minister of National Education, through Platform X.
The stated ambition is twofold: to preserve the soul of the daara while providing them with the means to evolve with the times. To this end, the authorities intend to listen and co-construct with the main actors of the Quranic world: borom daara, ndeyu daara, ndongo daara, religious families, and all the voices that carry this noble mission.
This participatory process demonstrates a strong political will to reconcile tradition and modernity, faith and innovation, in an inclusive approach that respects local realities. It is part of a broader dynamic of reforming the Senegalese education system, where each learning model finds its place and dignity.
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Commentaires (17)
Une bonne initiative pour la réforme de ce secteur qui nous vaut beaucoup de fierté pour sa contribution à notre identité nationale, mais qui malheureusement de nos jours, fait l'objet d'intrusion de la part de malfaiteurs qui utilisent le paravent du Daara pour infliger sévices aux enfants et les exploiter à des fins pécuniaires. l'État et les vrais acteurs des Daaras doivent se donner la main pour relever le défi.
Arrêtez vos assises à la pelle, qui ne servent à rien !! Des assises qui coûtent de l’argent, bcp de temps et après qu’on mettent dans les tiroirs et qu’on oublie !!
Les DARAS en faussement dans leurs propagande assimilée l'école moderne à l'apprentissage seulement de la langue française au lieu de ce qu'elle est réellement c'est à dire le creuset où l'ensemble des connaissances scientifiques, techniques, etc savoir faire prouvés et acquis de l'humanité sont enseignés aux enfants pour qu'ils les maîtrisent d'emblée et ne pas reprendre les recherches mais de les améliorer à l'avenir, les DARAS qui isolent l'enfant dans ses moments où son esprit est fertile pour seulement l'enseigner la THÉOLOGIE l'islam et sa manière de le pratiquer ont malheureusement répandu L'IGNORANCE et L'OBSCURANTISME dans le pays.
il ne faut rien attendre de ce régime de merde. Sonko est allé s'accroupir devant le père noël de Touba pour lui dire : ''Serigne bi bo beugoul école am fi école dou fi am''. Un vrai fils de pute et de rebelle
Cet Etat fait fausse route. Les Daraas sont du domaine privé comme l'education religieuse en generale. Que celle ci soit musulmane, chrétienne ou ceddo traditionnelle. L'Etat doit touteds les appuyer et les contrôler. Parceque les Daraas sont capables d'enseigner des normes musulmanes dogmatiques depassees par notre societe moderne! L'age de mariage pour les filles, les droits des femmes, le droit des enfants, la mendicité et les abus dans les Daraas sont des sujets que l'Etat doit prendre au serieux en faisant attention au contenu educatif dans les Daraas!
Que tout est rose dans les Daraas est une leurre! L'Etat du Senegal est laïc !!
Des truands vont en profiter pour manger l'argent public. Ya pas plus tordu que certains arabisants
Les feministes et LGBTQ+ qu'est ce qu'ils detestent les daaras et l'islam . Ce sont les seuls qui échappent à leur manipulation. Lék len seni financement rék té khar déh mais l'islam ak daara mom kouthi dougou gnou diay la sougnou bakane wassalam
Une Tres belle initiative.
Incroyable, quest ce que c'est ces conneries ? Si le Senegal n'est plus un état laic, eh bien qu'ils le disent !! Au lieu de recadrer ces enfants dans les écoles traditionnelles et construire plus d'ecoles classiques, enseigner l'Anlglais, le Français, les Maths, l'entrpreunariat, le business, la Technology, etc. comme font les pays developpes, ils commencent à construire des Daharas? dans 😶quel but ? Les enfants peuvent aller apprendre le coran le samedi et dimanche...le weekend, et pendant la semaine, les enfants doivent aller à l'ecole meme si c'est une école de formation, on incite et pousse ces gosses à se focaliser dans la religion, c'est stupide et dangereux. La religion n'a jamais developpe un pays, Réveillez vous. J'etais très excite de l'arrive de Sonko et Diomaye et jusqu'à present d'ailleurs. Mais je commence à être inquiet ! 😮 Mettez l'argent là ou on a le plus besoin. L'education et l'avenir des enfants est très important, les daharas, l'etude du coran, c'est personnel. C'est ça Vision 2050 ? c'est ça le projet?
Des assises nationales, des colloques, des séminaires, des symposiums, des concertations, des plans… Quand il s’agit de discourir et de diagnostiquer, les idées ne manquent jamais. Mais quand il faut agir, exécuter avec rigueur, méthode et organisation, assurer le suivi, corriger et adapter, c’est là que le bât blesse.
Comme le disait si bien Thomas Edison : « La vision sans l’exécution n’est qu’une hallucination. »
Et Confucius rappelait déjà : « L’homme de parole doit passer à l’action, l’homme d’action doit tenir parole. »
Notre pays excelle dans l’art du discours, porté par une formation largement tournée vers les profils littéraires, entraînés à disserter et à analyser. Mais nous manquons cruellement d’ingénieurs, de concepteurs et de bâtisseurs capables de transformer ces beaux discours en réalisations concrètes et durables.
Il est temps d’inverser la tendance : moins de blabla, plus d’actions structurées et mesurables. Car comme disait Gandhi : « L’avenir dépend de ce que nous faisons aujourd’hui. »
L’état devrait être ferme face à cette exploitation des enfants su lieu de faire du layam layami. Même avec des subventions, ils arrêteront pas d’exploiter les enfants. L’errance des talibés doit cesser en premier avant toute discussion. Les enfants nigeriennes aussi.
Aaaah, c'est bien !
C est pas eux qui mettent les enfants dans la rue ???
Ou bien
Ca ne s'écrit pas ça dans un État républicain : "sous l’impulsion du Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye et avec le soutien du Premier ministre Ousmane Sonko". Comment le chef du gouvernement peut soutenir l'action d'un Chef d'Etat ?
acte 1 c est recenser les daara les oustass et les talibes
Le Sénégal est un pays laïque. Les daara n’ont rien à faire dans l’agenda du government. Au contraire, on doit les fermer et envoyer les enfants à l’école wolof ou moderne.
Dieu n’existe pas et l’islam et le christianisme ne sont pas africains
Merci Rokhaya
Intéressant: le mot "enfant" n'est pas mentionné une seule fois dans cet article de 4 pauvres paragraphes.
Mais le mot "foi" y figure 3 fois.
On voit bien où se situent les priorités.
si celà n'aboutit pas à enlever les enfants de la rue, ce sera peut être un échec.
Il faut interdire les talibés au lieu de tourner autour du pot
Le régime des assises
La question que je me pose à propos des daaras est la suivante : pourquoi un maitre coranique préfère t'il quitter son bled avec une cohorte de marmots pour venir s'installer dans des conditions précaires à Dakar ou dans certaines villes réputées généreuses alors que d'autres enfants de sa propre contrée étudient à l'école du même terroir? Pour les conforter dans ces conditions malsaines, inhumaines et dégradantes, constituées de logis mal famés, on crée des ndeyu daaras censées apporter un réconfort moral ces pauvres hères déracinées qui ne connaitront jamais la chaleur maternelle et le concon familial base de transmission de nos valeurs.
ces enfants, sans attache familiale, jetés dans les rues pour mendier à longueur de journée, deviennent des proies faciles pour la délinquance.
A mon avis, l'Etat devrait plutôt s'atteler à l'organisation du retour de ces daaras dans leurs terroirs d'origine, en octroyant le statut d'éducateur aux maîtres coraniques dont les aptitudes pédagogues sont avérées dans les structures éducatives de leurs terroirs. Cela permettra le maintien de ces enfants dans leur milieu avec la possibilité de créer des exploitations agricoles modernes fondées sur l'apprentissage des nouvelles pratiques de l'agro-business. Ce sera aussi une occasion de rapatrier tous les mendiants et marabouts venant de la sous-région qui envahissent nos espaces de vie.
Vivement que ces assises puissent aboutir l'éradication des daaras virtuels qui installent les désordres sociaux que nous déplorons.
Ah , les littéraires au pouvoir ! Toutes les actions tournent autour de l'organisation d'assises, d'états généraux , concertations nationales , symposiums, colloques , séminaires , journées d'études , de tables rondes, et patati patata !
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