Affaire Farba Ngom : Amsatou Sow Sidibé écrit au président du Collège des juges d’instruction
While the investigating judge's decision is expected this week, a major development has occurred in Farba Ngom's case. On September 2, the Senegalese National Human Rights Commission (CNDH) sent an official letter to the president of the College of Investigating Judges requesting her provisional release on medical grounds.
According to Libération, which relayed the information, this request, signed by the president of the CNDH, Amsatou Sow Sidibé, follows an investigation conducted by the institution into the state of health of the deputy mayor of Agnam and head of the Alliance for the Republic (Apr, former ruling party).
As a reminder, a judicial expert opinion, confirmed by a counter-expert opinion, has already concluded that Farba Ngom's state of health is incompatible with detention.
Commentaires (78)
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Qu'avez-vous fait pour dénoncer les détournement de déniers public par ces politiciens milliardaires ?
Vous avez l'occasion de vous taire à jamais et de laisser dame justice faire son travail.
Depuis des mois on nous dit qu'il est est très gravement atteint et pas d évacuation. Pas d alertes, pas d urgences.
Arretez le tapélé waay.
Bcp de détenus décédent en prison
Dans ce cas elle devait savoir que la loi prohibe toute immixtion dans une procédure judiciaire en cours et ce quelle que soit la personnalité ou la fonction de la personne qui se mêle de l’instruction, exception faite des auxiliaires de justice et ma connaissance elle n’est pas avocate et si tel était le cas il aurait fallu qu’elle soit avocats désigné dans ce dossier de manière explicite, car le fait d’être avocat n’autorise pas à se mêler des affaires en cours.
Si même les intellectuels ou considérés comme tels ne savent pas ou sont leur limite, à qui se fier.
Vraiment l’enseignement n’ »est plus ce qu’il était.
Décidément, tous les jours c'est Farba NGOM, Lat Diop.
Si on libère Farba il faut libérer tous les voleurs de poules qui sont en prison et qui purgent des peines de prison
La justice ne peut pas être rapidement. Et pourtant pour les dossiers Khalifa Sall et ousmane sonko, la justice a été d'une rapidité extrême battant tous les records pendant ce temps des dossiers de Barthélémy et Diambal font des années.
Et la population veut seulement savoir ce qui c'est passé? Qui sont ces hommes en civils avec des mitraillettes , fusils gourdins dans les rues. C'est exactement grave.
Avec Wade, il y'avait des morts mais pas de cette ampleur et personne n'a vu des nervis tiraient sur la population.
Mais là, je constate des acteurs politiques à la recherche de thèmes pour toujours afficher qu'ils sont opposants, et qui peuvent le faire en ignorant même les fondements d'une république.
Pour les médias qui vont dénicher la moindre phrase de l'un de ces acteurs, est-ce qu'ils avaient fait du feu Pr Mody Gadiaga leur invité permanent de chaque jour pour légitimer l'acharnement de la justice de Firaouna Sall sur Bibo Bourgi ? Est-ce que ces médias se rappellent, ou ils ne veulent plus qu'on rappelle ? Pourtant Pr Mody Gadiaga disait: "Même bouy soukraate (quand il est entre la vie et la mort), le juge peut exiger sa présence ". Et le juge l'exigeaitbet il venait en civière avec ses perfusions.
NB: La vraie question c'est comment le Sénégal s'est retrouvé avec autant d'hypocrisie qu'on s'échine pourtant à masquer ? Je jure qu'on ne peut répondre exactement à la question si on ignore que pendant 12 ans c'était un satanisme qu'on tentait d'implanter au Sénégal.
Je leur rappelle le fameux "Laissez la justice faire son travail ".
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