«Ce que j’ai vécu ...» : les confidences glaçantes de la compagne de l'homme qui s'est immolé avec leurs enfants
Interviewed by L'Observateur while she was at her daughter's bedside at the Ziguinchor Peace Hospital, Zeynabou Bilal recounted the hell she experienced alongside Prosper Kénon, the father of her children. She described him as "an alcoholic, jealous, and violent man."
"Prosper was a jealous, violent man and he spent all his time beating me," insists the woman of Malian origin.
She adds: "He also abused our children. He constantly sent them to the store to buy him alcohol. One day, drunk as a Pole, he threw the television at Omar, our eldest. I could no longer bear this violence. Weary of the war, I asked a friend for help so that he could continue his studies peacefully. He has been there for two years and is continuing his education peacefully."
After fleeing with her children, she thought she had them safe. But Prosper, in a drunken state, came to take them by force from the church.
"He was drunk and took the children by force," said the interviewee of the daily newspaper of the Future Media Group.
A few hours later, tragedy struck. Two-year-old Junior died in the fire started by his father. His sister, Khady, was seriously burned and is in a coma fighting for her life in the hospital.
A devastated Zeynabou Bilal emphasizes the pain of loss and the injustice of the rumors: "I try to be strong for my daughter, but I need support, not insults. What I went through with Prosper, only my children and I know."
She also clarified that she was not married to Prosper, denying rumors that her ex-partner acted out of revenge after she asked him for a divorce.
Commentaires (6)
Je ne comprends pas tous ces gens qui trouvent un alibi a Prosper pour justifier son acte. C'est vraiment grave
...Thiéy Prosper....
Thieye Pros
Sa me rappelle l'histoire de ma propre mère et de mon défunt père ( paix à son ame) juste avec une différence : une coepouse mauvaise. Certaines de nos mamans ont souffert, vécu l'enfer avec des hommes violent et la mienne est restée pour nous ces enfants. Elle a vu de tous ces couleurs mais elle a gagner son pari car ses enfants ont sèche ses larmes. Beaucoup de femmes sénégalaises vivent ce que cette dame vit actuellement et quand elle parle sa me donne des larmes aux yeux. Si vous ne pouvez pas s'occuper des enfants dautruit faut les libérer si non ça finit au drame ou au traumatisme à vie. Je compatie madame
Dans l'ensemble nos femmes sont très braves et résilientes. Il ne faut pas faire l'amalgame avec les histoires es artistes ou soi-disant influenceuses, l'écrasante majorité est de loin bien meilleure que ça. Les hommes qui se font malmener par les femmes en sont pour 90% eux-mêmes responsables pour 2 raisons: 1) ils sont mariés sans vraiment en avoir les moyens. Or, certes on ne vit pas que de pain MAIS ON VIT D'ABORD DE PAIM. Comme on dit en wolof, "jabar do koy meutt dang koy meun". Et les plus téméraires/irresponsables vont même jusqu'à diluer leurs moyens financiers dans la polygamie. 2) Ils "achètent" l'amour de la femme avec de gros moyens ; certes au fil du temps la femme peut finalement s'y accommoder si le gars finit par démontrer d'autres qualités qui lui plaisent ; mais le scénario inverse existe lorsque par ex., le gars s'avère être en réalité un rustre qui n'a que de l'argent ou même que la femme se rende compte que "dagn ko gondi" c.a.d qu'il y'a eu tromperie sur "la marchandise".
Ce gars devrait être un ancien rebel du Libéria ou de le Sierra Léon, ce pays est exposé les gens entrent comme ils veulent bientôt on sera 50 millions d'habitants avec une insécurité pire qu'au South Africa.
Voilà nos journalistes ne disent jamais la vérité. La femme n’est pas mariée ,elle a fait des enfants à un homme irresponsable et sans dignité qui utilise ses propres enfants pour faire du mal à la mère.
Alcool bakhoul, sangara dou baler dixit Baxao
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