La pluie qui s’est abattue sur Dakar n’a pas épargné les morts. En effet, le cimetière de Pikine qui se trouve à quelque jets de pierres de l’arène nationale a été envahi par les eaux. Et certaines populations qui se disent choquées, pointent du doigt l’arène nationale qui, disent-elles, bloque le passage aux eaux de pluies.
Auteur: Maria DIOP
Publié le: Jeudi 19 Septembre 2019
Commentaires (19)
Sédal yakhou néw yi
Pourquoi ne pas organiser ce dimanche incha Allah une journée set setal au cimetiére .??
LA HONTE DU SIECLE
Mè niom sen ingénieur yii xana dougnou def ay recherche après projet?
Quand jai vu les photos avec l'eau dans le cimitiere! Jai dit ALAHU AKBAR... Car j'ai pense un jour je serai couchee ici.. Et qui s'occupera de moi.. ?? j'y pense car mes enfants.. sont tous a l'exterieur.. Ou ils sont nes.. mais ils viennent rendre visite..
Yala na yala yokeu suteureu// Def Diam wathie Diam
Gnifeu teudeu yala naaen souniou borom yeureum.
Wassalam
Seneweb, ayez au moins la décence de masquer mes noms des défunts dont les tombes sont sous l'eau. Ayez un minimum de respect et de dignité.
Cet article est débile: l'eau envahit TOUJOURS les tombes lorsqu'il pleut, par simple infiltration dans les sols.
Ça a l’air d’un sabotage. Une station de pompage des eaux pluviales a été construites en 2014dans ce site pour éviter les inondations.
De 2014 a 2017. Ce cimetiere n’était plus inondée
Pompage c pas la solution! Défar ay Kanal dara genou ko ak ay réjérwe a sak région
C pas nouveau ca.. les gens ki l visite savent cela. C pas des news ca
Ndeysanne niit dou dara. Qu Allah deverse sa misericorde sur eux et les accueille au paradis.
really scary
C'est cette eau qu'on va boire car c'est le meme eau qui ira dans les nappe phréatique et filtrée par la SDE !!! Attention y a un danger sanitaire !!!
Oui, je suis un génie
mon frère ou ma sœur , tu dois savoir qu'un jour tu seras comme eux , d'ou ici l'on ne parle pas de salubrité , plus tôt
être émotionnel
C'est cette eau qu'on va boire car c'est le meme eau qui ira dans les nappe phréatique et filtrée par la SDE !!! Attention y a un danger sanitaire !!!
Oui, je suis un génie
C est la bas que repose mon cher papa,ses freres,ma grand mere et les vieux de mon quartier ndeyssane je suis parceque loin du Senegal.
Triste
Que Dieu les pardonne et leur accorde le paradis. Amine
Ma grand mère et grand père et chui loin aussi
Cimetière de Pikine L'eau envahit les tombes , alors et aprée c'est a faute de ki ?
DE L'ETAT LOLLLL
"Adouna dou leur", Vraiment flippant.
C'est à cause de cette fichu Arene nationale qui occupe maintenant le point bas de la zone. Les experts l'avaient dit et le gouvernement s'est entêté de le faire et voilà le résultat. Alors arrêtez de faire comme si personne n'en connaissait la cause.
"Adouna dou leur", Vraiment flippant.
Après un incident technique sur le vol Dakar-Bruxelles de Brussels Airlines ce lundi 16 septembre, 300 passagers se sont retrouvés bloqués à Banjul, en Gambie, dans des conditions inacceptables et sans aucune communication de la compagnie, nous explique un lecteur. Selon lui, une mère avec deux enfants en bas âge et un étudiant blessé au bras sont toujours coincés sur place avec 48 autres passagers aujourd’hui. Du côté de Brussels Airlines, c’est silence radio.
Serge attendait le retour de sa sœur, installée à Dakar, mardi matin. Celle-ci devait passer trois jours dans sa famille en Belgique mais le vol vers Bruxelles ne s’est pas déroulé comme prévu. En compagnie de 300 autres passagers, elle s’est retrouvée coincée à Banjul, en Gambie, lors d’une escale lundi soir. Tout a commencé lorsque l’avion affrété par Brussels Airlines (SN0204), qui devait faire l’aller-retour Bruxelles-Dakar via Banjul, a connu un problème technique à Dakar. L’appareil a nécessité une réparation sur place, puis a redécollé vers Banjul pour la halte prévue: débarquer des passagers et en embarquer d’autres avant de repartir pour Bruxelles.
Des étincelles
Mais une fois à Banjul, un passager alerte le personnel de cabine: il aurait remarqué des “étincelles à l’extérieur de l’avion”, nous explique le frère de la Belge de 46 ans bloquée sur place. Certains parlent de fumée, ou en tout cas d'une “odeur de brûlé”, mais les passagers, toujours dans l’avion, ne reçoivent aucune communication. “Des sprays anti-moustiques sont utilisés pour masquer l’odeur”, croient savoir certains passagers. Finalement, décision est prise de clouer l’appareil au sol. Les passagers débarquent tous à Banjul lundi soir.
“Un verre d’eau par repas” par 40 degrés
Il leur a fallu se battre pour être finalement logés dans un hôtel à l’hygiène douteuse, où on leur sert depuis des “repas minimalistes et une demi-bouteille d’eau par jour” et ce malgré la chaleur ambiante (40 degrés). Les employés de l’hôtel leur auraient même précisé que les “deux tartines servies quotidiennement font suite aux directives de la compagnie”, tandis que l’eau prévue par celle-ci “est en réalité d’un verre par repas”. Les passagers en provenance de Dakar doivent donc payer eux-mêmes leurs boissons et tous n’ont pas forcément les liquidités nécessaires en monnaie locale. Plusieurs ne parlent même pas anglais, ce qui rend la communication difficile en Gambie. Les passagers sont de surcroît priés d’attendre à l’aéroport toute la journée qu’on se décide enfin à les faire embarquer dans le premier vol possible... qui ne vient pas.
Passagers “prioritaires”
Ce qui ne devait être qu’un incident et du retard tire désespérément en longueur. Mardi, le même appareil est paré au décollage, mais une fois de plus, il reste au sol pour problème technique. Depuis, c’est le chaos. Mercredi, les 300 passagers étaient tous toujours bloqués à Banjul jusqu’à ce qu’un autre vol décolle enfin en soirée pour Bruxelles avec 250 passagers triés sur le volet mais selon des critères déroutants. Ainsi, une mère seule avec deux enfants en bas âge ne fait pas partie des passagers prioritaires. L’un des enfants est malade, l’autre a la diarrhée, mais la compagnie ne veut rien entendre. Idem pour un étudiant blessé au bras durant son voyage qui voit sa plaie s’infecter et pour une personne de 80 ans qui commençait à paniquer vu la situation. Un passager repris sur la liste prioritaire finira d’ailleurs par lui céder sa place, par sécurité.
Le ton monte
Les cinquante passagers restants, principalement des Belges, sont donc actuellement toujours laissés pour compte dans l’aéroport de Banjul. Parmi eux, les enfants malades et leur mère, la sœur de notre lecteur et bien d’autres. Certains ont raté leur retour au travail, d’autres la rentrée académique. Tous sont épuisés et scandalisés. Car plus que le retard inadmissible pour les voyageurs, c’est l’absence totale de professionnalisme de la compagnie qui scandalise les clients. Les employés de Brussels Airlines refuseraient de répondre aux questions des clients.
L’un d’entre eux aurait donné sa “parole” qu’un nouvel avion rapatriera vendredi les passagers restés sur le carreau, mais refuse de donner la référence du vol ou les billets. Le ton commencerait même à monter sérieusement. Verbalement tout d’abord, mais certains passagers excédés en seraient venus aux mains hier avec une employée qui exigeait que les passagers s’adressent à elle en anglais.
“La police a dû intervenir”, nous explique notre source qui s’étonne du manque total de proactivité d’une compagnie aussi réputée. Toutes nos tentatives d’entrer en contact avec Brussels Airlines ont échoué. La porte-parole en Belgique aurait confié par téléphone à notre lecteur “ne pas reconnaître les standards de sa compagnie” dans cette manière de traiter l’incident et l’a assuré faire le nécessaire.
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