Sédhiou-Médina Wandifa : l’axe maudit, entre cratères et ralentisseurs fous
The road linking the commune of Sédhiou to that of Médina Wandifa, in the department of Bounkiling, is sadly notorious for its advanced state of disrepair. This road, although vital for the local economy and trade, is a veritable obstacle course for users, marked by a series of problems that compromise traffic safety and comfort.
Anarchic speed bumps
One of the major challenges lies in the uncontrolled proliferation of speed bumps. Initially intended to regulate speed in populated areas, these speed bumps are often poorly sized, unmarked, or even built in inappropriate locations. They have become a source of damage to vehicles and frustration for drivers, forcing sudden and repeated decelerations.
Potholes turned into craters
Beyond the speed bumps, the road is littered with an impressive number of potholes that, over the course of the rainy seasons and the lack of maintenance, have turned into veritable craters. These gaping holes, sometimes difficult to avoid, especially at night or after a downpour, are the cause of numerous accidents and mechanical breakdowns (punctures, broken shock absorbers).
Local initiatives have been launched in the commune of Diendé to plug certain craters, but these are only temporary measures and far from a lasting solution.
Commentaires (5)
Toutes les routes de Sedhiou a Cap Skirring sont des cratères à ciel ouvert. C'est comme si les dirigeants de ce pays n'étaient pas au courant de ces situations qui peuvent être réglées relativement rapidement avec une bonne entreprise de travaux. ZIGUINCHOR - CAP SKIRRIING qui fait moins de 70 kms prend plus d'une heure trente à faire à cause de ces nids de poule géants
AGEROUTE ne fait pas d'entretien. Elle construit des routes et disparaît.
Je ne sais pas à quoi sert le Fond d'Entretien Routier puisque l'entretien des routes n'existe pas dans ce pays.
est dans la normalité , rentrée d'argent pour travail merdique, comme disait un certain M(i)acky "Sénégal émergent"
École Notre-Dame du Liban (Khar Yalla) : Les enfants sont en danger !
Les toilettes des élèves n'ont PAS D'EAU. Les enfants sont forcés d'utiliser des sanitaires insalubres, sans aucune hygiène.
La santé de nos enfants est directement menacée par les risques de maladies. C'est inacceptable !
Malgré la gravité de la situation, l'association des parents d'élèves ne réagit pas. Nous ne pouvons pas rester silencieux.
Partagez ce message ! Interpellons la direction et les autorités pour qu'ils agissent MAINTENANT et abrègent la souffrance de nos enfants.
article très bien écrit et surtout sans fautes Bravo m le correspondant bonne continuation
Tous les dos d'âne doivent être détruits et reconstruis par l'Ageroute selon des normes bien établis. C'est cela dans un état sérieux !
les dos d'ânes servent de piste d'attérisage aux nombreux chauffards, ils faut les laisser tels quels, ça fait enfler les statistiques des accidents mortels.
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