Le Sénégal réaffirme son engagement pour l’égalité des sexes à la tribune des Nations Unies
In New York, on the sidelines of the 80th United Nations General Assembly, the President of the Republic, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, took part, on September 22, in the high-level meeting dedicated to the 30th anniversary of the World Conference on Women (Beijing+30).
In his address, the Head of State reiterated Senegal's unwavering commitment to gender equality and the empowerment of women and girls. He also called on the international community to collectively address persistent inequalities.
"Equality is a moral and universal requirement. No society can develop by leaving its women and girls behind. The fight against violence and discrimination is a permanent struggle that involves states, citizens, and leaders," said President Faye.
The Head of State also highlighted Vision Senegal 2050, which places women and young people at the heart of the national project, as pillars of social stability and drivers of sustainable prosperity.
In conclusion, he launched a mobilizing appeal: "Let us prepare future generations to live in a fairer, more egalitarian and more harmonious world."
Commentaires (5)
guenon ya bon...surtout avec AVC
Comment peut il faire une telle déclaration ? Dieu a créé différemment l’homme et la femme, avec des statuts différents. Attention d’emprunter l’agenda de certaines officines occidentales.
Tu n'as rien compris au discours.. encore moins au message divin. Avoir des statuts différents ne signifie pas être inégal.
Monsieur le President l'egalité des sexes n'est pas une priorite pour nos pays et elle est tres loin de l'etre, c'etait pas la peine de bruler notre kerozene pour aller a new york parler de l'egalité homme femme qui est impossible meme chez les satanistes sionistes occidentauw qui sont les principales porteur de cette ideologie
Moi je me pose toujours la question comment égaler deux sexes différents ?
Il s'agit de l'égalité des droits.
Aux Canaries, les migrants témoignent de l’horreur de traversées de plus en plus dangereuses Dix-neuf personnes ont été mises en examen, mercredi 17 septembre, à la suite d’une traversée de plus de 300 migrants partis du Sénégal, pour des faits d’homicides et d’encouragement à l’immigration clandestine. Entassés à 300 à bord d’une pirogue de 20 mètres de long, menacés, frappés et parfois jetés à l’eau pieds et poings liés, encore vivants… Des migrants, secourus au large de la Grande Canarie, le 24 août, ont livré un récit détaillé à la police espagnole de leur terrifiante traversée. Un cauchemar qui a abouti, mercredi 17 septembre, à la mise en examen de 19 personnes, 5 passeurs présumés et 14 passagers. Parmi eux, 17 Sénégalais et 2 Gambiens. Ils sont accusés d’homicides, de lésions et de tortures ainsi que d’encouragement à l’immigration clandestine. Face au renforcement du contrôle des côtes du Maroc, de la Mauritanie et du Sénégal, le nombre de migrants arrivés dans l’archipel espagnol depuis début 2025 a chuté. Entre le 1er janvier et le 15 septembre, 12 500 personnes ont accosté aux Canaries, soit 53 % de moins que sur la même période en 2024. Cependant, l’assèchement relatif de cette route migratoire a plusieurs conséquences. La route dite des Baléares, au départ de l’Algérie, a connu depuis janvier un essor considérable, avec 5 500 arrivées (+ 70 %). Par ailleurs, fait nouveau, des pirogues partent rejoindre les Canaries de pays de plus en plus éloignés, de Gambie voire de Guinée, bien que la distance à parcourir s’en trouve considérablement rallongée. Enfin, les pirogues qui accostent sont de plus en plus grandes et surchargées, aggravant les conditions
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