Vulnérabilités des enfants : Plaidoyer pour une action collective pour mieux les protéger
International Children's Rights Day is celebrated under the theme "My Day, My Rights." This is an opportunity to raise awareness of the many vulnerabilities to which children are exposed in this tourist area and to reaffirm the need for collective action to better protect them.
“Every child counts, every child deserves protection.” This is why the children of the Mbour Departmental Child Protection Framework (CDPE) reiterated that their rights must be respected “from morning till night, in everything they do,” whether it concerns education, health, protection, or leisure. They denounced the numerous rights violations still observed: gender-based violence, early marriage and pregnancy, abuse, exploitation and abusive domestic labor, child labor in garages, markets, or public spaces, marginalization of children living with disabilities, and mistreatment of talibé children.
"No child should live on the streets, beg, be exploited or abused," their spokesperson insisted, calling for a "permanent" commitment to ensure their rights are protected.
Speaking on behalf of the technical and financial partners, the CDPE representative praised the commitment of local actors and recalled the importance of days dedicated to children: Day of the African Child, Youth Week, International Day of the Girl, among others.
According to her, these moments "not only allow us to promote children's rights, but also to challenge the authorities and better guide protection actions."
She stressed the need for better synergy between state structures, NGOs and communities: "These days exist so that children are heard and that adults truly protect them."
Presiding over the ceremony, the deputy prefect of Mbour recalled that Senegal, as a State party to the Convention on the Rights of the Child, has an obligation to guarantee: the right to life and survival, the right to health, the right to education, the right to protection against all forms of violence and discrimination.
“Your rights will be respected and guaranteed. We will always be by your side to support and protect you,” he assured. He also praised the role of the CDPE and its technical and financial partners in coordinating field operations.
Gender-based violence, street children and multiple vulnerabilities
The celebration comes in a context marked by an increase in gender-based violence, as recalled by the NGO Youth and Development through its coordinator.
According to her, "the current situation is not reassuring," due to the increase in GBV cases and the lack of coordination between the various actors. "Sometimes, we are alone on the ground. The authorities need to be more present to structure the support chain," she argued, reiterating the urgent need to clearly formalize the roles and responsibilities of each stakeholder (police, gendarmerie, social services, health facilities).
Commentaires (8)
Quelle belle photo d'innoncence.
Ces enfants ne sont pas encore sous l'emprise des menteurs populistes politiciens.
J'ai vu pleins d'enfants mendiants à Saly. C'est vraiment regrettable de voir que nos gouvernants n'ont pris aucune pour lutter contre la mendicité des enfants. Leurs places c'est à l'école et à côté de leurs parents.
L'état a démissionné sur les conditions de vie des enfants.
Les femmes célibataires vous attendent sur -- Hot21.Fun
IL FAUT CHANGER DE PARADIGME ET DE TON !
La même problématique a fait l’objet d’une publication sans complaisance, de la part d’un représentant de l’UNICEF, qui ne semblait du goût de tout le monde comme à chaque fois que cela vient d’un étranger. Pourtant, il a bien raison de dire que c’est d’action réelle dont nous avons besoin et pas de bonnes intentions sans lendemain, des slogans ronflants et sans effet. Il ne s’agit plus de vulnérabilité mais d’immersion dans un univers de dangers pour les enfants. Le phénomène n’est pas naissant, il est présent au Sénégal depuis des décennies. Il est temps de taper du poing sur la table et de renverser cette table pour que tout le monde se bouge l’arrière-train. Nous n’en sommes même pas à réclamer de l’amour pour les enfants sénégalais, nous en sommes à quémander le respect de leur droit à une vie décente. Il y a corrélation entre non-éducation et criminalité, et nous le vivons dans le Sénégal d’aujourd’hui. Il y des populistes qui se font un malin plaisir à tout attribuer aux populations étrangères sur notre territoire. Si ces étrangers avaient trouvé, en arrivant, un pays structuré, organisé et discipliné, ils se fondraient dans la masse éduquée et laborieuse. Il est temps d’arrêter de croire que nous nous en sortirons par le miracle qui n’aura pas lieu sans actions effectives.
Des innocents, des anges aux sourrires resplendissant. Je les regarde, ils ont le meme age que mes enfant, je les regarde le coeur déchiré.
C'est injuste et irresponsable de laisser des enfants mendiants trainer dans les rues jusqu'à tard la nuit pour enrichir un maître coranique paresseux qui ne laissera jamais son propre enfant faire la mendicité.
C'est encore grave quand les autorités ne sont pas conscientes des conséquences de l'abandon des enfants à eux-mêmes. Nous sommes dans un pays d'hypocrites, de musulmenteurs et de musulprofiteurs des enfants.
@Darkassé
Une fois qu’on a dit tout ça, qu’est-ce qu’on a fait pour que cela bouge ?
Des centaines de milliers de personnes participent à des marches de protestation quand un homme politique est arrêté pour divers délits. On organise des marches lorsqu’une population estime qu’on lui vole ses terres. On en fait pareil lorsque nos marabouts se disent offensés. Mais, quand on piétine le droit des enfants depuis des lustres, personne n’use ses « padame gnaxel » pour des « culottes courtes » que l’on met au monde comme des petits pains. Pourtant, le pain c’est sacré et un enfant encore plus !
Des enfants ki nous viennent de la sous region surtout de guinee Conakry,halte au Grand remplacement
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