Vague de contrôles à Dakar : Les ressortissants étrangers sous tension face à l'intensification des vérifications de cartes de séjour
Since November, identity checks targeting foreigners have intensified in the streets of the Senegalese capital, fueling a climate of daily fear among the foreign community. Police Iveco vehicles are now frequently seen in neighborhoods such as Medina, Grand-Yoff, Liberté 6, and Ouakam.
Everyday fear
The increased patrols have resulted in constant fear and temporary detentions, including for those who have begun the administrative process of regularizing their status. For many foreigners, being checked is no longer a simple administrative procedure, but a dreaded experience.
A Gabonese student confides that "Every time we see a patrol, our heart races," adding that they never know if they will "just show our papers or spend hours at the police station."
A Gabonese woman reported being stopped by police on a Sunday at 6 p.m. while on her way to the pharmacy. Although she presented her passport and consular card, they were refused because her residency permit was required. She explained that, even without any violence, they were "left in a corner at the police station," and their phones were confiscated "suddenly." Since this incident, she admits to feeling apprehensive about going out, even hesitating "for small things, like going to buy medication."
Administrative discrepancies and concerns
A residence permit remains mandatory for any foreigner residing in Senegal for more than three months. However, the slowness of certain procedures places applicants in a gray area.
An Ivorian student named Fatoumata explains that her application has been "processed for several months" and that she "often has [her] receipt." However, in practice, this regularization document is not always recognized, increasing uncertainty during repeated checks. Fatoumata expresses "constant anxiety" and admits that foreigners change their habits to avoid certain neighborhoods or limit their movements to times when checkpoints are open.
The authorities justify these checks by the need to enforce the law and ensure security. Nevertheless, in a country known for its hospitality, foreigners hope for better coordination between the administration and law enforcement, so that the regularization process is no longer experienced in fear, but in an atmosphere of trust.
Commentaires (47)
Law & Order!!! La loi et l'ordre!!!
Un pays laissé à l'abandon pendant plus de 20 ans et ouvert à toutes sortes de personnes nuisibles est entrain de respirer.
Nous sommes derrière vous, Monsieur Le Ministre!!!
Le Sénégal est un bon pays comparé à certains car lors de nos trajets aller de ourossogui jusqu’à kidira c’est tranquille pour les étrangers qui sont dans notre car , une fois qu’on passe la frontière malienne jusqu’au benin on laisse une somme à chaque passage malgres le fait d’être
Des citoyens de la CEDEAO,
De mon retour au pays , à Dakar ou certaines grandes villes quand on voit le mouvement et la liberté des étrangers je prie toujours pour qu’ils ne fassent pas rendre la monnaie car psychologiquement c’est dur à supporter . Gor yallah ken douko torokhal .
Faut pas qu'on se laisse tromper par les histoires de ''téranga'', il faut appliquer les règles partout dans la zone CEDEAO.
adults uk
Je signale au rédacteur de ce papier que hospitalité n'est pas synonyme laxisme.
Vous savez que les risques sont à nos frontières d'où le besoin de vigilance.
Ces personnes étaient sur un vieux bateau parti de Gambie. Le Ministère de la Pêche a dit que cette intervention était « difficile et longue ». Ce sauvetage montre que beaucoup de gens partent encore sur cette route dangereuse de l’Atlantique.
Selon le communiqué détaillé du Ministère des Pêches et de l’Économie Maritime, l’alerte a été donnée. Les services des garde-côtes ont appris qu’un bateau avec des migrants était en grand danger. Un navire de surveillance, « le Aoukar » est parti immédiatement pour les secourir. Les autorités ont décrit cette opération comme « longue et complexe ». Cela montre que le bateau était très abîmé et que les secours ont eu des problèmes techniques en mer.
Le sauvetage a permis d’éviter que les 158 personnes se noient. Le fait qu’il y ait 31 enfants et 3 femmes montre à quel point les passagers qui tentent ce voyage risquent leur vie. Le bateau venait de Gambie, mais les personnes sauvées sont originaires de six pays différents d’Afrique de l’Ouest : 83 Gambiens, 61 Sénégalais, 7 Nigérians, 5 Guinéens, 1 Malien et 1 Ivoirien. Au total 158 personnes.
Après le sauvetage, les migrants sont arrivés au port autonome de Nouakchott. Les autorités (sécurité et santé) ont mis en place une aide immédiate.
Les personnes sauvées ont reçu des soins médicaux d’urgence, de la nourriture et toute l’aide humanitaire nécessaire, selon le Ministère de la pêche.
Cet accident confirme que la Mauritanie est un point de passage important sur la route vers les îles Canaries. Cela demande au pays de mobiliser beaucoup de moyens pour surveiller la mer et aider les personnes.
Il est essentiel de rappeler que la Mauritanie et l’Union européenne ont récemment signé un accord de coopération migratoire visant à renforcer la lutte contre l’immigration illégale. Face à la pression migratoire croissante, les autorités mauritaniennes ont effectivement procédé au rapatriement de certains migrants d’Afrique subsaharienne résidant sur leur territoire.
Selon le gouvernement, ces mesures s’inscrivent directement dans le cadre de leurs efforts pour lutter contre la migration irrégulière et gérer les flux de transit.
🤪🤪🤪
détestez votre pays où les dirigeants à ce point
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