«Zaccaria m’a poignard au…» : les derniers mots du locataire tué par le fils de sa logeuse
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On Monday, October 13, a dispute over unpaid rent tragically ended with the death of a young man in Yeumbeul, in the Darou Missette neighborhood (Comico). The tenant, Ibrahima Ka, died after being stabbed to the neck by Zaccaria Touré, the son of his landlady. Touré, recently deported from France for assault, had recently been living in Dakar with his mother.
The testimonies differ: the deceased was said to have owed one month, while the attacker, quoted by Le Soleil, mentioned three months of arrears.
That day, after another argument, Zaccaria decided to move the tenant's belongings. Faced with Ibrahima Ka's resistance, tensions rose. A fight broke out, and the emigrant, overcome with anger, grabbed a knife and stabbed him in the neck.
The anger of the neighbors
Seriously injured, Ibrahima Ka collapsed in the street. Despite the efforts of neighbors, he succumbed to his injury before help arrived. Alerted, the firefighters transported his body to the morgue at Idrissa Pouye General Hospital.
Meanwhile, Zaccaria Touré attempts to flee, before hiding in the family home. The police, guided by traces of blood in the courtyard, eventually locate him and break down a door to arrest him. But tensions rise outside: outraged youths from the neighborhood then attempt to lynch the alleged killer to avenge their neighbor's death. The officers narrowly manage to extract him amidst jeers and projectiles, before taking him to the police station.
The 34-year-old suspect admitted to the charges before investigators. He was taken into custody for murder with a knife.
Mother's testimony
Devastated, Maguette Guèye, the deceased's mother, described her son as a pious, calm man devoted to his family. "Ibrahima was my last son, married and the father of three children. He knew no violence. All his free time, he devoted to his work and to his dahira Sope Serigne Babacar Sy Abdou, for which he was the spokesperson," she confided, her voice trembling, in comments relayed by the national daily.
She recalled that her son had recently organized two religious activities before the tragedy. Maguette Guèye concluded: "We demand that justice be done. It is too easy to take a person's life, especially when they carried so much hope for their family."
The deceased's last words, as told by his friend
His close friend, Ousmane Woyal, quoted by the same source, said he witnessed Ibrahima Ka's final moments. After being stabbed, the victim allegedly tried to escape before collapsing in his arms. "He came running towards me, his neck bleeding. When I asked him what had happened, he replied with his last breath: 'It was Zaccaria who stabbed me in the neck.'"
Moments later, Ibrahima Ka passed away, leaving behind a grieving family and a neighborhood in shock.
Commentaires (12)
My god ... regarder moi cette actes criminels
On dirait que ça n'interesse pas les politiques . Il y a de plus en plus de morts par coutaux sous l'indiference des responsables de la securitè publique .
Rip à la victime .
de sauvages ! La politique ne peut pas résoudre le manque d'éducation et la sauvagerie. Quant à Seneweb.com qu'ils arrêtent de bloquer les commentateurs : A BON ENTENDEUR SALUT !
Il y aura de plus en plus de crimes parce que les Sénégalais sont impolis, intolérants, méchants et indisciplinés. Ils n'ont aucune limite et manquent de courtoisie. Chacun ne voient que ses propres intérêts, cause du tort à son prochain et continue comme si de rien n'était. Changeons nos comportements !
C le temp de changer la loi des location. 2ans maintenance j,essay d sortir une locataire mais toujour ya que des renvoie. 2ans il loge dans mon immeuble says rien payer. Vraiment c injust. Un jour si la justice n fait pas son travail , j feral la même chose k zacria
Et vous finirez comme Zacaria en prison en laissant femme et enfant derrière vous pendant 10 ans peut être ou plus. Est ce que ça vaut le coup ? À vous de voir
m’a poignard au...................................du petit negre ou de lingala canadien ?
Ce dernier, récemment expulsé de France pour des faits d’agression
Peine de mort rek
Mes condoléances à la mère endeuillée. Quand l'argent se transforme en dieu, la miséricorde et la compassion quittent nos cœurs, et nous nous transformons en monstres, nous dévorant les uns les autres. C'est la situation partout.
C'est le résultat d'une hypocrisie. L'un peut se permettre de ne pas payer oubliant la situation de l'autre qui n'a d'espoir que sur ce qu'il devrait recevoir en loyer. Résultats l'irréparable. Donc il y a lieu d'être ferme avec celui qui ne paie pas et obligé celui qui loue de respect les procédures dans la limite des 3 mois à défaut de paiement expulsion pas besoin de passer par un juge. Saisie d'un huissier q8 expulse après une procédure devant le juge sans résultat ou accord amiable. C'est aussi simple
Encore les Peulh, ils ont la gâchette facile, Toujours eux à ôter la vie des Pauvres Wolofs, vraiment quoi, il faut une justice spéciale pour les Peulh !
vraiment li mom.. et puis ce Zaccaria un criminnel de profession, expulse en France, voila le resultat de ces jeunes voulant aller a l'etranger sans background sans education de base.. refoule par des crimes . Ce pays va de mal en pire!! et si on ne freine pas cette vitesse alarmante de violence, jai bien peur le pays va s'effondrer. ! pour un loyer mais saisi la police, au lieu d'un couteau poignant pour oter la vie a quelqun.
Le gouvernement anterieur et l'actuel gouvernement sont entrain de negliger le probleme de la securite au senegal, mais tant que des mesures fermes ne seront pas prises , les fracas iront de mal en pire et ce serait tres regrettable.
au defunt, RIP et a sa famille condoleances les plus attristees.
Le Sénégal connaît une criminalité principalement axée sur la petite délinquance (vols, escroqueries) dans les zones urbaines et une insécurité perçue par une majorité de la population, même si le pays est considéré comme relativement sûr par rapport à ses voisins d'Afrique de l'Ouest. Les causes de cette criminalité sont attribuées par les citoyens au manque d'emplois et à la consommation de stupéfiants, tandis que le gouvernement a récemment mis en place une stratégie pour lutter contre la criminalité organisée.
Types de criminalité
• Petite délinquance :
Les vols, les cambriolages et les escroqueries sont les formes de criminalité les plus courantes, particulièrement dans les villes. Des vols avec violence sont parfois signalés, notamment sur le front de mer de Dakar.
• Criminalité organisée :
Le Sénégal est un pays d'origine et de transit pour la traite des êtres humains, notamment pour le travail forcé des enfants et le trafic de migrants vers l'Europe. La fraude documentaire et la falsification de visas sont également des problèmes importants.
• Violences politiques :
Le pays a connu des périodes de violences politiques entre 2021 et 2024, entraînant des meurtres et des actes de torture.
• Violence policière :
Des débats ont été relancés suite à des affaires de violence policière et d'impunité des forces de l'ordre.
Facteurs et causes
• Facteurs socio-économiques :
Le manque d'emplois et la pauvreté sont perçus comme les principales causes de l'augmentation de la délinquance.
• Autres facteurs :
La forte consommation de stupéfiants est également citée comme une cause majeure de la criminalité.
• Délinquance juvénile :
Les facteurs sociaux tels que l'immigration et la reproduction sociale ont été avancés pour expliquer la délinquance chez les jeunes, notamment à Dakar.
Réponses et solutions
• Stratégies gouvernementales :
Une stratégie nationale de lutte contre la criminalité organisée (2025-2029) a été adoptée. Elle intègre une approche intersectorielle et vise à prendre en compte les facteurs sociaux comme l'âge, le statut socio-économique et le genre.
• Appui populaire :
Une majorité de Sénégalais estiment que la création d'emplois réduirait la délinquance. De même, une forte majorité est favorable au rétablissement de la peine de mort pour les meurtres
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